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Tag: PSL
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Camp d'été des Étudiants de Gauche Actifs et du PSL – 2015
MIEUX COMPRENDRE LE MONDE POUR MIEUX LE CHANGER du 1 au 6 juillet 2015
5 JOURNÉES DE DÉBATS, AVEC UNE VINGTAINE D’ATELIERS, ET DE DÉTENTE.
Cette année, le camp d’été des Etudiants de Gauche Actifs (EGA) débutera le 1er juillet. A partir du 4 juillet et jusqu’au 6, il ouvrira également ses portes au PSL.
1-2-3 JUILLET : POUR LES JEUNES prévente 1-6 juillet 75€ (60€ pour le secondaire)
Nous discuterons de toute une série de thèmes: l’ABC du marxisme, la hausse des droits d’inscription et les coupes budgétaires dans l’enseignement, la construction du mouvement antiraciste et antifasciste, la lutte pour des emplois décents et une perspective d’avenir,… Nous préparerons bien entendu également les campagnes que nous mènerons sur les festivals durant l’été ainsi qu’à la rentrée académique. (Programme complet sur www.gauche.be)
Arrivée : mercredi 1 juillet entre 19h et 20h
4-5-6 JUILLET : POUR LES JEUNES ET LES TRAVAILLEURS prévente 4-6 juillet : 55€
Les inégalités entre riches et pauvres atteignent des niveaux inédits. 85 personnes au monde possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de la population mondiale. En Europe, une nouvelle vague de résistance de masse contre l’austérité se développe : rébellions de masse sur la question nationale en Écosse et en Catalogne, mouvement contre la taxe sur l’eau en Irlande, arrivée au pouvoir de Syriza en Grèce, etc. Il y a aussi eu le plan d’action historique contre le gouvernement de droite dure en Belgique. Mais la résistance n’a de sens que si elle dispose d’une réelle alternative. Nous voulons discuter, ensemble, travailleurs et jeunes, de la manière de développer la résistance et cette alternative. (Programme complet sur socialisme.be)
Arrivée le samedi 4 juillet entre 10h et 11h
Départ le 7 juillet entre 12h et 14h.PLACE AUSSI À LA DÉTENTE !
Après-midi libre, promenade en réserve naturelle, piscine, mini-golf, soirée ciné, cantus rouge et, bien entendu, une soirée !OÙ ?
Au Domaine VOGELSBERG, Achtersteeg 3, 2490 Balen. Pour y arriver à partir de la Gare de Mol: prendre le bus 732 (direction Wezel) et descendre à l’arrêt Balen Het Roth.
ACCOMMODATION ?
Le séjour est organisé en pension complète. Logement possible en dortoir (50 places) ou en tentes (30 places). Prenez votre sac de couchage.
PRIX / INSCRIPTION ?
Inscription en prévente : (paiement avant le 10 mai)
Via mail à boris@socialisme.be et payement par virement au BE69 0012 2603 9378 avec communication “Camp 2015”, ou via une carte de prévente auprès des membres d’EGA et du PSL.A mentionner dans l’email :
Nom : ……
Prénom : ……
Adresse : ……
Email : ……
Tel : ……
Logement : en dortoir ou en tente
Repas : végétarien / non-végétarien / autreFormules tarifaires en prévente :
(Le prix sur place est majoré de 10€ pour les formules de camp et de 5€ pour une journée)
– 1 au 6 juillet formule Jeune à 75€ en prévente
– 1 au 6 juillet formule étudiants du secondaire 60€ en prévente
– 4 au 6 juillet formule PSL à 55€
– A la journée en prévente 18€ non-salarié et 23€ salarié : -
Débat sur la Grèce : quelle perspective pour le mouvement anti-austerité?
Antarsya Belgique vous invite à ce débat avec Panagiotis Sotiris membre du comité centrale d’Antarsya (la coalition de la gauche anticapitaliste grecque) venu spécialement d’Athènes, Eric Byl du Parti Socialiste de Lutte, Céline Caudron de la LCR / SAP, Jean Flinker d’Attac Bruxelles 1 et Kyle Michiels du Vonk/Révolution.
Ce mardi 28 avril, à partir de 19h, à la Pianofabriek, 35 rue du Fort, 1060 Saint-Gilles
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Journée du 8 mars : Unis contre le capitalisme pour en finir avec le sexisme
Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des Femmes est nécessaire !
