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  • Camp d'été des Étudiants de Gauche Actifs et du PSL – 2015

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    MIEUX COMPRENDRE LE MONDE POUR MIEUX LE CHANGER du 1 au 6 juillet 2015

    5 JOURNÉES DE DÉBATS, AVEC UNE VINGTAINE D’ATELIERS, ET DE DÉTENTE.

    Cette année, le camp d’été des Etudiants de Gauche Actifs (EGA) débutera le 1er juillet. A partir du 4 juillet et jusqu’au 6, il ouvrira également ses portes au PSL.

    1-2-3 JUILLET : POUR LES JEUNES prévente 1-6 juillet 75€ (60€ pour le secondaire)

    Nous discuterons de toute une série de thèmes: l’ABC du marxisme, la hausse des droits d’inscription et les coupes budgétaires dans l’enseignement, la construction du mouvement antiraciste et antifasciste, la lutte pour des emplois décents et une perspective d’avenir,… Nous préparerons bien entendu également les campagnes que nous mènerons sur les festivals durant l’été ainsi qu’à la rentrée académique. (Programme complet sur www.gauche.be)

    Arrivée : mercredi 1 juillet entre 19h et 20h

    4-5-6 JUILLET : POUR LES JEUNES ET LES TRAVAILLEURS prévente 4-6 juillet : 55€

    Les inégalités entre riches et pauvres atteignent des niveaux inédits. 85 personnes au monde possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de la population mondiale. En Europe, une nouvelle vague de résistance de masse contre l’austérité se développe : rébellions de masse sur la question nationale en Écosse et en Catalogne, mouvement contre la taxe sur l’eau en Irlande, arrivée au pouvoir de Syriza en Grèce, etc. Il y a aussi eu le plan d’action historique contre le gouvernement de droite dure en Belgique. Mais la résistance n’a de sens que si elle dispose d’une réelle alternative. Nous voulons discuter, ensemble, travailleurs et jeunes, de la manière de développer la résistance et cette alternative. (Programme complet sur socialisme.be)

    Arrivée le samedi 4 juillet entre 10h et 11h
    Départ le 7 juillet entre 12h et 14h.

    PLACE AUSSI À LA DÉTENTE !
    Après-midi libre, promenade en réserve naturelle, piscine, mini-golf, soirée ciné, cantus rouge et, bien entendu, une soirée !

    OÙ ?

    Au Domaine VOGELSBERG, Achtersteeg 3, 2490 Balen. Pour y arriver à partir de la Gare de Mol: prendre le bus 732 (direction Wezel) et descendre à l’arrêt Balen Het Roth.

    ACCOMMODATION ?

    Le séjour est organisé en pension complète. Logement possible en dortoir (50 places) ou en tentes (30 places). Prenez votre sac de couchage.

    PRIX / INSCRIPTION ?

    Inscription en prévente : (paiement avant le 10 mai)
    Via mail à boris@socialisme.be et payement par virement au BE69 0012 2603 9378 avec communication “Camp 2015”, ou via une carte de prévente auprès des membres d’EGA et du PSL.

    A mentionner dans l’email :

    Nom : ……
    Prénom : ……
    Adresse : ……
    Email : ……
    Tel : ……
    Logement : en dortoir ou en tente
    Repas : végétarien / non-végétarien / autre

    Formules tarifaires en prévente :
    (Le prix sur place est majoré de 10€ pour les formules de camp et de 5€ pour une journée)
    – 1 au 6 juillet formule Jeune à 75€ en prévente
    –  1 au 6 juillet formule étudiants du secondaire 60€ en prévente
    –  4 au 6 juillet formule PSL à 55€
    –  A la journée en prévente 18€ non-salarié et 23€ salarié :

    camp_ete_2015

  • Débat sur la Grèce : quelle perspective pour le mouvement anti-austerité?

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    Antarsya Belgique vous invite à ce débat avec Panagiotis Sotiris membre du comité centrale d’Antarsya (la coalition de la gauche anticapitaliste grecque) venu spécialement d’Athènes, Eric Byl du Parti Socialiste de Lutte, Céline Caudron de la LCR / SAP, Jean Flinker d’Attac Bruxelles 1 et Kyle Michiels du Vonk/Révolution.

    Ce mardi 28 avril, à partir de 19h, à la Pianofabriek, 35 rue du Fort, 1060 Saint-Gilles

    => Évènement facebook

  • S2015. Contre le capitalisme et son cortège de misère, construisons une alternative socialiste !

    soc2015_01Avec 170 participants, l’édition 2015 de la journée « Socialisme » fut un beau succès. Comme l’a fait remarquer un travailleur, on ne trouvait pas dans ces discussions politiques de jargon académique. La politique a été abordée à partir du monde qui est le nôtre, celui des travailleurs, des précaires, des allocataires sociaux,… La parole a été donnée à de nombreux militants qui, comme chacun d’entre nous, souffrent des politiques d’austérité. Mais se limiter à la dénonciation n’était pas l’objectif de cette journée. Son but était bien plus de discuter de la stratégie nécessaire pour faire avancer la lutte et la défense de notre avenir.

