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Category: Photos
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La Campagne ROSA était dans la rue ce 8 mars contre la guerre et le sexisme
Marche à Bruxelles (Photo : James)En 2017, La Campagne ROSA (Résistance contre l’Oppression, le Sexisme et l’Austérité) organisait une première Marche contre le sexisme à Gand pour le 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. C’était non seulement le coup d’envoi de la Campagne ROSA lancée par le PSL, mais aussi d’une journée d’action qui, entre-temps, est devenue un rendez-vous de lutte permanent. Juste avant que n’éclatent la pandémie et le premier confinement en 2020, une grande manifestation nationale avait encore réuni 10.000 personnes à Bruxelles. Cette année, outre une manifestation locale de 8.000 personnes à Bruxelles, des manifestations combatives ont encore eu lieu à Gand, Anvers, Louvain, Liège, Bruges, Alost et Courtrai, entre autres.
A Bruxelles, avec plus de mille personnes, la Campagne ROSA a formé une délégation impressionnante lors de l’action bruxelloise organisée par la Marche mondiale des femmes, collectif dont elle est par ailleurs membre. A Gand, la Campagne ROSA était à l’initiative d’une manifestation soutenue par les syndicats. A Liège, en partenariat avec deux collectifs de femmes kurdes – Violet et Rouge Collective (MOR-KIZIL KOLEKTİF) et le Mouvement des Femmes kurdes TJK-E – nous avons organisé une manifestation dynamique de 200 personnes à parti de l’université pour sillonner le centre-ville. A Bruges, 100 personnes ont participé à l’action de la Campagne ROSA, 75 à Courtrai et une vingtaine à Alost. A Anvers et à Louvain, la Campagne ROSA a formé un bloc combatif dans la manifestation organisée par le Collecti.e.f 8 mars. A Anvers, 600 personnes y participaient, le bloc jeune de la Campagne ROSA et du PSL y avaient été renforcés par une délégation de la communauté tamoule. A Louvain, il y avait 250 manifestants, dont une cinquantaine dans notre délégation dynamique.

Liège. Photo : Jérémiah Nous avons fait tout ce que nous pouvions pour que ce 8 mars soit aussi une journée d’action anti-guerre. Comme l’indique le tract de la Campagne ROSA, les femmes sont souvent les premières victimes de la guerre, mais aussi les premières à protester contre elle. Les slogans “Non à l’invasion de l’Ukraine” et “Pour un mouvement international de masse contre la guerre” figuraient sur nos pancartes. A Gand, Angeline Van de Rijse de la FGTB a souligné à juste titre le rôle de Clara Zetkin, “socialiste, marxiste et pacifiste”, dans la création de la tradition du 8 mars. Elle a également souligné les énormes inégalités qui existent aujourd’hui de même que les attaques contre nos conditions de vie. “Si quelque chose doit être annexé, ce n’est pas l’Ukraine mais ces milliards d’euros dans ces paradis fiscaux. Ces 266 milliards d’euros (l’argent que les entreprises belges ont déposé dans les paradis fiscaux en 2020), c’est le résultat d’un travail sous-payé. Donc cet argent nous appartient. Ce n’est pas le leur.” Parmi les intervenant.e. figurait également Ludo De Brabander de l’ASBL pacifiste Vrede. Là où la Campagne ROSA a (co-)organisé les actions, des micros ouverts ont permis de laisser s’exprimer des organisations ou de simples participant.e.s. De notre côté nous avons systématiquement souligné la nécessité de construire un mouvement de masse contre la guerre et le capitalisme.
Bruxelles (photos de James) :
[embed-google-photos-album https://photos.app.goo.gl/5DnZh5zEyiWBHXiR6]Vidéo de la manifestation à Bruxelles :
Liège (photos de Jérémiah) :
[embed-google-photos-album https://photos.app.goo.gl/yC6vFm8KhRr6MrVp6]Anvers (photos de Liesbeth) :
[embed-google-photos-album https://photos.app.goo.gl/X5FjwfbxTPqvKyjA9]Gand (photos de Jean-Marie) :
[embed-google-photos-album https://photos.app.goo.gl/JWntpYEBKsi43x6H6]Vidéo de la manifestation de Louvain :
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« Basta » contre les prix de l’énergie, le manque de moyens dans la santé et la guerre