Ce dimanche 8 mars, à l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, la Commission femmes du PSL avait organisé une journée de formation et de débat qui a réuni une soixantaine de personnes. Cet évènement riche en discussions avait notamment pour vocation de mieux nous armer face aux grands défis que représente la lutte contre l’austérité. Les suites de cette journée sont immédiates par notre implication dans la lutte contre le gouvernement de droite thatchérien et pour de nouvelles conquêtes sociales.Par Emily (Namur)
La journée a débuté avec une présentation de ce qu’est pour nous la Journée Internationale des Femmes. Ce jour n’a pas pour vocation de fêter les femmes et de les remercier d’être de bonnes mères, de bonnes travailleuses ou de bonnes ménagères ou encore de célébrer les femmes de la classe dominante. Nous voulons remettre à l’avant-plan la nécessité de lutter contre le sexisme et ses causes matérielles : la précarité économique des femmes dans la société de classe. Il est de plus en plus clair avec les mesures d’austérité mises en place par les gouvernements successifs que l’égalité entre hommes et femmes n’existe toujours pas. En effet, les mesures d’économie prises par l’ensemble des partis traditionnels sur notre dos touchent en premier lieu ceux qui sont déjà les plus affaiblis et jettent ainsi des dizaines de milliers de femmes dans la pauvreté.
Le sexisme est un mot générique pour parler des différentes formes de violences que subissent particulièrement les femmes. Ce sujet a fait l’objet d’une commission. La violence économique représente le nœud du problème. La précarité économique des femmes entraine une moindre considération pour elles dans la société. Les préjugés, le harcèlement et la violence physique et sexuelle à leur encontre sont monnaie courante. Mais attention, ce phénomène n’est pas le fait des hommes contre les femmes. Ce sont les capitalistes qui tirent profit de cette situation. Marx déclarait d’ailleurs que, sous le capitalisme, tout devient une marchandise. C’est très clairement ce qu’il est advenu du corps des femmes, utilisé pour maximiser le profit des plus riches. Les préjugés favorisent la mise en concurrence des travailleurs et justifient, par exemple, le faible salaire annuel moyen des femmes.
Le sexisme est expérimenté par toutes et tous et profite aux capitalistes pour assoir leur pouvoir. C’est donc ensemble – jeunes, travailleurs et allocataires sociaux – que nous devons nous battre pour de nouvelles conquêtes sociales. La place que doivent prendre les femmes dans ses luttes a fait l’objet d’une autre commission. Nous devons avoir une attention spécifique, tant au niveau organisationnel qu’à celui de la formation, pour que les femmes soient présentes dans tous les organes du syndicat et plus généralement du mouvement des travailleurs. Sans elles, de nouvelles conquêtes sociales sont impossibles.Une revendication qui nous parait importante pour lutter contre l’oppression des femmes, et des travailleurs en général, est celle du partage du temps de travail entre tous, avec réduction des cadences et sans perte de salaire. Cette journée de formation du 8 mars s’est ainsi conclue par un débat autour de la proposition de FEMMA (Vie Féminine en Flandre) des 30 heures de travail par semaine. Il s’agit d’une revendication essentielle pour permettre un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle mais elle permet aussi, en touchant le cœur de l’exploitation capitaliste, de remettre en cause le fonctionnement même du système actuel. Elle n’est donc pas à considérer isolément, loin de là. Il nous parait d’ailleurs essentiel d’aborder ce sujet lors de chaque action syndicale.
Toutefois et pour conclure, ce qui est ressorti tout au long de cette journée de discussion, c’est que dans le cadre du capitalisme, l’égalité homme – femme est impossible. Les différents intervenants ont rappelé qu’il nous faut lutter pour mettre en place les conditions matérielles capables de mettre fin à l’oppression des 99% par une minorité qui s’enrichit sur notre dos. Construisons une société basée sur les besoins de la majorité sociale plutôt que sur les profits, une société socialiste démocratique ! Ce n’est que dans ce cadre d’égalité économique que nous pourrons définitivement abattre le sexisme.
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Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des Femmes est nécessaire !