    La journée a débuté par un meeting international. Sans surprise, une large attention a été consacrée aux développements de la situation en Grèce. Nikos Kanellis (conseiller communal élu sur une liste de SYRIZA à Volos et membre de la direction de notre organisation sœur grecque Xekinima) a parlé de l’appel issu des tréfonds de la société grecque pour un véritable changement de politique et de la manière dont l’ensemble de l’establishment capitaliste européen est affolé. Les négociations n’offrent rien, l’Union européenne n’accepte aucun aménagement de sa politique d’austérité. Rompre avec cette logique socialement dévastatrice exige d’activement mobiliser la base de la population. Mais si le pendule va vers la gauche à travers l’Europe, cela ne signifie pas pour autant que le danger des courants réactionnaires de droite a disparu. A la suite de Nikos Kanellis, nous avons d’ailleurs pu écouter notre camarade Lucy Redler (membre de notre organisation-seur en Allemagne et porte-parole du courant de la Gauche Anticapitaliste au sein du parti de gauche Die Linke) qui a parlé du mouvement xénophobe Pegida en Allemagne. Elle a également fait état de la renaissance de la lutte de classe dans le pays et de la manière dont cela peut constituer une base importante pour la solidarité internationale à construire avec la résistance anti-austérité grecque. Ce meeting a été clôturé par Bart Vandersteene, porte-parole national du PSL, qui a très activement été impliqué dans le développement de notre organisation-sœur américaine Socialist Alternative ces deux dernières années. À Seattle, il a notamment participé à la campagne qui a permis l’élection de notre camarade Kshama Sawant. Il y retournera bientôt afin de permettre la réélection de « la femme la plus dangereuse des Etats-Unis », selon le chroniqueur Chris Hedges. Dangereuse pour l’establishment capitaliste bien entendu…

    Après ce meeting ont pris place cinq ateliers de discussion destinés à aborder un thème spécifique plus en profondeur. Au sein de l’un d’eux, notre camarade Orhan Kilic a livré son rapport d’une récente visite de solidarité au Kurdistan et a abordé la lutte courageuse menée contre l’Etat islamique (Daesh) notamment à Kobané. Il a aussi été question de la lutte pour les droits des femmes dans une perspective socialiste, de la défense de l’environnement en relation avec la nécessité d’une économie démocratiquement planifiée et de l’évaluation du premier plan d’action du front commun syndical qui a renoué avec la tradition de la « grève belge », comme en parlait la révolutionnaire allemande Rosa Luxemburg, c’est-à-dire des actions de grève avec un objectif politique. L’atelier qui a bénéficié de la plus large présence était consacré à la Grèce. Nikos Kanellis est revenu plus en détail sur la lutte anti-austérité, sur les limites de SYRIZA et sur le potentiel présent pour une mobilisation de masse.

    Deux commissions simultanées ont ensuite eu lieu. La première était consacrée aux discussions sur la « justice fiscale », l’impôt sur la fortune, le taxshift, etc. Jon Sneyers, militant de la LBC (la CNE flamande) a encadré la discussion aux côtés de Stefan Herweg, collaborateur du parti de gauche allemand Die Linke au Parlement européen et spécialiste de la fraude fiscale et plus particulièrement du scandale de LuxLeaks. Ensuite, Peter Delsing a livré une critique marxiste du célèbre livre de l’économiste français Thomas Piketty consacré aux inégalités, le Capital au XXIe siècle.

    L’autre commission était consacrée à la lutte contre la haine et le terrorisme. Notre camarade Jarmo a expliqué pourquoi l’approche du gouvernement contre la radicalisation est destinée à rencontrer l’échec. Répondre par la répression à la menace terroriste laisse intact le terreau sur lequel se développe l’aliénation d’une partie grandissante de la population. Lucy Redler était elle aussi présente et a abordé le développement du mouvement xénophobe Pegida et ses causes, de même que la lutte contre mouvement réactionnaire ainsi que les discussions stratégiques, tactiques et programmatiques qui animent les antifascistes. Une lutte apolitique contre le racisme ne représente par exemple pas une riposte efficace si nous voulons toucher des couches larges et pas seulement les convaincus. D’autre part, il est nécessaire d’aborder la question de l’impérialisme. La menace terroriste est réelle, tout comme la guerre est une réalité au Moyen-Orient. «La guerre, c’est du terrorisme avec un budget plus important » a ainsi déclaré Lucy, en écho au slogan qui avait été popularisé il y a quelques années par le groupe punk britannique Chumbawamba. Comment la menace terroriste peut-elle être stoppée ici par ceux-là même qui sont à la base des conflits au Moyen-Orient?