Avec 10 000 participant.e.s, la manifestation « Basta » organisée par le PTB hier fut un succès. Le PTB s’est mobilisé pour cette manifestation avec des slogans sur la baisse de la TVA sur l’énergie, la fin des brevets sur les vaccins et plus de ressources pour les soins de santé. Dans notre tract appelant à participer à cette manifestation, nous avons développé notre point de vue et nos propositions sur ces questions. Par exemple, nous insistons sur la nécessité de prendre en main l’ensemble du secteur de l’énergie et de ne pas s’arrêter à la revendication d’une réduction permanente et totale de la TVA sur l’énergie. Voir : https://fr.socialisme.be/59931/pour-une-rupture-anticapitaliste-radicale-venez-renforcer-la-marche-bastaLa guerre en Ukraine a fait l’objet de nombreuses discussions lors de la manifestation, tout comme dans la société. Le PTB a été critiqué dans les médias traditionnels sur ce point et, ces derniers jours, il a semblé ne pas insister sur la nécessité de construire un mouvement internationaliste anti-guerre comme alternative au conflit. Cependant, parmi les personnes présentes à la manifestation, les arguments en faveur d’un tel mouvement anti-guerre ont été rapidement repris. Nous avons également distribué un tract à nos stands avec notre point de vue : https://fr.socialisme.be/60035/non-a-la-guerre-en-ukraine-construisons-un-mouvement-de-masse-anti-guerre-et-anti-imperialiste
Comme nous l’avons noté dans notre tract : “La manifestation du 27 février est une initiative importante. Mais il ne faut pas s’arrêter à cette manifestation. Une véritable lutte doit être construite autour des revendications de ce tract, par les syndicats, les partis de la gauche cohérente et les nombreux jeunes militant.e.s qui sont descendus dans la rue ces dernières années contre toutes les formes possibles de discrimination, le sexisme, le racisme, la LGBTQIA+-phobie,… et dans le contexte de la crise climatique. Ensemble, tout cela constitue la force sociale qui peut transformer la colère et la frustration de la société dans le changement social qui s’impose. Loin du capitalisme, pour un monde socialiste.”
“D’autres actions et campagnes sont nécessaires autour de tous les revendications et thèmes abordés dans la marche Basta. Ce devrait être le point de départ d’un plan d’action global visant à construire un contre-pouvoir social capable d’imposer le changement. Nous avons besoin de plus que des manifestations ponctuelles. Des comités de lutte locaux pourraient être mis en place pour réunir les militant.e.s et les mobiliser pour la prochaine action. Des conférences locales et régionales de militant.e.s pourraient être organisées avec des syndicalistes, des activistes de gauche, des travailleur.euse.s, des jeunes en colère contre le changement climatique, des féministes et toutes celles et ceux qui défendent une société différente dans un puissant mouvement social.”
Nous avons pu constater une grande ouverture à la discussion. Sur nos stands et avec nos militant.e.s dans la manifestation, nous avons vendu 122 exemplaires du mensuel Lutte Socialiste. Nous avons réalisé une douzaine d’abonnements et collecté 120 euros de soutien avec des badges.
Reportage-photos de Walter et Liesbeth
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Grève dans l’enseignement francophone et rassemblement combatif de plus de 10.000 personnes

