Nouvelles du PSL/LSP, un parti pour changer de société

Manifestation pour la climat

Ce dimanche, le mouvement pour le climat fait son retour dans les rues. Les conséquences de la crise climatiques n’ont jamais été aussi visibles qu’aujourd’hui. Il suffit de penser aux récentes inondations en Wallonie. Les politiciens établis ne vont pas plus loin que du “bla bla”, il est temps de reprendre notre avenir en main ! Nous serons présents cet après-midi et espérons bien vous y voir ! La délégation des Etudiants de Gauche Actifs et de la Campagne ROSA vous attend.

Action contre le projet de réforme du code pénal en matière de violences sexuelles

Mardi dernier, la Campagne ROSA était présente à l’action organisée par le Réseau FACES contre le projet du gouvernement de réforme du Code pénal en matière de violences sexuelles. Le Code pénal du 19e siècle a bien besoin d’être changé. Mais sans mouvement social, l’apport de concepts essentiels tel que le consentement restera lettre morte et n’aura pas d’impact réel.

Seuls 4 viols sur 1000 aboutissent à une condamnation. 91 % des victimes qui osent aller à la police expliquent avoir été mal reçues. Si vous vous faites cambrioler, la police vient chez vous, mais en cas de viol, il n’y a que 3 hôpitaux en Belgique où il est possible d’avoir des soins, de faire les constatations médicolégales et porter plainte en un seul et même endroit. Nous avons besoin d’investissements publics massifs dans les services publics et sociaux pour un accompagnement des victimes au niveau social, médical, mais aussi judiciaire. Il faut aussi des investissements massifs dans la justice sans quoi les plaintes continueront à être classées sans suite faute de personnel pour les traiter.

Le deuxième axe de ce projet de réforme concerne la prostitution. Il est inacceptable de légaliser le proxénétisme « s’il n’y a pas de profit anormal ». Il n’est jamais normal de faire du profit sur le corps d’autrui. Il est inacceptable que tant de personnes n’ait d’autres « choix » que de se prostituer, faute d’un emploi décent, d’allocations au-dessus du seuil de pauvreté. Il est aussi crucial de mettre tout en œuvre pour lutter contre l’esclavage sexuel et d’en accompagner les victimes ; et non de détruire les instruments légaux contre les responsables de ces traites comme le fera cette réforme si elle voit le jour.

Fonds Glasgow : vers les 10.000 euros

D’ici la fin de la semaine prochaine, nous voulons avoir toutes les inscriptions pour les bus à destination de Glasgow. Nous en sommes actuellement à 70 inscriptions, et de nombreux autres jeunes et travailleurs envisagent de rejoindre l’équipe. Pour que tout le monde puisse y aller et pour couvrir les frais supplémentaires, nous avons créé le Fonds Glasgow avec lequel nous voulons réunir pas moins de 10.000 euros. Nous avons déjà récolté plus de 1.000 euros et nous vendrons des cartes de soutien dimanche lors de la manifestation pour le climat.

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Pourquoi j’ai rejoint le PSL/LSP

Le secteur médical et celui des sciences humaines et sociales constituent mon cadre de travail. Mes diverses expériences professionnelles ont levé régulièrement la question du « pourquoi ça ne fonctionne pas ?? ». Qu’il y avait-il à comprendre du fossé entre le constat de l’existence d’outils pour répondre aux besoins des personnes et de la persistance de tant de fléaux dans notre société (pauvreté, inégalités, injustices, discriminations…) ? Je ne trouvais pas de réponse à ces questions dans les discours des partis politiques traditionnels. Pourquoi, alors qu’ils se présentent différents les uns des autres, me semblaient-ils pareils, avec cette impression que quelle que soit la composition d’un gouvernement, ce serait « faire toujours du même » ? Une part des réponses que les politiciens de ces partis apportent aux questions qui leur sont posées est consacrée à mettre en évidence ce qu’ils font mieux que leurs adversaires ou à rappeler qu’ils ont été les premiers à prendre certaines mesures, mais c’est tellement « toujours du même » et sans piste d’espoir que les personnes renoncent à croire en la possibilité d’un monde meilleur. Mes rencontres et recherches m’ont menée au marxisme puis au PSL.

J’y ai trouvé une évidence, une source de réponse à mes questions : les fondements du système capitaliste dans lequel notre société s’inscrit et ses conséquences. Le capitalisme n’est pas un système dont la finalité serait de répondre aux besoins de la majorité des personnes qui constituent notre société et qui la font fonctionner.

Devenir membre du PSL, parti à dimension internationale, est « poser mes valises » là où je me sens en cohérence avec mes valeurs, pour les soutenir en m’impliquant avec d’autres personnes, avec la force de la solidarité.

Dominique, Namur