    « Socialisme 2015 » a été clôturé par un meeting final qui a débuté par une projection vidéo de divers témoignages de syndicalistes concernant la lutte contre le gouvernement Michel. Anja Deschoemacker a ensuite parlé de l’impact de l’austérité pour les femmes et de la manière dont la lutte sur ce thème est de nature à renforcer la mobilisation globale contre l’austérité. A sa suite, Thierry Müller, membre du Réseau StopArt. 63§2, a abordé la lutte contre les exclusions de chômeurs des allocations dites d’insertion. Comment peut-on considérer les chômeurs comme responsables de leur situation alors que le nombre d’emplois disponibles est insuffisant ?, a-t-il demandé. Thierry a étayé ses dires de nombreux faits et chiffres sans équivoque. Le Réseau Stop Art. 63§2 a mené combat des mois durant contre la suppression des allocations de chômage. La pression des diverses actions de protestation et du large mécontentement a poussé l’ancien Premier ministre Di Rupo a verser des larmes de crocodile et a publiquement déclaré qu’il regrettait l’adoption de cette mesure profondément antisociale. Plusieurs propositions visant à l’abolir seront proposées au Parlement dans les semaines à venir. La dernière prise de parole fut celle d’Eric Byl, qui est revenu sur le premier plan d’action syndical et sur le large soutien dont il a bénéficié, notamment parmi la jeunesse et le secteur socio-culturel. Eric a souligné que le potentiel restait gigantesque pour un mouvement large de résistance, mais aussi qu’il est crucial de lier cette résistance à la défense d’une alternative politique. Le PSL veut jouer un rôle concernant ces discussions sur le relais politique des luttes sociales dont nous avons besoin.

    Cette journée « Socialisme 2015 » a pu être un succès grâce aux efforts de nombreuses personnes pour la préparation de la salle et des repas, pour les traductions, pour la tenue du stand de livres et brochures, etc. Cinq personnes ont fait part de leur volonté de rejoindre notre parti au cours de l’évènement, et plus de 400 euros ont été récolté par la vente de livres. « La révolution trahie» de Léon Trotsky, que nous venons d’éditer, a pu compter sur un bon écho, mais nous avions aussi de nombreux ouvrages marxistes à petits prix.

    Ces dernières semaines n’ont pas manqué de mobilisations sociales diverses. Mais il est également important de prendre le temps nécessaire à la formation politique afin de renforcer l’organisation les actions à venir et de construire le soutien pour une alternative socialiste à la crise capitaliste. Cette journée, comme chaque année, fut un pas important dans cette direction.

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    Photos de SooRa

    Photos de Jente

    Photos de PPICS

  • 200e exemplaire de Lutte Socialiste !

    P13LutteSocialiste

    Le premier numéro en langue française de notre mensuel est paru il y a presque 20 ans déjà, à l’occasion du 1er mai 1995. A l’époque, ‘‘Lutte Socialiste’’ s’appelait ‘‘Le Militant’’. Son équivalent néerlandophone existait déjà depuis quelques années (De Linkse Socialist en est aujourd’hui à son 343e exemplaire) autour d’un bon noyau de militants mais, du côté francophone, nous n’avions alors qu’une poignée de camarades ayant rejoint l’organisation en 1994.

    Les organisations de gauche radicale ne roulent pas sur l’or, c’est bien connu, mais notre organisation était très limitée à ce moment-là et le journal était produit sur trois vieux ordinateurs, deux d’entre eux ayant été fournis par des camarades hollandais : ils avaient des claviers qwerty et aucune touche pour les accents ! Comme l’expliquait un témoin de l’époque à l’occasion du 100e numéro : ‘‘ces difficultés ne nous arrêtaient pas car nous étions plein d’enthousiasme d’avoir rejoint une organisation marxiste internationale capable d’aller à contre-courant de la vague de démoralisation qui avait foudroyé pas mal d’organisations et de militants après l’effondrement des pays staliniens en Europe de l’Est.’’ C’est autour de ce journal édité dès lors dans les deux langues que nous avons pu construire nationalement un petit parti extrêmement dynamique.

    Militant_01A l’époque, chaque organisation de gauche ou presque disposait de son journal pour développer ses idées. Certains groupes n’ont pas survécu au passage du temps tandis que d’autres ont préféré accentuer leur travail sur internet au détriment d’une presse papier. Quant à nous, nous n’avons cessé d’accentuer la nécessité de continuer à fonctionner avec un journal à diffuser auprès des activistes, syndicalistes, passants,… sans pour autant négliger le développement d’outils internet. Il s’agit d’un instrument important pour rentrer en discussion avec des gens qui ne se rendraient pas nécessairement d’eux-mêmes sur nos sites, d’un excellent outil de formation pour les membres du parti et d’un fil conducteur concret de nos analyses et propositions du moment.

    Nous touchons là à une spécificité importante de Lutte Socialiste : ce n’est pas uniquement un moyen de diffusion d’informations alternatives à celles des médias dominants aux mains de la classe dominante, il s’agit d’un journal militant qui comprend des propositions concrètes destinées à aider les luttes sociales à aller de l’avant, tant au niveau de leur organisation qu’au niveau programmatique.

    Soutenez notre travail : prenez un abonnement !