Cela n’était plus arrivé depuis 2011 dans ce secteur. Ce jeudi 10 février, ce sont plus de 10.000 enseignants, éducateurs, ouvriers, personnel d’entretien des écoles qui se sont rassemblés à Bruxelles dans le cadre de la grève afin de crier leur mécontentement et leur volonté d’un enseignement de qualité pour les élèves, gratuit et dans de bonnes conditions !Depuis le début de la crise sanitaire, l’École est déclarée « secteur essentiel ». La ministre Caroline Désir a même qualifié le personnel de l’enseignement de « héros du quotidien ». Mais ses propos font pâle figure à côté de l’état du secteur, une autre crise empirée par la pandémie.
La gestion de la crise repose sur les épaules déjà surchargées de travail du personnel alors que l’on manque de tout. Cerise sur le gâteau : les travailleur.euse.s sont méprisé.e.s pour leur « absentéisme » par le monde politique traditionnel et par certaines Fédérations de Pouvoirs organisateurs (PO).
Cette première action est un excellent pas en avant. La colère dans le secteur est palpable, et pas qu’en Belgique d’ailleurs. Nous devons continuer sur cette lancée et avoir un véritable calendrier avec plusieurs actions déterminées à construire un sérieux rapport de force. C’est aussi nécessaire pour restaurer la confiance parmi les collègues dégoûtés par les actions qui ne visent qu’à laisser échapper un peu de pression. Mais nous avons aussi besoin d’un cahier de revendications clair qui ne laisse aucune équivoque concernant nos objectifs.
Nous exigeons :
- Des masques, du gel, des autotests : ce n’est ni aux parents ni au personnel de payer !
- LE RETRAIT IMMÉDIAT DE TOUTES LES RÉFORMES MANAGÉRIALES qui mettent en concurrence les écoles entre elles et ajoutent des tâches de plus en plus importantes sur le dos des enseignants !
- Un enseignement de qualité dans un environnement sain : 15 élèves maximum par classe
- L’engagement massif de personnel
- Des infrastructures de qualité et salubres !! Pour la construction de nouvelles écoles et rénovations des écoles existante !
- Un refinancement public massif du secteur afin d’avoir un enseignement réellement gratuit et de qualité.µ
- Puisqu’une société malade basée sur le profit et non sur nos besoins ne peut qu’engendrer un enseignement défaillant, et inversement, il nous faut absolument changer de système !




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Le personnel soignant en colère : plus de moyens pour les soins, maintenant !

Des milliers de personnes du secteur des soins ont manifesté à Bruxelles aujourd’hui. Le personnel est à bout et en colère : il n’a pas ménagé ses efforts ces derniers mois et le secteur subit une pression intense. Un nombre croissant de collègues ne tiennent plus. Des moyens supplémentaires ont bien été promis, mais ils sont insuffisants et tardent à arriver. Ils ne parviennent qu’au compte-gouttes sur le terrain.
Cette demande de moyens supplémentaires a résonné particulièrement fortement aujourd’hui. On attendait jusqu’à 2.000 participant.e.s, mais il y en a eu au moins 6.000. Le fait que la manifestation ait dévié de l’itinéraire prévu a d’ailleurs illustré le caractère inattendu de cette participation. Les manifestants ont brièvement bloqué le périphérique intérieur, où ils ont reçu un grand soutien de la part des automobilistes coincés dans les embouteillages. Rue de la Loi, des policiers se tenaient derrière des chevaux de frise. Lorsque le cortège, mené par les pompiers, s’est placé face à eux, certains agents ont retiré leur casque par respect.
La raison immédiate de la manifestation est la proposition d’écarter le personnel non vacciné. Chaque collègue est nécessaire, déclare-t-on chez les soignant.e.s. Le gouvernement cible une partie du personnel et menace de mettre encore plus de pression sur le secteur au lieu d’accorder les moyens qui font cruellement défaut dans le secteur. Une grande partie du personnel soignant vit la chose comme un coup de couteau dans le dos.
Lors de l’action de ce mardi, de nombreuses pancartes étaient artisanales. Nombre de participant.e.s n’étaient pas des habitué.e.s des manifestations syndicales. Beaucoup ont clairement indiqué qu’iels n’ont aucun problème avec le vaccin, mais qu’iels ont un problème avec les sanctions contre les collègues qui ne sont pas vaccinés. “Vaccin : oui, sanctions : non”, était un avis très présent, même si l’on trouvait également une certaine confusion quant à l’utilité du vaccin.
Cette manifestation a montré quelle est la colère qui règne parmi le personnel soignant. Près de deux ans après le début de la pandémie, le secteur souffre toujours de pénuries diverses. Le personnel travaille dur depuis des mois. Combien de temps peuvent-il continuer comme ça ? Toute approche sérieuse de la crise sanitaire commence par un plan d’investissement public massif dans les soins pour que le travail y soit humain, avec suffisamment de collègue et d’infrastructures ainsi que des salaires décents. C’est nécessaire pour la santé de tou.te.s.
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[PHOTOS] Plusieurs milliers de syndicalistes à Bruxelles pour le pouvoir d’achat et les libertés syndicales

