Tag: Liège

  • Faisons de Liège une “ville refuge” !

    20 AVRIL – 19H00- CAFET’COLLECTIVE KALI (rue St Thomas n°32, 4000 Liège)

    Débat avec
    – François Grenade, chargé de la campagne “justice migratoire” au cncd
    Amélie Faye, travailleuse de l’asbl d’aide aux sans-papiers Point d’appuis
    Pietro Tosi, permanent au MOC pour le comité des travailleurs sans-papiers

    Sans-papiers, Sans droits?

    Alors que dans la majeure partie du globe les migrants séjournant un territoire national sans autorisation préalable ( ceux que l’on nomme communément les sans-papiers) constituent une partie
    de la population privée de tout accès aux services publics, aux mécanisme de sécurité sociale, au marché du travail. Alors qu’ils sont constamment l’objet de traques policières, alors même qu’ils sont privés de tout droit, des villes se constituent en “villes refuges” et s’emploient à élargir les droits dont bénéficient les sans-papiers, à rebours de leurs législations nationales. Loin d’être tombée du ciel, cette situation est le fruit de la mobilisation des organisations de sans-papiers et du mouvement de solidarité qui les soutient.

    Comment faire de Liège, à l’instar de Montréal ou Barcelone, une commune hospitalière? Quelle stratégie pour contraindre les autorités de laisser les sans-papiers accéder aux services de base, aux soins de santé, à l’aide alimentaire ou au logement?

    Une initiative sections liégeoises des Etudiants de Gauche Actifs (EGA) et des Jeunes Organisés et Combatifs (JOC).

    => Evénement Facebook

  • Vottem: C’est aux multinationales qu’il faut s’en prendre, pas à leurs victimes!

    Manifestation contre le Centre fermé de Vottem
    Dimanche 26 mars, 14h, Parc de la Citadelle (rue des Glacis)

    Depuis l’investiture de Donald Trump, ses annonces et décrets en matière de politiques migratoires ont choqués l’opinion américaine et internationale. Qu’il s’agisse de la construction d’un mur à la frontière Mexique – USA ou de l’interdiction d’entrer sur le territoire pour les personnes issues de 7 pays à majorité musulmane, son approche envers les migrants et ressortissants étrangers est à juste titre intolérable pour de nombreuses personnes. Cela ne doit cependant pas nous faire oublier qu’en Europe et en Belgique tout n’est pas rose, loin de là.

    Par Julie N. (Liège)

    Le dimanche 26 mars, une manifestation est appelée à l’initiative du CRACPE (Collectif de Résistance Aux Centres Pour Étrangers) pour réclamer la fermeture du centre fermé pour étrangers de Vottem. Les centres fermés sont de véritables prisons pour personnes sans-papiers. Leur existence même symbolise une politique d’immigration basée sur la fermeture des frontières, la répression et l’expulsion des personnes se trouvant sans autorisation sur notre territoire.

    Leur but est de casser la résistance physique et psychologique des personnes qui y sont enfermées en vue de faciliter leur expulsion. Et de fait, les conditions de détention y sont extrêmement pénibles. Le jeudi 2 mars, un jeune originaire d’Azerbaïdjan a été retrouvé mort dans la cellule d’isolement où il avait été placé, sans même avoir été soigné, suite à une tentative de suicide. L’ONG Amnesty International a d’ailleurs dénoncé à de multiples reprises l’illégalité de ces cellules d’isolement mais aussi la façon dont les personnes sont traitées dans les centres fermés, sans égard pour leur âge ou leur santé. Chaque année, en moyenne 7000 personnes sont détenues dans ces centres.

    Depuis 20 ans, les gouvernements se dotent d’un arsenal de mesures dont le but est de restreindre l’accès au territoire et à criminaliser les migrants. Cette politique répressive ne date donc pas d’hier. Néanmoins, elle est considérablement durcie par l’actuel secrétaire d’Etat à l’asile et à la migration, Théo Franken. Les demandes de régularisation pour raisons humanitaires ou médicales, auparavant gratuites, sont désormais facturées 250e, peu importe qu’elles aboutissent ou non. La seconde option sera probablement privilégiée, comme l’illustre l’obstination de Théo Franken dans son refus d’octroyer un visa humanitaire à une famille syrienne d’Alep.

    La criminalisation des sans-papiers a un double intérêt sous le capitalisme. D’une part, créer pour les secteurs non délocalisables (horeca, bâtiment, etc.) une main d’œuvre extrêmement bon marché, et taillable et corvéable à merci parce que dépourvue de droit. De l’autre elle permet de désigner un bouc émissaire présenté comme responsable de pénuries dans les logements, les budgets sociaux, etc. et d’entretenir la division parmi les travailleurs afin de les empêcher de lutter en commun pour leurs droits.

    Pourtant, les moyens ne manquent pas pour offrir à tous, avec ou sans papiers, des conditions d’existence dignes: en Belgique, le pourcent le plus riche de la population possède 18% de la richesse nationale et à lui seul, Albert Frère possède autant de richesses que les 20% de belges les plus pauvres ! Pendant que des milliers de personnes en Wallonie vivent dans la rue, 30.000 logements sont laissés vides à des fins spéculatives !

