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Pourquoi rejoindre le PSL?
Ci-dessous, quelques jeunes nouveaux camarades expliquent les raisons qui les ont poussés à rejoindre le Parti Socialiste de Lutte (PSL). Espérons que cela puisse vous inspirer à en faire autant ! Contactez-nous via info@socialisme.be ou au 02/345.61.81.
“En vivant comme étudiante et sans-papiers, je vois régulièrement toutes les injustices qui s’appliquent à ces deux couches de la population assez nombreuses (les étudiants et les sans-papiers). Je crois que cela a développé en moi une certaine conscience politique, cela a réveillé l’envie de lutter contre les mesures prises par le gouvernement actuel. Le PSL est le parti qui mène cette lutte mais qui défend aussi une alternative en faisant l’analyse nécessaire de tout ce qui se passe dans le monde. Cette analyse me permet ainsi de politiser les gens autour de moi et d’expliquer à certains pourquoi les préjugés n’ont pas de sens la plupart de temps.” Yana
“J’ai rejoint le PSL parce qu’une amie m’en avait parlé et qu’elle m’avait dit que ça pouvait coller avec ce que je pensais idéologiquement. En outre, elle m’avait dit que ce parti s’intégrait dans un organisme international (le CIO) et ça m’a tout de suite plu parce que je trouve important de voir plus loin qu’à l’échelle d’une nation et de devoir quitter nos petits égocentrismes nationaux. Ensuite, une chose qui m’a de suite séduit, c’est le fait que le PSL est un parti qui évolue dans l’action (mouvements de grèves, manifs, etc.) mais qui ne délaisse pas non plus toute la base théorique sans laquelle toute action serait stérile. En bref, c’est un parti dans lequel il y a un certain ‘‘équilibre’’ que je trouve très important pour mener une lutte à bien.” Frank
‘‘Je suis membre depuis un an. Je me suis intéressée au marxisme autour de mes 13-14 ans. J’ai lu le Manifeste du Parti Communiste. Mais je ne suis pas devenue politiquement active parce que je ne pensais pas qu’un changement soit possible mais une fois qu’un de mes amis m’a entrainée dans une manifestation à Bruxelles, j’ai de suite vu que c’était tout le contraire. J’ai rejoint les Etudiants de Gauche Actifs peu après. Après plusieurs manifestations, meetings, discussions politiques individuelles, ateliers de discussion, je suis encore plus convaincue d’avoir fait le bon choix.’’ Louise
“Je suis cette organisation depuis quelques mois et suis membre depuis le camp d’été de juillet dernier. Venant d’une ‘‘bonne’’ famille, je ne me rendais pas compte que la misère sociale existait pas loin de chez moi. J’avais remarqué depuis quelques années que ce système était mal foutu et je me suis tourné à 15 ans vers l’anarchisme. À partir de là, les expériences personnelles m’ont conduites à rencontrer des gens de milieux sociaux différents et plus défavorisés. J’ai beaucoup appris de leurs parcours de vie et je me suis conforté dans l’idée qu’il fallait changer les choses. Mais comment ? C’est alors que j’ai rencontré un camarade du PSL, un soir, par hasard, à Mons. On a parlé de politique et il m’a laissé le journal du parti. Peu de temps après, on a passé une après-midi entière à parler et j’ai vu dans l’organisation une réelle solution d’avenir pour changer le monde. Il m’a invité à une réunion et d’autres personnes m’ont expliqué le fonctionnement du parti et, par projection, du système de société alternatif à mettre en place. Au camp d’été, j’ai rencontré plein de personnes de tous âges, dont le fondateur du parti en Belgique. J’ai appris beaucoup de choses, ce qui m’a conforté dans l’idée qu’il est possible de tout changer si on y met tous du sien !” Jenio
“J’ai rejoint le PSL peu après mon entrée à l’Université. J’étais déjà intrigué par le marxisme et donc, vu le contexte actuel, j’étais enclin à rejoindre une organisation qui pourrait me faire comprendre réellement de quoi il en retourne. C’est donc tout naturellement que j’ai laissé mes coordonnées à un stand EGA qui prenait place à l’ULG, après quoi j’ai eu des conversations avec certains de ses membres qui n’ont fait qu’affermir ma volonté de rejoindre le PSL.” Nicolas