Plusieurs milliers de personnes ont répondu à l’appel de la FGTB et de la CSC ce lundi pour défendre les libertés syndicales et notre pouvoir d’achat. Le mouvement des travailleurs et travailleuses doit réagir de manière offensive ! Parmi les manifestants résonnait la nécessité d’aller plus loin et d’agir avec un plan d’action. Beaucoup de discussions que les militant.e.s du PSL/LSP ont eues concernaient les soins de santé et la riposte de gauche nécessaire face à la crise sanitaire.
- Lire notre dossier “Pas de conquêtes sociales sans libertés syndicales !”
- Lire notre dossier : “Nouvelle vague covid : le capitalisme et ses représentants politiques sont responsables !”
- Lire notre article : “Ce système est malade – Tout sera différent une fois aux commandes la classe des travailleurs et travailleuses”
Photos : Nico et Simon
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La Campagne ROSA présente en force lors de la manifestation nationale contre les violences faites aux femmes

Dimanche 28 novembre, une manifestation contre la violence envers les femmes a eu lieu à Bruxelles. Après les actions locales de jeudi dernier où plus de 500 personnes ont participé aux rendez-vous de la Campagne ROSA (Résistance contre l’Oppression, le Sexisme et l’Austérité), des milliers de personnes ont défilé dans les rues de Bruxelles à l’appel de la plateforme Mirabal. La Campagne ROSA était elle aussi présente, en bon nombre, dans le cortège. Notre délégation a crié haut et fort nos slogans féministes anticapitalistes et socialistes. Nous avons par ailleurs également distribué des milliers de tracts exposant notre point de vue sur le combat pour en finir avec les violences sexistes et LGBTQI+phobes. “Les violences sexistes sont partout. C’est un problème de société, ancré au plus profond de l’ADN du système capitaliste, avec de terribles répercussions personnelles. Mais les actions se multiplient, le sexisme n’est plus accepté.”
Vidéo de la manifestation
Reportage photos de Liesbeth
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La COP26 a commencé. Intensifions la mobilisations pour faire face à la crise climatique !

La COP 26 réunit des dirigeants du monde entier et 30.000 décideurs politiques, hommes d’affaires, banquiers, “investisseurs verts”, “lobbyistes verts” et bien d’autres. Ils se réuniront à Glasgow cette semaine à l’occasion d’un événement parrainé par une série de multinationales des secteurs de l’énergie, de l’automobile, de la chimie ou encore de l’informatique. Ces personnes devraient donc veiller à ce que les mesures nécessaires pour lutter contre la crise climatique soient adoptées et mises en œuvre. Cela ne présage rien de bon.
Le président chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine n’y assisteront pas, bien que leurs pays soient respectivement deuxième et troisième en termes d’émissions de CO2 dans l’atmosphère depuis 1990, juste après les États-Unis.
Jusqu’à présent, les différents pays ont eu du mal à atteindre l’objectif annoncé de 100 milliards de dollars pour la lutte contre le changement climatique. Il s’agit pourtant d’une somme dérisoire : moins que ce que le monde dépense en armement chaque année. L’ONU estime que les pays en développement auront besoin de 5.900 milliards de dollars d’ici à 2030 pour atteindre leurs objectifs climatiques. Selon la campagne Jubilee Debt, 34 des pays les plus pauvres du monde dépensent près de 30 milliards de dollars par an au service de la dette envers les banques (y compris sans doute certaines qui parrainent la COP 26) mais n’ont que 5,4 milliards de dollars à consacrer aux mesures visant à lutter contre la crise climatique.
L’objectif initial de limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,50°C n’est plus considéré comme réalisable. Les scientifiques estiment désormais que l’augmentation de la température sera de 2,70°C au rythme actuel.
Comme l’a dit Greta Thunberg, tout ce que nous pouvons attendre de ce sommet, c’est du bla-bla. Nous sommes d’accord avec elle pour dire que la COP 26, dans sa forme actuelle, ne changera rien, à moins “d’une pression importante et massive de l’extérieur”. Mais nous devons aller plus loin. Nous devons nous débarrasser des banquiers, qui, selon elle, “financent notre chute”. Avec eux doivent disparaître les multinationales, les politiciens corrompus et le commerce des armes. En d’autres termes, le capitalisme doit disparaître et être remplacé par un monde socialiste démocratique.
Pour construire une telle alternative, Alternative Socialiste Internationale (ASI) participera activement aux protestations autour de la COP 26. Cette semaine, nous reviendrons régulièrement sur différents aspects de la lutte contre le changement climatique. Vendredi et samedi, nous ferons campagne pour nos propositions socialistes à Glasgow et Edimbourg. Samedi soir, il y aura une réunion d’ASI à Glasgow.
Nouvelle manifestation à Bruxelles hier
Une nouvelle action a eu lieu à Bruxelles pour marquer le début de la COP26. Après la manifestation massive du 10 octobre, la manifestation était bien sûr plus modeste en termes de participation, mais il n’était donc pas moins important de faire descendre la protestation dans la rue dès le début de la COP26. Ci-dessous une série de photos prises par Liesbeth.
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Nouvelles du PSL/LSP, un parti pour changer de société
Manifestation climat
Dimanche dernier, c’était le retour dans la rue du mouvement pour le climat ! Nous sommes intervenus avec une délégation dynamique, une série de stands en divers endroits du parcours et une équipe de vendeurs de notre journal, Lutte Socialiste. Ces derniers ont vendus 172 exemplaires et réalisé 5 abonnements. En route pour Glasgow maintenant !