    La presse écrite traditionnelle et les médias au sens large sont actuellement en pleine perte de crédibilité, en raison de la perte de qualité des journaux (où mensonges et manipulations se mêlent à la destruction des conditions de travail du personnel) mais aussi parce la période actuelle est caractérisée par une remise en question croissante de l’idéologie dominante relayée par ces médias. Mais sans alternative, la voie est ouverte aux théories du complot fantasques ou au cynisme.

    En cette période d’offensive austéritaire brutale, débattre de la stratégie dont nous avons besoin pour aller vers une alternative anticapitaliste et de quelle forme peut bien revêtir cette alternative est de la plus haute importance. Le PSL veut contribuer à ce débat, notamment par le biais de ce journal. Peut-être n’aurez-vous pas systématiquement le temps de tout lire, peut-être ne serez-vous pas en accord avec tout, mais vous conviendrez que l’approche que nous développons est unique et qu’elle mérite d’être soutenue. N’hésitez donc pas à vous abonner et à nous permettre ainsi de disposer de plus de moyens pour déployer nos activités !

    Pour 20 euros (ou en soutien 30 ou 50 euros) vous recevrez 12 numéros, mais vous pouvez également effectuer un ordre permanent bancaire mensuel d’au moins 2 euros. Faites votre versement sur le n° de compte BE48 0013 9075 9627 de ‘‘socialist press’’ avec pour mention ‘‘abonnement’’.

  • Soutenez nos médias de gauche !

    VDM_2015Contre les médias dominants et la propagande de l’establishment – Soutenez nos médias de gauche!
    Placez votre message de voeu de mai dans ‘Lutte Socialiste’ et ‘socialisme.be’!

    Aucun média traditionnel n’offre réellement l’opportunité de faire entendre la voix de la résistance sociale. Les grèves et des manifestations sont la plupart du temps commentées par des non-grévistes et des non-manifestants, d’où l’importance d’un mensuel tel que Lutte Socialiste, et de notre site web socialisme.be. Vous y trouvez des articles, rapports et analyses de l’actualité syndicale et politique, des mouvements sociaux et de la jeunesse, tant au niveau international, national que communal.

    Nous ne nous limitons pas à donner une information sur et par les travailleurs et les jeunes dans cette société. Nous voulons également stimuler la discussion et le débat public sur la meilleure manière de construire notre propre relation de forces. Pas seulement pour faire chuter le gouvernement Michel, mais aussi toute la politique d’austérité, et comment, de la manière la plus efficace, lutter pour un changement de société. Lutte Socialiste et socialisme.be fourmillent donc d’arguments destinés non seulement à contrer la logique néolibérale dominante mais également à organiser et renforcer la solidarité internationale des luttes des travailleurs et de la jeunesse, et à promouvoir un syndicalisme de combat.

    Soutenez les médias socialistes !

    Pour être capables de publier un tel mensuel et alimenter notre site web, nous avons besoin de vous et de votre solidarité. Nous ne comptons pas sur de riches sponsors, mais sur le soutien enthousiaste de nos lecteurs et sympathisants. En premier lieu, si ce n’est pas encore le cas, nous vous invitons à prendre un abonnement à Lutte Socialiste pour, chaque mois, lire votre ration d’analyses anticapitalistes et socialistes tout en soutenant notre travail politique.

    Mais aussi, en vue du 1er mai 2015 et comme c’est la tradition depuis des décennies, nous ouvrons les pages de notre mensuel du mois de mai et de notre site web à des messages de voeux de mai afin de récolter une solidarité financière pour développer des médias alternatifs et réellement socialistes.

    > Envoyez les informations ci-dessous (ainsi qu’un logo ou une image, si nécessaire) par e-mail à redaction@socialisme.be. (avant le 15 avril)

    > Vous pouvez payer la somme correspondante à la taille choisie sur le numéro de compte BE48 0013 9075 9627 de ‘Socialist Press’, avec « voeu de mai » ou «abonnement» en communication.

    1/128ème de page = (environ 26 x 37 mm) = 12 €
    1/64ème de page = (environ 37 x 53 mm) = 25 €
    1/32ème de page = (environ 53 x 74 mm) = 50 €
    1/16ème de page = (environ 74 x 105 mm) = 100 €
    1/8ème de page = (environ 105 x 148 mm) = 200 €

    > Faites attention à adapter la longueur du texte du message à la taille choisie.
    > N’hésitez pas à nous envoyer un logo ou une image, en plus ou à la place du texte.

  • Journée du 8 mars : Unis contre le capitalisme pour en finir avec le sexisme

    Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des Femmes est nécessaire !

    8mars_01Ce dimanche 8 mars, à l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, la Commission femmes du PSL avait organisé une journée de formation et de débat qui a réuni une soixantaine de personnes. Cet évènement riche en discussions avait notamment pour vocation de mieux nous armer face aux grands défis que représente la lutte contre l’austérité. Les suites de cette journée sont immédiates par notre implication dans la lutte contre le gouvernement de droite thatchérien et pour de nouvelles conquêtes sociales.

