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  • Dewinter attaque les antifascistes. Le Vlaams Belang bloqué à l’université de Gand

    Hier soir, le NSV (club d’étudiants du Vlaams Belang) voulait organiser, avec l’autorisation du recteur, un meeting à l’université de Gand où devait parler Filip Dewinter. Les groupes étudiants de gauche avaient appelé à une contre-action non-violente. Avec environ 300 jeunes, l’auditoire a été fermé à la grande déception de l’extrême-droite. Dewinter & Co sont passés physiquement à l’attaque contre les étudiants, mais leur charge a été vaine. Les membres du NSV qui étaient assis dans l’auditoire ont dû être évacués par la police. C’est une victoire pour les antifascistes ! Le Vlaams Belang a dû partir et a de suite répandu, notamment par les médias, la rumeur selon laquelle les étudiants de gauche avaient empêché le meeting avec violence. C’est pourtant le VB qui a chargé les étudiants. Dewinter lui-même a activement participé à l’attaque. Voici quelques photos.

    Frederik

  • “Pas d’argent” pour le pouvoir d’achat”, mais bien pour sauver les spéculateurs

    Et après le 6 octobre ?

    Bart Somers, le président du VLD, veut nous donner des leçons: “le a pris ses responsabilités”, dit-il à propos des 7,5 milliards d’euros de dettes supplémentaires qu’il vient de créer pour venir en aide aux spéculateurs de Fortis et de Dexia. Les ministres payeront-ils cela de leurs poches ? Que neni! C’est nous qui allons le payer par des coupes dans les services publics, les salaires et les salaires différés (pensions et autres).

    “C’est maintenant aux (de prendre leur responsabilité), en annulant la grève du 6 octobre”, ajoute Somers. Lorsque l’économie est en croissance, les managers doivent être largement récompensés. Mais lorsqu’ils plongent nos entreprises dans le ravin, c’est un “désastre naturel” que tout le monde doit assumer.

    Ce n’est pas nous, mais les yuppies libéraux qui ont gaspillés nos épargnes

    Le casino libéral est en faillite… rendez nous notre argent!

    Abolition des intérêts notionnels; rendez nous les 21 milliards d’euros de diminution des cotisations patronales de ces 5 dernières années ; rendez nous les 1,3 milliards de réduction du précompte professionnel sur le travail en équipe et de nuit Augmentation salariale brute et liaison des allocations au bien-être

    • NATIONALISATION DE NOS BANQUES, sans indemnisation, sauf sur base de besoins prouvés
    • Pour des assemblées Régionales et Interprofessionelles
    • Grève générale de 24 h bien préparée
  • Les revendications syndicales sont aussi politiques

    Les revendications sur le pouvoir d’achat sont non seulement syndicales mais aussi politiques dans le sens où elles s’opposent à la logique néolibérale. Et il est bien difficile d’engager un combat avec une main attachée dans le dos… La lutte syndicale a besoin d’un prolongement politique qui mène ce même combat pour plus de pouvoir d’achat.

    En ce moment, aucune formation politique traditionnelle ne remplit ce rôle. Elles ne considèrent que les intérêts des grandes entreprises et des actionnaires. Un véritable parti de défense des travailleurs irait chercher l’argent là où il est, dans les coffres des banques et des entreprises qui ont réalisé des profits record. A l’époque du Pacte des générations, nous avons pu sentir l’absence d’un tel parti : alors que nous étions 100.000 à manifester contre ce pacte, il ne s’est trouvé presque aucun parlementaire pour voter contre ce pacte et aucun pour soutenir effectivement les actions syndicales.

    Ce vide politique laisse l’espace à toutes sortes de populistes qui prétendent avoir des solutions, mais ne font que poursuivre la politique néolibérale. C’est ainsi que des personnages comme Jean-Marie Dedecker ont pu émerger en Flandre. Même c’est aussi pour cela que des partis comme le PS ou ECOLO peuvent encore jouer un rôle de « moindre mal » malgré leur participation enthousiaste aux politiques de privatisation. Partout en Europe se développent de nouveaux partis de gauche et notre pays ne peut pas faire exception même si ce n’est pas évident d’arriver à la création d’un tel parti large.

