Category: Asile

  • [PHOTOS] Rassemblement antifasciste à Liège

    Hier, une centaine de manifestants se sont rassemblés devant les grilles du centre fermé de Vottem pour apporter leur solidarité au CRACPE (collectif contre les expulsions) qui, a à deux reprises, a subi les provocations des néo-fascistes du groupuscule "Nation". Aujourd’hui comme hier, tout ce qui nous divise nous affaiblit: travailleurs belges et immigrés, avec ou sans papiers, tous unis dans la lutte!

  • Rassemblement antifasciste à Liège ce samedi 11 décembre

    Ce samedi 11 décembre aura lieu un rassemblement devant les grilles du centre fermé de Vottem. Cet appel fait suite aux agressions subies à deux reprises par des militants du “collectif de résistance aux centres pour étranger” (CRACPE) de la part de membres du groupuscule néo-nazi ‘Nation’.

    Chaque samedi, des militants du CRACPE se réunissent devant le centre fermé de Vottem dans le but de dénoncer la situation intolérable dans laquelle se trouvent les personnes enfermées, mais aussi pour apporter un minimum de réconfort à ces dernières. Parmi les personnes sensibilisées à la cause des sans- papiers, cette “régularité” était connue de tous… mais par d’autres aussi. Quelques néo-nazis ont donc, à deux reprises (en avril et en octobre), ‘accueillis’ les militants pro-régularisation: au menu comme d’habitude: haine et violence.

    Venons nombreux ce 11 décembre clairement affirmer que nous n’acceptons pas la logique de diviser pour mieux régner de l’extrême droite : tout ce qui nous divise nous affaiblit, des emplois, pas de racisme !

    16h00 : Rassemblement à Vottem

    18H30 : Au Carlo Levi (rue Saint Leonard, 48) : discussion sur les stratégies et perspectives antifascistes

    Ensuite, au même endroit, petite restauration et concerts à 20h00


    Liens:

  • Manifestation contre le centre-fermé de Vottem – Reportage-photos

    Ce dimanche, un peu moins de 1.000 personnes ont commémoré à leur manière les 11 ans du centre-fermé de Vottem. Chaque année depuis 11 an, une manifestation a lieu pour s’opposer à la criminalisation des sans-papiers et à leur enfermement dans ce "camp de la honte". Le PSL a participé à cette manifestation. Les slogans de solidarité avec les sans-papiers et pour leur régularisation fusaient de toute part, mais les médias ont préféré accordé leur attention à la manifestation réactionnaire anti-avortement. Nous reviendrons d’ailleurs sur cette dernière manifestation sur ce site.

    Jente

  • Vottem, camp de la honte, 11 ans déjà…, JE NE L’ACCEPTE TOUJOURS PAS!

    Rassemblement ce dimanche 28 mars 2010 à 14h Place Saint- Lambert (à Liège) et manifestation jusqu’au centre fermé de Vottem (à l’appel du CRACPE).

    Selon le CRER (Coordination contre les Rafles, les Expulsions et pour la Regularisation), il y aurait entre 25.000 et 100.000 sans papiers enfermés dans des centres fermés en Union Européenne, dont 8.000 en Belgique uniquement. Leur seul crime est d’avoir fui la misère et la répression dans leur pays à la recherche d’un meilleur avenir. Les conditions de vie à l’intérieur de ces centres fermés sont pires que dans les prisons: l’isolement des détenus est total, aucun recours judiciaire n’est possible (de plus, toute plainte entraîne une accélération de la procédure d’expulsion), les difficultés dues à la diversité des langues sont énormes,…

    Les pays du Tiers-Monde sont obligés d’ouvrir leurs marchés aux entreprises occidentales. Les grandes puissances n’hésitent pas à utiliser la force pour assurer leur domination économique et politique. La politique de pillage des richesses et de surexploitation de la main d’oeuvre ne sert que les intérêts des multinationales. Comme seuls leurs profits comptent à leurs yeux, ces multinationales jouent un rôle important dans le maintien des régimes réactionnaires dans le monde néocolonial. Le capitalisme ne peut exister sans exploitation, sans oppression et donc sans “flots massifs” de réfugiés.