    Par Emily (Namur)

    La journée a débuté avec une présentation de ce qu’est pour nous la Journée Internationale des Femmes. Ce jour n’a pas pour vocation de fêter les femmes et de les remercier d’être de bonnes mères, de bonnes travailleuses ou de bonnes ménagères ou encore de célébrer les femmes de la classe dominante. Nous voulons remettre à l’avant-plan la nécessité de lutter contre le sexisme et ses causes matérielles : la précarité économique des femmes dans la société de classe. Il est de plus en plus clair avec les mesures d’austérité mises en place par les gouvernements successifs que l’égalité entre hommes et femmes n’existe toujours pas. En effet, les mesures d’économie prises par l’ensemble des partis traditionnels sur notre dos touchent en premier lieu ceux qui sont déjà les plus affaiblis et jettent ainsi des dizaines de milliers de femmes dans la pauvreté.

    8mars_03Le sexisme est un mot générique pour parler des différentes formes de violences que subissent particulièrement les femmes. Ce sujet a fait l’objet d’une commission. La violence économique représente le nœud du problème. La précarité économique des femmes entraine une moindre considération pour elles dans la société. Les préjugés, le harcèlement et la violence physique et sexuelle à leur encontre sont monnaie courante. Mais attention, ce phénomène n’est pas le fait des hommes contre les femmes. Ce sont les capitalistes qui tirent profit de cette situation. Marx déclarait d’ailleurs que, sous le capitalisme, tout devient une marchandise. C’est très clairement ce qu’il est advenu du corps des femmes, utilisé pour maximiser le profit des plus riches. Les préjugés favorisent la mise en concurrence des travailleurs et justifient, par exemple, le faible salaire annuel moyen des femmes.
    Le sexisme est expérimenté par toutes et tous et profite aux capitalistes pour assoir leur pouvoir. C’est donc ensemble – jeunes, travailleurs et allocataires sociaux – que nous devons nous battre pour de nouvelles conquêtes sociales. La place que doivent prendre les femmes dans ses luttes a fait l’objet d’une autre commission. Nous devons avoir une attention spécifique, tant au niveau organisationnel qu’à celui de la formation, pour que les femmes soient présentes dans tous les organes du syndicat et plus généralement du mouvement des travailleurs. Sans elles, de nouvelles conquêtes sociales sont impossibles.

    Une revendication qui nous parait importante pour lutter contre l’oppression des femmes, et des travailleurs en général, est celle du partage du temps de travail entre tous, avec réduction des cadences et sans perte de salaire. Cette journée de formation du 8 mars s’est ainsi conclue par un débat autour de la proposition de FEMMA (Vie Féminine en Flandre) des 30 heures de travail par semaine. Il s’agit d’une revendication essentielle pour permettre un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle mais elle permet aussi, en touchant le cœur de l’exploitation capitaliste, de remettre en cause le fonctionnement même du système actuel. Elle n’est donc pas à considérer isolément, loin de là. Il nous parait d’ailleurs essentiel d’aborder ce sujet lors de chaque action syndicale.

    Toutefois et pour conclure, ce qui est ressorti tout au long de cette journée de discussion, c’est que dans le cadre du capitalisme, l’égalité homme – femme est impossible. Les différents intervenants ont rappelé qu’il nous faut lutter pour mettre en place les conditions matérielles capables de mettre fin à l’oppression des 99% par une minorité qui s’enrichit sur notre dos. Construisons une société basée sur les besoins de la majorité sociale plutôt que sur les profits, une société socialiste démocratique ! Ce n’est que dans ce cadre d’égalité économique que nous pourrons définitivement abattre le sexisme.

  • Participez à Socialisme 2015 !

    affiche_Soc2015

    L’évènement annuel de discussions et de débats politiques du Parti Socialiste de Lutte (PSL) réunit de nombreux activistes et syndicalistes de Belgique et de l’étranger pour aborder collectivement les questions sociales et politiques les plus cruciales du moment.

    Par Els Deschoemacker

    Les opportunités qui s’ouvrent au nouveau gouvernement grec pour rompre avec l’austérité européenne seront largement discutées dans le cadre de cette édition. Cela sera également le cas pour les perspectives et les tâches de l’opposition sociale en Belgique ou encore la manière de combler le fossé entre riches et pauvres.

    Nikos Kanellis, conseiller municipal de SYRIZA, évaluera les deux premiers mois d’activité du gouvernement SYRIZA. Ce gouvernement de gauche saura-t-il répondre aux attentes de la population et changer le cap de la politique du pays ? Cette question est d’une grande importance non seulement pour la Grèce, mais également pour toute la classe des travailleurs européenne. Un conflit majeur est en préparation. Le capitalisme européen reste inflexible, il ne peut pas se permettre la moindre concession pour améliorer le sort des masses grecques. Après tout, cela ouvrirait la boite de pandore pour l’Espagne, le Portugal, l’Irlande, l’Italie, la France, la Belgique, etc. Les travailleurs y seraient tentés de suivre l’exemple grec. Ce constat est important, il signifie très clairement que le capitalisme est désormais incapable de nous offrir le moindre progrès social. Nous ne devons donc pas seulement lutter contre l’austérité, mais bien combattre le système capitaliste dans sa globalité!