« L’égalité homme – femme est acquise aujourd’hui en Belgique », une idée souvent défendue ces dernières années, mais qui est de plus en plus remise en cause. Les violences domestiques, le harcèlement en rue, l’inégalité salariale, les difficultés pour combiner vie de famille – vie professionnelle (…) démontrent les discriminations et l’oppression vécues par de nombreuses femmes encore aujourd’hui.Tract du PSL // Tract en format PDF
L’indépendance économique des femmes s’est fortement dégradée ces dernières années, ce qui les rend plus vulnérables à la violence. Et les politiques d’austérité du gouvernement ne font qu’aggraver cette situation, en poussant de plus en plus de familles et de femmes dans la pauvreté. En effet, celles-ci – déjà souvent plus précarisées – sont fortement touchées par les pertes d’emplois et les limitations des allocations. De plus, la destruction de nos conquêtes sociales favorise la montée des éléments divisant les travailleurs, comme le sexisme. Il devient impossible pour bon nombre de femmes de jouir des droits qu’elles ont sur le papier.
Quelles revendications pour défendre les droits des femmes aujourd’hui ?
Pour de plus en plus de personnes, il semble clair qu’il existe un fossé entre l’égalité juridique acquise et la réalité vécue par des millions de femmes. Pour le PSL, les revendications féministes ne peuvent pas se limiter à demander de nouvelles lois ou des modifications dans le système éducatif. Il ne s’agit pas non plus de mener une lutte contre les hommes, mais bien d’unir la lutte contre le sexisme à celle contre la destruction de nos conquêtes sociales et de nos services publics. Les femmes doivent se battre pour défendre leurs acquis et en gagner d’autres, tel que la proposition de 30h de travail par semaine, avec réduction des cadences, sans perte de salaire et avec embauche compensatoire faite par FEMMA (Vie Féminine en Flandre).
À l’occasion de la journée du 8 mars – qui commémore les luttes des travailleuses contre l’exploitation –, la Commission femme du PSL organise une journée de formation et de discussions sur les différentes expériences de luttes du passé, les revendications à mettre en avant aujourd’hui et l’alternative face à la société capitaliste patriarcale. Nous voulons remettre à l’ordre du jour la nécessité pour le mouvement des travailleur(e)s de s’unir contre le capitalisme et d’en finir avec le sexisme.
Contre l’austérité et le sexisme, la lutte des femmes est nécessaire ! – Journée de discussions et de formation du PSL
Tout le monde est le bienvenu !
Dimanche 8 mars 2015 à partir de 10h45
Baby-sitting prévu
10h45 Accueil et inscriptions
11h00 Introduction de la journée. Le 8 mars : Histoire de la journée internationale des femmes et son actualité aujourd’hui, par Aïcha P.
12h00 Deux commissions au choix :
– Femme objet, harcèlement et culture du viol : violence et sexisme croissant vis-à-vis des jeunes filles et des femmes dans un contexte de crise, introduite par Emily B.
– Rôle et implication des femmes dans les luttes syndicales contre la crise, l’austérité et le capitalisme, introduite par Maud W.13h-14h Pause Midi (Un repas à prix démocratique est prévu)
14h Suite des commissions
15h30 La réduction collective du temps de travail : une revendication féministe ? Débat modéré par Emilie VMH, avec Anja DS (responsable nationale du travail femme pour le PSL) et Tina De Greef (secretaire LBC-NVK BHV). Nous sommes dans l’attente de réponses d’autres organisations issues du mouvement ouvrier et qui luttent contre le sexisme sous ses différentes formes.
17h Fin de journée
Entrée: prix libre
Rue du Jardinier 45, 1080 Molenbeek (Metro Ribaucourt ou Comte de Flandres)
Infos : info@socialisme.be – 02/345 61 81 -
Formation marxiste de Noël : Comprendre le monde pour le changer
Ce lundi 29 décembre, le PSL Hainaut/Namur et les Editions marxisme.be vous invitent à leur journée de formation régionale.
Programme de la journée:
9H Accueil
9H30 L’économie marxiste
10h30 Pause
10H45 Discussion
12H Pause midi
13H15 La lutte de classe au 20ème siècle
14H Pause
14H15 Discussion
15H30 Pause
16H Programme maximum et programme de transition
16H45 Pause
17H Discussion
18H30 Fin et souperEn Option :
20H Film/Débat
« Capitalism : A love story » de Mickael MooreRendez-vous le lundi 29 décembre au local du PSL Charleroi.
Contactez-nous à charleroi@socialisme.be ou au 0477/75.21.49 pour vous inscrire. Sandwich le midi (3€) et chili con carné le soir (5€)
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Rejoignez le PSL-LSP!