    Selon nous, la force la plus importante doit provenir de la base syndicale, celle qui mène les actions pour le pouvoir d’achat et l’emploi. Avec et autour de cette base, un parti qui reprenne les revendications syndicales est nécessaire : il nous faut un parti syndical.

  • Manifestation à Molenbeek

    Manifestation à Molenbeek

    Une soixantaine de proches du MAS-LSP se sont réunis hier après-midi dans le quartier populaire de Molenbeek afin de manifester haut et fort leur attachement aux valeurs de solidarité et d’antiracisme. Leur but était clairement celui de rentrer en contact avec des couches de populations immigrées bien souvent stigmatisées tant par l’extrême-droite que par les partis traditionnels.

    Giuliano, MAS-Bruxelles

    A l’occasion du lancement de sa campagne électorale, le Front National de Belgique avait en effet décidé d’organiser un meeting à Molenbeek qui avait comme thème : , "Molenbeek : paradis ou enfer multiculturel". Grâce à la mobilisation qui avait été lancée voilà presque un mois par les camarades du Mouvement pour une Alternative Socialiste , le parti d’extrême-droite avait décidé d’annuler son meeting . Cette incontestable victoire obtenue sur le parti le plus réactionnaire et patronal qui soit n’aurait certainement pas été possible si l’ampleur de la mobilisation avait été moindre.

    Une bonne délégation de notre organisation a défilé avec un cortège combatif dans les rues du quartier. Aux cris de "1ère, 2e, 3e générations, nous sommes tous des enfants d’immigrés", le cortège a été accueilli chaleureusement par les résidents.

    Nonobstant la présence d’un important dispositif policier, nonobstant la difficulté liée à l’intervention dans un quartier où toute organisation est regardée avec déférence, plus de septante journaux ont été vendus pendant le parcours de la manifestation et plusieurs personnes nous ont demandé plus d’informations afin de mieux connaître notre parti et notre campagne antifasciste. La journée d’action a été conclue par un meeting tenu dans un café de Molenbeek, le meeting a permis de dresser un bilan de cette intervention et a aussi été l’occasion d’échanger l’expérience avec certains camardes qui sont parvenus à construire de véritables mouvement antifascistes de l’autre côté de la frontière linguistique.

  • Le Front National n’est pas le bienvenu à Molenbeek: Reportage photo 2

    Une soixantaine de personnes ont participé à la manifestation qui a commémoré aujourd’hui l’annulation du meeting que le Front National avait initialement prévu d’organiser à Molenbeek. Notre cortège a été très bien accueilli dans les rues, nous avons ainsi vendu 71 exemplaires de notre mensuel, l’Alternative Socialiste. C’est surtout notre façon de lier les problématiques telles que le pouvoir d’achat à la lutte antiraciste, afin de lutter contre les causes du soutien que peut recevoir l’extrême-droite, qui a bénéficier d’un grand intérêt. La lutte contre l’extrême-droite continue bien entendu, participez vous aussi à nos campagnes!

  • Le Front National n’est pas le bienvenu à Molenbeek: Reportage photo

    Une soixantaine de personnes ont participé à la manifestation qui a commémoré aujourd’hui l’annulation du meeting que le Front National avait initialement prévu d’organiser à Molenbeek. Notre cortège a été très bien accueilli dans les rues, nous avons ainsi vendu 71 exemplaires de notre mensuel, l’Alternative Socialiste. C’est surtout notre façon de lier les problématiques telles que le pouvoir d’achat à la lutte antiraciste, afin de lutter contre les causes du soutien que peut recevoir l’extrême-droite, qui a bénéficier d’un grand intérêt. La lutte contre l’extrême-droite continue bien entendu, participez vous aussi à nos campagnes!