    Même la dirigeante du FMI Christine Lagarde se voit forcée de citer Marx au Forum Économique Mondial de Davos en se demandant si le capitalisme peut être le moteur d’une prospérité pour tous. Ceci est une indication que le sommet du capitalisme international est inquiet pour l’avenir de son système. À Davos toujours, un membre de la direction de la multinationale Unilever a qualifié les inégalités croissantes de ‘‘menace capitaliste pour le capitalisme’’. Un des grands débats de cette journée ‘‘Socialisme 2015’’ sera consacré au fossé entre riches et pauvres. Nous aurons pour orateurs Jon Sneyers, délégué syndical de la LBC (la CNE flamande) à propos des revendications syndicales du mouvement contre le gouvernement Michel, mais aussi Stefan Herweg, collaborateur technique d’un député européen de la formation de gauche allemande Die Linke spécialiste de l’évasion fiscale et de Luxleaks, et enfin Peter Delsing, membre du PSL qui livrera une critique marxiste de l’ouvrage de l’économiste français Piketty ‘‘le Capital au 21e siècle’’.

    Le meeting de clôture sera consacré à l’opposition au gouvernement Michel et à la manière dont elle doit être menée. Nous avons maintenant derrière nous une des plus grandes journées de grève générale de l’histoire du pays. Le gouvernement a vacillé et il serait tombé si le mouvement des travailleurs avait poursuivi sur sa lancée. Mais le moment n’a pas été saisi. Les terribles attaques terroristes en France et la menace terroriste en Belgique ont redonné des ailes au gouvernement fédéral qui a pu distraire l’attention de ses mesures antisociales. Mais, les questions sociales ont vite fait leur retour au-devant de l’actualité. Lorsque la FGTB ne s’est à juste titre pas laissé trainer dans les négociations, la CSC a été mise sous pression par sa base au sujet de la nécessité d’un nouveau plan d’action. Ce gouvernement ne nous offrira que des mesures de crise antisociales. La paix sociale ne peut exister que si la majorité de la population peut aller de l’avant, mais le programme de ce gouvernement consiste entièrement en un déclin social. Ce gouvernement doit donc être balayé !

    Lors de cette grande journée de discussion et de débat, nous laisserons également la parole à divers syndicalistes pour parler des leçons de la grande grève du 15 décembre. Nous aurons aussi l’occasion d’écouter Thierry Muller, du Réseau “Stop article 63§2” au sujet de la lutte contre les exclusions des allocations de chômage dites d’insertion (mesure prise par le gouvernement Di Rupo et durcie par le gouvernement Michel). Anja Deschoemacker nous dira également quelques mots sur l’impact de l’austérité pour les femmes. Enfin, Éric Byl conclura la journée en évoquant l’alternative politique à défendre.

    ‘‘Socialisme 2015’’ n’est pas une journée de débats académiques, mais un endroit où nous pouvons discuter de la manière de construire un rapport de force efficace pour rendre ce monde meilleur à partir des leçons du passé et d’ailleurs. Nous serons ainsi mieux préparés à affronter les défis qui nous attendent!

    Programme :

    11h-13h : Meeting international – Le meeting portera sur les conséquences de la crise mondiale pour la lutte sociale. Les orateurs seront Nikos Kanellis, conseiller municipal élu sur une liste de Syriza à Volos, qui parlera des récentes élections grecques et des opportunités d’un gouvernement de gauche. Lucy Redler, porte-parole du courant ‘‘Gauche Anticapitaliste’’ du parti allemand Die Linke, abordera le risque du développement de mouvements de droite comme Pegida et la manière d’y riposter pour les jeunes et les travailleurs. Bart Vandersteene, porte-parole national du PSL, fera part de son implication récente dans la construction du mouvement anticapitaliste socialiste aux USA, avec notamment l’élection de la première conseillère municipale socialiste Kshama Sawant à Seattle.

    14h-16h: Cinq ateliers

    – Leçons du mouvement de masse et de la grève générale en Belgique.
    – Le potentiel de la gauche radicale en Europe du Sud – avec notamment Nikos Kanellis
    – La lutte des Kurdes pour la libération nationale – avec notamment Orhan Kilic
    – La nécessité d’une nouvelle lutte pour les droits des femmes – avec Lucy Redler et Aisha Paulis
    – Pourquoi le libre marché capitaliste doit être remplacé par un une économie socialiste démocratiquement planifiée.

    16h30-18h30: Deux grandes commissions.

    – Le fossé entre riches et pauvres et la question de l’impôt sur la fortune. Avec Jon Sneyers, délégué syndical de la LBC (la CNE flamande) à propos des revendications syndicales du mouvement contre le gouvernement Michel ; Stefan Herweg, collaborateur technique d’un député européen de Die Linke spécialiste de l’évasion fiscale et de Luxleaks ; et Peter Delsing, membre du PSL, qui livrera une critique marxiste de l’ouvrage de l’économiste français Piketty ‘‘le Capital au 21e siècle’’.
    – La lutte contre l’Etat Islamique en Irak et en Syrië et comment les marxistes doivent réagir au terrorisme en Europe.