Réunion ROSA – Bruxelles
Ce 14 octobre, la Campagne ROSA – Bruxelles organisait un meeting autour de la thématique ‘Féminisme et Climat’ – nous étions une vingtaine présent-e-s pour discuter du lien entre lutte contre le sexisme et lutte contre le réchauffement climatique. Nous avons en fin de meeting souhaité exprimer tout notre soutien aux personnes victimes de violences sexistes dans l’affaire des agressions au cimetière d’Ixelles et aux plus de 17 plaintes déposées contre le serveur qui semble avoir été protégé par la direction des deux cafés où il a travaillé. Ce n’est pas acceptable de continuer à minimiser les faits et responsabiliser les victimes !

Manifestation contre les violences sexistes à Ixelles
Le même soir, une équipe de militant.e.s de la Campagne ROSA et des Etudiants de Gauche Actifs était également présente à la manifestation qui a réuni 2000 personnes pour crier leur colère contre les violences sexuelles, le manque d’actions pour les prévenir et la gestion exécrable des plaintes. Il est temps que ces violences sexistes s’arrêtent. Y en a assez d’avoir peur! La honte doit changer de camp !!


Action antifasciste et solidarité internationale à Bruxelles
Ce samedi 16 octobre, un rassemblement antifasciste a eu lieu à Bruxelles en riposte à une attaque fasciste. Au même moment, des dizaines de milliers de personnes (200.000 selon les organisateurs qui ont mobilisé au moins 10 trains et 800 cars) manifestaient à Rome en réponse à l’attaque du siège du syndicat CGIL (principale confédération syndicale du pays) après une manifestation contre l’obligation du pass sanitaire. Des dirigeants du groupe néofasciste Forza Nuova (FN) figuraient parmi les personnes arrêtées après l’attaque du syndicat.

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[PHOTOS] Rassemblement antifasciste et solidarité internationale à Bruxelles

Voici quelques photos de l’action de solidarité antifasciste organisée à l’appel de syndicats et d’organisations de gauche ce samedi 16 octobre à Bruxelles. Au même moment, des dizaines de milliers de personnes (200.000 selon les organisateurs qui ont mobilisé au moins 10 trains et 800 cars) manifestaient à Rome en réponse à l’attaque du siège du syndicat CGIL (principale confédération syndicale du pays) après une manifestation contre l’obligation du pass sanitaire. Des dirigeants du groupe néofasciste Forza Nuova (FN) figuraient parmi les personnes arrêtées après l’attaque du syndicat. NO PASARAN ‼
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