    Les multinationales et les puissances occidentales sont donc les premiers responsables des conditions qui poussent les immigrés à quitter leur famille et leur pays pour l’inconnu. Mais l’acceuil est rude. La politique de répression de l’Europe Forteresse tue chaque année 10.000 personnes à ses portes. Car l’Europe préfère s’en prendre aux immigrés plutôt qu’aux causes de l’immigration, ce qui obligerait à s’en prendre à l’impérialisme et aux multinationales.

    En Belgique, les expulsions forcées sont passées de 1871 en 1999 à 7742 en 2004. Elles ont donc quadruplé en l’espace de 5 années seulement. La politique d’expulsions pousse des dizaines de milliers de personnes dans la clandestinité. Avec la dérégulation néolibérale du marché du travail, des pans entiers de l’économie capitaliste basculent dans l’illégalité.

    Les travailleurs sans-papiers sont privés de toute protection sociale et doivent accepter des conditions de travail que les autres refusent. Ils sont ainsi utilisés comme main d’œuvre bon marché et comme outil pour saper les salaires et conditions de travail de tous. Nous militons pour la régularisation des sans-papiers, mais pas pour répartir la pénurie d’emploi et la misère : nous luttons pour un bon emploi pour tous, avec de bons salaires.

    L’Union Européenne, de son côté, a enteriné la «libre circulation» des personnes. Cela ne concerne bien entendu pas les sans-papiers. Mais les travailleurs qui ont un permis de séjour et qui travaillent pour une entreprise étrangère dans nos pays ne sont pas protégés par les conventions sectorielles locales. La Cour Européenne de Justice considère en effet que seuls les salaires minimums nationaux du pays d’origine des travailleurs doivent être respectés. L’Union Européenne a donc offert aux capitalistes le moyen d’exploiter plus encore les travailleurs, ce qui contribue, en conséquence, à encore baisser les conditions que sont obligés d’accepter les sans-papiers.

    • Suppression des centres fermés
    • Arrêt des expulsions
    • Régularisation des sans papiers
    • De bons emplois pour tous, pour une répartition du temps de travail par les 32 heures de travail par semaine avec embauches compensatoires et sans perte de salaire pour en finir avec le chômage
    • C’est aux multinationales qu’il faut s’en prendre, pas à leur victime: pour la solidarité internationale des travailleurs
    • Pour une société débarassée de l’exploitation capitaliste, pour une société socialiste
  • Bressoux: occupation de sans-papiers – SOLIDARITE!

    Depuis samedi matin, quelques dizaines de sans-papiers ont commencé à occuper l’ancienne gare de Bressoux, en région liégeoise. Ce bâtiment vide depuis plusieurs années déjà accueille maintenant les sans-papiers en lutte organisés par l’OSP (Organisation des Sans-Papiers). La réalisation de l’accord gouvernemental à ce sujet est attendue depuis un an et presque 3 mois déjà…

    Les sans-papiers de la gare de Bressoux viennent de l’occupation de jour de l’ULG, l’Université de Liège. Les recteurs d’université avaient précisé qu’une autre solution devait être trouvée pour le 30 juin, c’est maintenant chose faite. Mais ici, il est question d’une occupation dans la durée.

    Les habitants du quartier ont démontré leur solidarité dès le début, en apportant des vivres, des matelas, des couvertures,… de même que différents collectifs, dont les organisations traditionnelles de défense des sans-papiers, mais aussi le Collectif de la Chauve-souris et le PSL, par exemple.

    Il reste d’ailleurs encore beaucoup de manques, et nous vous invitons à aller à l’occupation de la gare de Bressoux non seulement pour rencontrer les sans-papiers en lutte, mais aussi pour apporter des assiettes, des matelas, des couvertures, des livres,…

    D’autre part, une manifestation aura lieu ce vendredi 12 juin, à midi, à la gare Schuman à Bruxelles et à laquelle participeront les sans-papiers de Bressoux.