    19h30-21h30. Meeting central

    Comment balayer Michel Ier et toute la politique d’austérité? Meeting introduit par des témoignages-vidéos de délégués et de militants. Orateurs :

    – THIERRY MÜLLER. Du réseau Stop art.63§2, contre les exclusions des chômeurs des allocations dites d’insertion.
    – ERIC BYL. Secrétaire général et responsable syndical du PSL
    – ANJA DESCHOEMACKER. Tête de liste de ‘‘Gauches Communes’’

    • Prévente : 12 euros ou 7 euros pour les étudiants, les allocataires et les petits revenus
    • Sur place : 3 euros de plus
    • Boissons, snacks, sandwiches et repas sont prévus à prix démocratiques / Babysitting gratuit
    • Plus d’infos et inscriptions : info@socialisme.be / 02/345.61.81.
    • Vous voulez des affiches et des tracts de l’évènement ? Contactez-nous !

  • Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des Femmes est nécessaire !

    8mars« L’égalité homme – femme est acquise aujourd’hui en Belgique », une idée souvent défendue ces dernières années, mais qui est de plus en plus remise en cause. Les violences domestiques, le harcèlement en rue, l’inégalité salariale, les difficultés pour combiner vie de famille – vie professionnelle (…) démontrent les discriminations et l’oppression vécues par de nombreuses femmes encore aujourd’hui.

    Tract du PSL // Tract en format PDF

    L’indépendance économique des femmes s’est fortement dégradée ces dernières années, ce qui les rend plus vulnérables à la violence. Et les politiques d’austérité du gouvernement ne font qu’aggraver cette situation, en poussant de plus en plus de familles et de femmes dans la pauvreté. En effet, celles-ci – déjà souvent plus précarisées – sont fortement touchées par les pertes d’emplois et les limitations des allocations. De plus, la destruction de nos conquêtes sociales favorise la montée des éléments divisant les travailleurs, comme le sexisme. Il devient impossible pour bon nombre de femmes de jouir des droits qu’elles ont sur le papier.

    Quelles revendications pour défendre les droits des femmes aujourd’hui ?

    Pour de plus en plus de personnes, il semble clair qu’il existe un fossé entre l’égalité juridique acquise et la réalité vécue par des millions de femmes. Pour le PSL, les revendications féministes ne peuvent pas se limiter à demander de nouvelles lois ou des modifications dans le système éducatif. Il ne s’agit pas non plus de mener une lutte contre les hommes, mais bien d’unir la lutte contre le sexisme à celle contre la destruction de nos conquêtes sociales et de nos services publics. Les femmes doivent se battre pour défendre leurs acquis et en gagner d’autres, tel que la proposition de 30h de travail par semaine, avec réduction des cadences, sans perte de salaire et avec embauche compensatoire faite par FEMMA (Vie Féminine en Flandre).

    À l’occasion de la journée du 8 mars – qui commémore les luttes des travailleuses contre l’exploitation –, la Commission femme du PSL organise une journée de formation et de discussions sur les différentes expériences de luttes du passé, les revendications à mettre en avant aujourd’hui et l’alternative face à la société capitaliste patriarcale. Nous voulons remettre à l’ordre du jour la nécessité pour le mouvement des travailleur(e)s de s’unir contre le capitalisme et d’en finir avec le sexisme.

    Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des femmes est nécessaire ! – Journée de discussions et de formation du PSL

    Tout le monde est le bienvenu !

    Dimanche 8 mars 2015 à partir de 10h45

    Baby-sitting prévu

    10h45 Accueil et inscriptions

    11h00 Introduction de la journée. Le 8 mars : Histoire de la journée internationale des femmes et son actualité aujourd’hui, par Aïcha P.

    12h00 Deux commissions au choix :
    – Femme objet, harcèlement et culture du viol : violence et sexisme croissant vis-à-vis des jeunes filles et des femmes dans un contexte de crise, introduite par Emily B.
    – Rôle et implication des femmes dans les luttes syndicales contre la crise, l’austérité et le capitalisme, introduite par Maud W.

    13h-14h Pause Midi (Un repas à prix démocratique est prévu)

    14h Suite des commissions

    15h30 La réduction collective du temps de travail : une revendication féministe ? Débat modéré par Emilie VMH, avec Anja DS (responsable nationale du travail femme pour le PSL) et Tina De Greef (secretaire LBC-NVK BHV). Nous sommes dans l’attente de réponses d’autres organisations issues du mouvement ouvrier et qui luttent contre le sexisme sous ses différentes formes.

    17h Fin de journée

    Entrée: prix libre
    Rue du Jardinier 45, 1080 Molenbeek (Metro Ribaucourt ou Comte de Flandres)
    Infos : info@socialisme.be – 02/345 61 81

  • Formation marxiste de Noël : Comprendre le monde pour le changer

    Ce lundi 29 décembre, le PSL Hainaut/Namur et les Editions marxisme.be vous invitent à leur journée de formation régionale.