Le plan d’action des syndicats représente une étape importante pour organiser le mécontentement généralisé éprouvé face aux politiques d’austérité.
Lors du premier rassemblement syndical, le 23 septembre déjà, nous avions défendu qu’un plan d’information et d’action était nécessaire contre la politique des Thatcher belges. La mobilisation syndicale aujourd’hui à l’œuvre offre de nombreuses possibilités. Les militants du Parti Socialiste de Lutte / Linkse Socialistische Partij (PSL/LSP) feront tout leur possible pour qu’elle soit couronnée de succès, en informant leurs collègues, amis et connaissances. Avec ce journal et sur nos sites, nous développons une argumentation capable d’aider à convaincre les sceptiques. Parmi la jeunesse également, nous jouons un rôle actif pour développer les actions de protestation, comme l’illustre la lutte exemplaire des étudiants du secondaire et du supérieur à Gand.
Naturellement, nos moyens sont modestes et il nous est impossible d’être présents partout. Mais là où nous le pouvons, notre énergie peut faire la différence. Les actions menées à Gand ont largement clarifié ce point. Ce n’est pas que ce potentiel est absent des autres villes, mais compte tenu de nos moyens, nous avons décidé de mettre tout l’accent sur la pointe de l’attaque. Renforcer les sections du PSL et d’EGA peut assurer que des développements similaires prennent place ailleurs. N’hésitez pas à nous aider et à devenir membre.
Rejoignez le PSL et participez à nos discussions collectives et à nos interventions pour renforcer la lutte sociale ! Ci-dessous, quelques-uns de nos membres les plus récents expliquent pourquoi ils ont rejoint le PSL.
‘‘J’ai fait partie du PSL alors qu’il s’appelait encore Mouvement pour une Alternative Socialiste (MAS), il y a 10 ans. A l’époque, je n’avais que 15 ans, j’ai été militante pendant quelques années puis j’ai quitté l’organisation car je n’avais pas vraiment le temps de m’investir assez à mon goût. Si je rejoins à nouveau maintenant – alors que je pense pourtant avoir encore moins de temps dans ma vie d’adulte – c’est parce que j’ai l’impression que le PSL a changé dans son fonctionnement, mais pas dans ses idées, et que le contexte actuel donne envie de s’investir encore plus, certainement depuis que je suis devenue maman. J’ai envie de me battre pour ma fille et son avenir. A mon échelle, j’ai envie d’aider à la fabrication d’un monde plus juste et plus humain.’’ Julie, ouvrière, Liège
‘‘Avant d’être organisé, je me considérais déjà comme un marxiste. Puis je suis devenu membre du PTB et j’ai participé aux réunions du comité d’action étudiant à Gand. Là, j’ai rencontré Mathias, les Etudiants de Gauche Actifs (EGA) et le PSL. Mathias m’avait déjà largement convaincu. Ce que je trouve important avec EGA et son fonctionnement étudiant, c’est la méthode pour impliquer les gens et assurer les discussions à la base du mouvement. Les actions écolières à Gand ont ainsi pu assurer une mobilisation croissante. Maintenant, il est important de ne pas nous limiter aux étudiants pour lutter, mais d’ouvrir le combat. En prenant par exemple également en compte la question des enseignants.’’ Midas, écolier, Gand
‘‘Le choix est simple, il s’agit d’être spectateur ou acteur. Pour ma part, j’ai choisi la seconde option. Depuis longtemps, j’étais en recherche d’une organisation comme le PSL, d’une intégration qui permet d’une part d’être actif et de participer aux actions, mais aussi qui donne la possibilité d’être formé politiquement. Je veux défendre le droit des travailleurs et lutter contre leur exploitation mais aussi combattre toutes les formes de discrimination (sexisme, homophobie, racisme,…) C’est-à-dire être avec le peuple opprimé. Le PSL est une organisation qui nous donne l’occasion d’être actif tous les jours, ce qui fait en sorte que nous sommes “militants” et non “membres”, ce qui permet de participer et de faire des actions plus importantes et d’agir en ayant une réflexion auparavant. Il faut abolir toutes formes d’injustice pour construire une société plus juste et égalitaire, un socialisme démocratique.’’ Jülide, étudiante, Liège