    Solidarité! C’est aux multinationales qu’il faut s’en prendre, pas à leurs victimes! Régularisation de tous les sans-papiers!

  • C’est aux multinationales qu’il faut s’en prendre, pas à leurs victimes

    Les pays du Tiers-Monde sont obligés d’ouvrir leurs marchés aux entreprises occidentales. Les grandes puissances n’hésitent pas à utiliser la force pour assurer leur domination économique et politique. La politique de pillage des richesses et de surexploitation de la main d’oeuvre ne sert que les intérêts des multinationales. Comme seuls leurs profits comptent à leurs yeux, ces multinationales jouent un rôle important dans le maintien des régimes réactionnaires dans le monde néocolonial. Le capitalisme ne peut exister sans exploitation, sans oppression et donc sans “flots massifs” de réfugiés.

    Tract du PSL à l’occasion de la manifestation contre les centres fermés du 10 mai à Liège

    Tract en version PDF

    VOTTEM; camp de la honte, 10 ans déjà,.. je ne l’accepte toujours pas!

    [box type=”shadow” align=”alignright” width=”100″]

    SIMON HUPKENS:

    Délégué du personel dans l’Horeca, tête de liste du PSL aux régionales pour la circonscription de Liège et 6e effectif sur la liste LCR-PSL pour les européennes.

    "La politique d’expulsions pousse des dizaines de milliers de personnes dans la clandestinité. Avec la dérégulation néolibérale du marché du travail, des pans entiers de l’économie capitaliste basculent dans l’illégalité. Dans l’horeca ce problème est très présent.

    Les travailleurs sans-papiers sont privés de toute protection sociale et doivent accepter des conditions de travail que les autres refusent. Ils sont ainsi utilisés comme main d’œuvre bon marché et comme outil pour saper les salaires et conditions de travail de tous. Nous militons pour la régularisation des sans-papiers, mais pas pour répartir la pénurie d’emploi et la misère : nous luttons pour un bon emploi pour tous, avec de bons salaires.

    L’Union Européenne, de son côté, a enteriné la «libre circulation» des personnes. Cela ne concerne bien entendu pas les sans-papiers. Mais les travailleurs qui ont un permis de séjour et qui travaillent pour une entreprise étrangère dans nos pays ne sont pas protégés par les conventions sectorielles locales. La Cour Européenne de Justice considère en effet que seuls les salaires minimums nationaux du pays d’origine des travailleurs doivent être respectés. L’Union Européenne a donc offert aux capitalistes le moyen d’exploiter plus encore les travailleurs, ce qui contribue, en conséquence, à encore baisser les conditions que sont obligés d’accepter les sans-papiers.

    C’est pour cela que nous participons aux luttes des travailleurs – avec ou sans papiers – avec des revendications telles que la semaine de 32 heures par semaine avec embauches compensatoires et sans perte de salaire ou encore celle de la nationalisation des secteurs clés de l’économie (finance, énergie, sidérurgie,…) sous le contrôle des travailleurs. De cette façon, il serait possible de faire tourner l’économie dans le bien de tous et non en fonction d’une minorité de capitalistes qui sèment la division entre les travailleurs mieux les exploiter."

    A Vottem, il existe une prison où on enferme des hommes et des femmes qui n’ont commis aucun crime – sauf ne pas avoir de papiers en règle. Les conditions de vie à l’intérieur de ces centres fermés sont pires que dans les prisons : l’isolement des détenus est total, aucun recours judiciaire n’est possible (de plus, toute plainte entraîne une accélération de la procédure d’expulsion), les difficultés dues à la diversité des langues sont énormes,…

    Cette situation crée une tension permanente au sein du centre fermé. Le personnel est de plus en plus pris à partie et vient de mener 5 jours de grève pour sa sécurité et de meilleures conditions de travail. L’accord conclu ne résoudra pourtant pas le problème. Il faut supprimer tous les centres fermés et cela doit être accompagné d’un plan de reconversion de l’ensemble du personnel vers des emplois décents dans des services publics utiles, avec maintien des salaires et amélioration des conditions de travail.