    Programme de la journée:

    9H Accueil
    9H30 L’économie marxiste
    10h30 Pause
    10H45 Discussion
    12H Pause midi
    13H15 La lutte de classe au 20ème siècle
    14H Pause
    14H15 Discussion
    15H30 Pause
    16H Programme maximum et programme de transition
    16H45 Pause
    17H Discussion
    18H30 Fin et souper

    En Option :
    20H Film/Débat
    « Capitalism : A love story » de Mickael Moore

    Rendez-vous le lundi 29 décembre au local du PSL Charleroi.

    Contactez-nous à charleroi@socialisme.be ou au 0477/75.21.49 pour vous inscrire. Sandwich le midi (3€) et chili con carné le soir (5€)

    formation_charleroi

  • Rejoignez le PSL-LSP!

    PSLLSP

    Le plan d’action des syndicats représente une étape importante pour organiser le mécontentement généralisé éprouvé face aux politiques d’austérité.

    Lors du premier rassemblement syndical, le 23 septembre déjà, nous avions défendu qu’un plan d’information et d’action était nécessaire contre la politique des Thatcher belges. La mobilisation syndicale aujourd’hui à l’œuvre offre de nombreuses possibilités. Les militants du Parti Socialiste de Lutte / Linkse Socialistische Partij (PSL/LSP) feront tout leur possible pour qu’elle soit couronnée de succès, en informant leurs collègues, amis et connaissances. Avec ce journal et sur nos sites, nous développons une argumentation capable d’aider à convaincre les sceptiques. Parmi la jeunesse également, nous jouons un rôle actif pour développer les actions de protestation, comme l’illustre la lutte exemplaire des étudiants du secondaire et du supérieur à Gand.

    Naturellement, nos moyens sont modestes et il nous est impossible d’être présents partout. Mais là où nous le pouvons, notre énergie peut faire la différence. Les actions menées à Gand ont largement clarifié ce point. Ce n’est pas que ce potentiel est absent des autres villes, mais compte tenu de nos moyens, nous avons décidé de mettre tout l’accent sur la pointe de l’attaque. Renforcer les sections du PSL et d’EGA peut assurer que des développements similaires prennent place ailleurs. N’hésitez pas à nous aider et à devenir membre.

    Rejoignez le PSL et participez à nos discussions collectives et à nos interventions pour renforcer la lutte sociale ! Ci-dessous, quelques-uns de nos membres les plus récents expliquent pourquoi ils ont rejoint le PSL.

    ‘‘J’ai fait partie du PSL alors qu’il s’appelait encore Mouvement pour une Alternative Socialiste (MAS), il y a 10 ans. A l’époque, je n’avais que 15 ans, j’ai été militante pendant quelques années puis j’ai quitté l’organisation car je n’avais pas vraiment le temps de m’investir assez à mon goût. Si je rejoins à nouveau maintenant – alors que je pense pourtant avoir encore moins de temps dans ma vie d’adulte – c’est parce que j’ai l’impression que le PSL a changé dans son fonctionnement, mais pas dans ses idées, et que le contexte actuel donne envie de s’investir encore plus, certainement depuis que je suis devenue maman. J’ai envie de me battre pour ma fille et son avenir. A mon échelle, j’ai envie d’aider à la fabrication d’un monde plus juste et plus humain.’’ Julie, ouvrière, Liège

    ‘‘Avant d’être organisé, je me considérais déjà comme un marxiste. Puis je suis devenu membre du PTB et j’ai participé aux réunions du comité d’action étudiant à Gand. Là, j’ai rencontré Mathias, les Etudiants de Gauche Actifs (EGA) et le PSL. Mathias m’avait déjà largement convaincu. Ce que je trouve important avec EGA et son fonctionnement étudiant, c’est la méthode pour impliquer les gens et assurer les discussions à la base du mouvement. Les actions écolières à Gand ont ainsi pu assurer une mobilisation croissante. Maintenant, il est important de ne pas nous limiter aux étudiants pour lutter, mais d’ouvrir le combat. En prenant par exemple également en compte la question des enseignants.’’  Midas, écolier, Gand

    ‘‘Le choix est simple, il s’agit d’être spectateur ou acteur. Pour ma part, j’ai choisi la seconde option. Depuis longtemps, j’étais en recherche d’une organisation comme le PSL, d’une intégration qui permet d’une part d’être actif et de participer aux actions, mais aussi qui donne la possibilité d’être formé politiquement. Je veux défendre le droit des travailleurs et lutter contre leur exploitation mais aussi combattre toutes les formes de discrimination (sexisme, homophobie, racisme,…) C’est-à-dire être avec le peuple opprimé. Le PSL est une organisation qui nous donne l’occasion d’être actif tous les jours, ce qui fait en sorte que nous sommes “militants” et non “membres”, ce qui permet de participer et de faire des actions plus importantes et d’agir en ayant une réflexion auparavant. Il faut abolir toutes formes d’injustice pour construire une société plus juste et égalitaire, un socialisme démocratique.’’ Jülide, étudiante, Liège

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