  • Les véritables enjeux de la course au leadership wallon

    Guéguerre entre le MR et le PS

    Souvenez-vous. C’était le soir des élections du 10 juin 2007. Didier Reynders claironnait à qui voulait l’entendre qu’il avait fait « bouger le centre de gravité en Wallonie » après avoir appris que son MR était devenu le premier parti francophone. Et Reynders s’est pris à rêver d’un gouvernement chrétien/libéral – l’Orange bleue – dont il serait l’artisan.

    Par Thierry Pierret

    Un tel gouvernement aurait eu pour tâche de mener une offensive plus résolue contre les travailleurs et leurs familles. Et de clamer bien fort à l’attention des partis flamands qu’il avait déjà réalisé une réforme de l’Etat en mettant le PS hors jeu.

    Mais le CD&V/NVA ne l’entendait pas de cette oreille. Il tenait absolument à sa réforme de l’Etat. A tel point que les négociations se sont enlisées et que l’Orange bleue chère à Reynders a pourri sur pied. Pour « stopper le compteur de la crise » – dixit le Napoléon du MR – Reynders a dû se résoudre à l’impensable: le retour du PS au gouvernement fédéral. Pour justifier cette volte-face, il n’a pas arrêté de dénoncer le « cartel PS/CDH » indécollable. Et de rappeler à plusieurs reprises que la coalition actuelle n’était pas celle de son choix. En coulisses pourtant, Reynders avait pris des contacts pour élargir au MR la coalition PS/CDH à la Région wallonne et à la Communauté française. Cela aurait permis au MR d’être partie prenante du « dialogue de Communauté à Communauté » qui semblait devoir se mettre en place avant le 15 juillet. Et puis patatras! La pseudo-démission d’Yves Leterme a tout remis en cause. Le dialogue de Communauté à Communauté était au point mort.

    Dès lors, Reynders n’avait plus d’autre choix que de renouer avec un discours de rupture. Dans son interview de rentrée au journal Le Soir, il étrille ses « partenaires » PS et CDH au gouvernement fédéral. Il tire à boulets rouges sur le bilan de la coalition PS-CDH à la Région wallonne et va jusqu’à dire que « la Wallonie est au coeur du mal belge ». Il récidive dans une interview à La Libre Belgique des 13 et 14 septembre où il annonce son ambition de faire bouger une seconde fois le centre de gravité en Wallonie lors des prochaines élections régionales. Il y dénonce pêle-mêle les errements de la politique en matière d’enseignement, d’économie, de logement social, d’urbanisme et de gouvernance. Il utilise même le terme infâmant de « politicaille ». Puis il ajoute: « Or nous avons besoin d’un changement profond. Et encore plus si on croit à l’unité de la Belgique. Parce que l’écart qui se creuse entre le Nord et le Sud accroît les tensions, évidemment. Baisser les charges sur les entreprises, qui en a le plus besoin? Mais la Région qui a le plus besoin de créer de l’activité, c’est évident! ».

    Rattraper la Flandre par une politique de dumping fiscal et social : Reynders veut réduire l’écart entre le Nord et le Sud en élargissant celui qui existe entre les riches et les pauvres ! On ne saurait mieux exprimer la vocation antisociale de la réforme de l’Etat envisagée par les partis traditionnels. Il est grand temps de faire “bouger le centre de gravité de la politique” vers le mouvement social autour du pouvoir d’achat.

  • Caucase : Les racines de la crise

    La Géorgie a été récemment le théâtre de violences qui ont impliqué les forces armées géorgiennes et les forces séparatistes d’Ossétie du Sud assistées par les forces armées russes. La région du Caucase reste une poudrière, avec l’Abkhazie et la Tchétchénie comme autres points de tensions indépendantistes. Ces conflits ont comme toile de fond l’affrontement pour le contrôle géostratégique de cette région.