    Turtelboom : le droit de choisir… pour le patron !

    Turtelboom propose, entre autres, que ceux qui ont un travail puissent obtenir un permis de séjour d’un an renouvelable, à condition d’avoir toujours un emploi au terme de cette période. Ainsi quand elle parle de « régularisation temporaire », elle veut en fait faire un pas dans la direction de l’immigration économique « choisie ». Le gouvernement et le patronat sont prêts à donner des papiers provisoires aux travailleurs qualifiés qui peuvent venir combler des manques dans des secteurs en manque de main-d’œuvre qualifiée (comme la santé et l’informatique de pointe). Si cette immigration est "choisie", c’est surtout par le pays d’"accueil" qui ne doit pas assurer la formation de base du travailleur (c’est un pays du monde néocolonial qui en a payé le haut coût), qui en retire le bénéfice immédiat et qui renvoie le colis au pays d’origine quand la pénurie est comblée. L’"immigration choisie", c’est le contraire de la bien connue délocalisation d’entreprise – dans ce cas-ci, on délocalise la main d’œuvre pour permettre aux entreprises belges de rester chez nous – mais le but est le même : faire un max de profit en payant le moins possible.

    NON à l’Europe du capital, pour une Europe socialiste!

    Les moyens pour une politique digne de l’être humain existent, même avec la crise économique actuelle. Mais, pour financer une telle politique, il faut prendre l’argent ailleurs que dans les poches des 80% de la population qui vivent de leur salaires ou d’allocations et qui ne reçoivent même pas la moitié de la richesse qu’ils ont euxmêmes produite dans le pays. Et seule une lutte de classes décidée pourra libérer les moyens qui permettraient à la fois de meilleurs salaires et allocations ainsi qu’un traitement humain des pauvres du monde qui échouent ici.

    JALIL BOURHIDANE

    Etudiant-travailleur (steward), un des porte-parole du Comité d’Action et de Soutien aux sans- papiers (CAS) à l’ULB, formateur au CIEP-MOC et 6e candidat effectif sur la liste PC-PSL-LCR-PH à Bruxelles.

    "Il y a un an et demi, lors de la première occupation à l’ULB (celle du 129 Av. Buyl), Etudiants de Gauche Actifs (EGA – l’organisation étudiante du PSL) a aidé les sans-papiers à s’installer. Nous sommes solidaires des luttes de chaque travailleur, avec ou sans papiers et, très vite, nous avons mis en avant la nécessité de mobiliser les étudiants et donc de créer un Comité d’Action et de Soutien (le CAS) démocratique et ouvert à tous (étudiants, personnel et riverains) pour organiser la mobilisation.

    Depuis, avec le CAS, nous avons réussi à élargir le mouvement avec des occupations et des comités de soutien dans plusieurs Hautes Ecoles et dans la plupart des universités à Bruxelles, en Wallonie et en Flandre. Les sans-papiers ne pourront obtenir une victoire que s’ils parviennent à gagner le soutien d’une couche plus large de la population, notamment au sein du mouvement ouvrier organisé.

    C’est pourquoi, avec tous les CAS de Bruxelles et du Brabant Wallon, nous avons organisé une manifestation réussie ce 1er Mai à Bruxelles sous le slogan «Les travailleurs du Nord et du Sud ne paieront pas la crise!». 500 étudiants et travailleurs, avec et sans papiers, ont manifesté de l’Office des Etrangers à la fête de la FGTB en passant par le Béguinage, occupé par les sans-papiers avec le soutien de la CSC."

    [/box]


  • Vottem: 10 ans déjà, je ne l’accepte toujours pas – Reportage-photos (1)

    Aujourd’hui s’est déroulée la manifestation qui a commémoré les dix ans d’existence du centre fermé de Vottem, en région liégeoise. Environ un milllier de personnes sont parties du centre ville pour rejoindre le centre. Le PSL était présent, dans un bloc commun avec la LCR (avec qui nous présentons une liste commune pour les élections européennes). Notre bloc a scandé des slogans tels que "C’est pas les sans-papiers qu’il faut virer, c’est le capitalisme qu’il faut éliminer" entre autres slogans de solidarité avec les sans-papiers et d’unité entre travailleurs.