    Par Alain, MAS-Namur

    Tandis que les Etats-Unis soutiennent le gouvernement pro-occidental de Sakhachvili, la Russie soutient les forces séparatistes. Les racines du conflit remontent à l’indépendance de la Géorgie. Le premier président, Zviad Gamaskhurdia, a profité du sentiment d’opposition au régime stalinien et centralisateur de Moscou pour accéder au pouvoir et a restauré le capitalisme. Le pays s’est alors économiquement effondré (la production nationale a chuté de 70%).

    Très vite des dissensions sont apparues au sein du gouvernement sur le rythme de restauration du capitalisme. Pour faire face à la crise et détourner les critiques, le gouvernement de Gamaskhurdia a lancé une campagne nationaliste avec comme slogan « la Géorgie au Géorgiens » alors que 30% de la population étaient des allochtones. Les ethnies non-géorgiennes (ossètes, abkhazes,…) se sont donc senties menacées.

    Il a manqué à la classe ouvrière une organisation capable de proposer une orientation révolutionnaire basée sur l’unité de la classe ouvrière qui aurait été une alternative au stalinisme et au capitalisme, un socialisme véritable basé sur la démocratie ouvrière. Au lieu de cela le capitalisme a été complètement restauré et le gouvernement a pu diviser les travailleurs sur base ethnique, ce qui est à la base de nettoyages ethniques barbares et d’attaques sanglantes comme celles de cet été.

    La situation présente met aussi en lumière toutes les contradictions entre les grandes puissances. La Russie, qui a toujours rejeté toute forme d’autonomie dans le cas de la Tchétchénie et du Kosovo, soutient le droit à l’auto-détermination des populations abkhazes et ossètes du Sud et reconnaît les déclarations d’indépendance de leurs dirigeants séparatistes tandis que les Occidentaux qui chantaient ce même droit pour le Kosovo exigent aujourd’hui le respect de l’intégrité territoriale géorgienne.

  • Crise économique, chômage et pauvreté

    La Banque Mondiale a récemment adapté ses données sur la pauvreté dans le monde. En 2000, elle estimait que 985 millions de personnes vivaient sous le seuil d’extrême pauvreté de 1 dollar par jour. Maintenant, il est question de 1,4 milliard de personnes qui vivent sous un seuil relevé à 1,25 dollar par jour… pour l’année 2005, il y a trois ans déjà.

    Par Emiel, MAS-Anvers

    Depuis lors s’est déclenchée la crise alimentaire, avec au bas mot 100 millions de personnes qui ont rejoint l’extrême pauvreté. Près d’un quart de la population mondiale risque donc de ne plus pouvoir se nourrir. Dans des dizaines de pays, des émeutes de la faim ont déjà éclaté.

    Selon les Nations Unies, il y aurait pourtant suffisamment de stocks sur la terre pour nourrir 12 milliards de personnes, deux fois la population mondiale. Où est donc le problème ? Une partie de la population mange trop et l’autre pas assez ? La prospérité grandissante (d’une petite minorité) de Chinois en est-elle la cause ? Ou alors la consommation de viande en Occident ? Sans vanter pour autant les habitudes alimentaires occidentales, nous pensons que ces raisons sont très insuffisantes.

    La distribution inégale des richesses découle de la manière dont est orientée la production, où les profits passent bien avant les besoins. Ainsi, l’université d’Arizona a-t-elle calculé qu’aux Etats-Unis, près de la moitié de la nourriture produite est jetée, notamment parce que la date de péremption a été dépassée (1).

    Autrement dit, la nourriture excédentaire attend d’être périmée et jetée plutôt que d’être mise à disposition de ceux qui ont faim. L’exemple le plus pervers de la course aux profits en matière d’alimentation est la spéculation sur les céréales et les matières premières qui fait exploser les prix.

    L’économie entre en récession

    Aux Etats-Unis, la récession signifie une hausse de la pauvreté, du chômage, des expulsions et des saisies de logements. L’effondrement du marché immobilier américain a donné naissance à des nouveaux quartiers de tentes et de taudis. Les occupants de 2 millions de logements ont été expulsés et, selon les économistes, ce chiffre peut encore grimper jusqu’à 10 millions. L’an dernier, il y avait 37,3 millions de pauvres aux USA, soit 1 million de plus que l’année précédente. 18% des Américains de moins de dix-huit ans vivent dans la pauvreté.

    Le capitalisme américain n’est pas encore sorti d’affaire. Son secteur financier est évidemment le plus atteint. Mais la crise a déjà commencé à se développer dans l’économie réelle, aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et en Asie. Les travailleurs du secteur financier ont été les premiers touchés, plus de 60.000 emplois ont déjà disparu essentiellement à New York et à Londres. En Grande-Bretagne, on estime que le chômage va augmenter d’un demi-million. C’est une condamnation sans appel du capitalisme et du néolibéralisme. La domination du marché à seulement conduit à ce qu’une poignée de milliardaires soit responsable de la misère de millions de personnes.

    En Europe, les perspectives de croissance sont mois après mois revues à la baisse et plusieurs pays sont déjà entrée en récession, ce qui signifie pour les salariés une baisse du pouvoir d’achat et des pertes d’emplois. Les travailleurs n’ont pas la chance de recevoir autant d’attention de la part des gouvernements que les grandes banques en crise. Car, si besoin est, celles-ci peuvent même être nationalisées pour éviter une faillite, comme ce fut le cas pour la Northern Rock Bank en Grande Bretagne ou encore pour les sociétés de crédit hypothécaires Freddie Mac et Fannie Mae aux USA. Pour sécuriser les bénéfices des actionnaires, la collectivité doit payer – ce que certains économistes bourgeois ont appelé sans rire « le socialisme pour les riches ». Mais, pour nos revendications salariales, il paraît qu’il n’y a pas de moyens…


    1. Humo, 09/09/08

  • Action contre le FN le 4 octobre

    Suite à l’annulation du meeting du FN le 4 octobre, un premier article était paru sur notre site annonçant que la manifestation organisée par Résistance Internationale à Molenbeek n’aurait pas lieu. Il s’agit d’une erreur pour laquelle nous tenons à présenter nos excuses à l’ensemble de nos lecteurs. Ce malentendu fait suite à la discussion que nous avons dû mener en précipitation sur la réaction à adopter face à cette nouvelle.

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    A lire également:

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    Nous voulons effectivement maintenir notre manifestation ce 4 octobre, même s’il est probable que l’annulation du meeting du FN aura pour effet que la mobilisation antifasciste sera moins importante que prévu. Car pour nous, le message anti-raciste et le combat contre l’extrême-droite en général ne se limite pas à ce meeting du FN à Molenbeek. Nous voulons non seulement démontrer dans la pratique que le FN ne sera jamais le bienvenu dans nos quartiers, mais aussi engager la discussion avec tous les antifascistes présents sur la nécessité de continuer la lutte et d’être actif au travers de nos campagnes.

    S’il est clair que l’annulation du meeting du FN est une victoire pour tous les antifascistes, et démontre que ce parti ne dispose d’aucun soutien actif dans les quartiers de Molenbeek, le combat contre l’extrême-droite ne s’arrête pas pour autant ! Pour le FN, ce n’est que partie remise. En témoigne la volonté de la direction du FN d’être quand même présente « quelque part à Molenbeek » (dixit Patrick Sessler) en présence de leurs médias le 4 octobre, ainsi que leur volonté d’entamer une tournée de meetings électoraux dont Molenbeek n’était que la première étape. Ce que les fascistes n’ont pas été capables de réaliser à Molenbeek, ils essaieront de le réitérer dans d’autres communes telles que Saint-Josse, Anderlecht, Schaerbeek, Saint-Gilles,… Ce qui illustre que la mobilisation contre ce parti reste plus que jamais nécessaire.

    4 octobre: 13 heures à l’arrêt de métro Étangs Noirs à Molenbeek. Manifestation contre le FN

    Après cela: à 15 heures, meeting au salon de thé "Le Royal", parvis saint Jean-Baptiste, métro Comte de Flandre: "Quelle alternative politique contre l’extrême-droite?"

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