    Par Nico

    Reportage-photos (2)

  • Vottem: 10 ans déjà, je ne l’accepte toujours pas – Reportage-photos (2)

    Aujourd’hui s’est déroulée la manifestation qui a commémoré les dix ans d’existence du centre fermé de Vottem, en région liégeoise. Environ un milllier de personnes sont parties du centre ville pour rejoindre le centre. Le PSL était présent, dans un bloc commun avec la LCR (avec qui nous présentons une liste commune pour les élections européennes). Notre bloc a scandé des slogans tels que "C’est pas les sans-papiers qu’il faut virer, c’est le capitalisme qu’il faut éliminer" entre autres slogans de solidarité avec les sans-papiers et d’unité entre travailleurs.

    Par Nico

    Reportage-photos (1)

  • Action pour les sans-papiers – répression policière à Bruxelles

    La semaine dernière, plusieurs actions ont eu lieu dans le pays en faveur des sans-papiers. A Bruxelles, les étudiants avaient manifesté devant le ministère de l’asile et de l’immigration et ont été réprimé par la police. Vous pouvez ci dessous accéder à une vidéo d’EGA-ULB.

  • Protestation au ministère de l’asile et de l’immigration

    Ce mercredi, une trentaine de personnes ont mené une action à Bruxelles devant le ministère de l’immigration et de l’asile. Il s’agissait de défendre le cas d’Usman, Melina et leurs enfants, qui a déjà été pris en considération plusieurs fois sur ce site. Des amis, camarades de classe, enseignants,… étaient venus en solidarité avec eux, de même que le PSL (ex-MAS), présent avec une petite délégation. Une pétition a été délivrée à un responsable du ministère.

    Le cas d’Usman, Melina et leurs enfants est un exemple de l’énorme arbitraire qui règne dans le droit d’asile belge. Usman vient de la partie du Cachemire occupée par le Pakistan, Melina des Philippines. Leurs enfants sont nés ici. Mais Usman et Melina, selon les autorités belges, doivent retourner à «leur» pays. Duquel s’agit-il pour les enfants ?

    Usman et Melina sont déjà en Belgique depuis plusieurs années, presque dix ans. Usman est en effet arrivé le 1er septembre 1999 dans notre pays, Melina en 2000. Tous les deux ont servi comme personnel de maison des ambassades, jusqu’à ce qu’ils entrent en lutte contre leur traitement et les abus dont ils étaient victimes. Le couple a fait à plusieurs reprises le récit de ses mésaventures dans les médias flamands. Le recours à du personnel exploité à bas coût dans les ambassades est un sujet délicat pour les autorités, mais pour les victimes cela reste traumatisant.

    A l’action devant le ministère étaient présents des amis et des connaissances du couple et des enfants, qui vont à une école néerlandophone de Saint-Gilles. Plusieurs parents d’autres élèves étaient là aussi, dont Anja Deschoemacker, porte-parole du PSL/LSP. Beaucoup d’enseignants ont également marqué leur soutien, comme l’a reporté un reportage radio fait depuis l’école hier matin.

    Cette action avait pour objectif de montrer sur quel soutien peuvent compter Usman, Melina et leurs enfants. Mais pour nous, il ne s’agit pas d’un problème individuel, mais bien d’une lutte collective. La procédure dedroit d’asile a été commentée en détail par l’avocat du couple, Maître Van Tieghem. Une nouvelle demande a été introduite, avec des références aux droits de l’enfant. Une pétition à laquelle ont souscrit des centaines de personnes a été remise à un responsable du ministère.

    Usman a remercié tous les participants qui étaient venus le soutenir, lui et sa famille. Après tant d’années d’incertitudes, Usman espère enfin pouvoir arracher le droit d’avoir un avenir pour sa femme, lui-même et ses enfants.

0
    0
    Your Cart
    Your cart is emptyReturn to Shop