    Mais pour que les immenses richesses crées par la société soient réellement utilisées dans l’intérêt de la majorité de la population, il est nécessaire de s’en prendre au système qui génère ces scandaleuses inégalités : le système d’exploitation capitaliste. Dans cette lutte, l’unité de tous les travailleurs, avec ou sans emplois, avec ou sans papiers, est primordiale.

    Dans l’histoire du mouvement des jeunes et des travailleurs, aucun droit ne fut jamais acquis sans des luttes conséquentes et la création d’un véritable rapport de force. Toi aussi, tu peux jouer un rôle pour faire de la manifestation du 26 mars un succès.

    • En parlant de cette manifestation à tes amis, ta famille, … et en y participant ensemble.
    • En demandant à un de tes professeurs (de morale ou de religion, par exemple) qu’il organise un cours sur ce sujet.
    • En organisant des distributions de tracts autour de toi. Tu ne sais pas trop comment t’y prendre ? Contacte Etudiants de Gauche Actifs, nous t’y aiderons!
    • En partageant l’événement « Vottem, 18 ans déjà ! Je ne l’accepte toujours pas » sur facebook et en y invitant tes amis.
    • En prenant part à la manifestation.
  • [DEBAT] Publifin : Sauvegarder les initiatives industrielles publiques

    L’association “A Contre-Courant”, le cercle des “Etudiants de Gauche Actifs” (EGA) de l’ULg et l’Association Culturelle Joseph Jacquemotte organisent une conférence-débat sur le dossier Publifin/Nethys et sur les initiatives industrielles publiques et leur contrôles démocratique ce 21 février 2017 à l’Université de Liège.

    Cette soirée sera d’abord l’occasion de faire le point sur la nébuleuse Publifin/Nethys en compagnie du journaliste David Leloup qui a rendu public ce scandale.

    Un panel d’invités abordera ensuite la question de l’avenir du groupe Publifin/Nethys et plus généralement des intercommunales avec une perspective double. D’une part comment s’assurer que les événements actuels ne servent pas à éliminer les derniers outils d’initiatives publiques en matière industrielles et économiques au profit d’une nouvelle vague de privatisation? D’autre part comment permettre un contrôle démocratique accru sur de tels outils qui sont des “biens communs” ?

    Déroulé de la soirée :

    Présentation pédagogique de la structure Publifin/Nethys et des dysfonctionnements mis au jour : David Leloup (Journaliste indépendant au Vif et à Médor)

    Quelle perspectives pour nos intercommunales ? : Un représentant du PS (sous réserve), Caroline Saal (représentante ECOLO au CA de Publifin), Pierre Eyben (Mouvement VEGA, auteur d’une carte blanche parue dans le Vif), Christine Planus (déléguée principale CGSP-Publifin), Sane Coremans déléguée (FGTB asbl CAW – PSL)

    Débat avec la salle – Prix libre

    A l’initiative de : ACC, ACJJ, EGA

    => Evénement Facebook

  • ResistTrump – Solidarité contre le sexisme et le racisme

    Actions de solidarité prévues à Bruxelles, Mons, Liège, Anvers et Gand !

    Ce 20 janvier, de nombreuses actions prendront place à travers le monde pour construire la résistance contre l’agenda raciste, sexiste et impérialiste de Donald Trump dès le premier jour de son mandat ! En Belgique, à côté d’un large rassemblement à Bruxelles, de plus petites actions auront également lieu à Mons, Anvers, Gand et Liège. Participez vous aussi !

    Donald Trump prépare des attaques d’une ampleur inédite à l’encontre des femmes, des immigrés, des musulmans, des LGBTQI, de l’ensemble de la classe des travailleurs ainsi que contre l’environnement. Trump est l’expression d’un système pourri jusqu’à la moelle. Choisir entre Trump et Clinton, c’était pour beaucoup choisir entre la peste et le choléra. La colère et la frustration contre l’élite sont exploitées par les populistes de droite. Mais le mouvement autour de la candidature de Sanders a illustré le potentiel pour un parti et un mouvement de masse défendant les intérêts de 99%.

    Mobilisons-nous en solidarité avec les manifestations de masses de la jeunesse (Student Walk Out) et de femmes (Million Women March) qui prendront place à travers les États-Unis le 20 et 21 janvier à l’occasion de l’investiture de Trump.

    À travers le monde, luttons et revendiquons d’une seule voix :

    • Ensemble contre le sexisme : Contre les violences sexistes ; À travail égal, salaire égal.
    • Non au mur USA-Mexique ; Stop à l’Europe Forteresse.
    • Unissions-nous contre les attaques islamophobes et racistes : Black lives matter.
    • Combattons les discriminations vis-à-vis des LGBTQI.
    • System change, not Climate change: le changement climatique n’est pas un point de vue mais un fait, combattons-le ! Non aux pipelines dans le Dakota et ailleurs. Pour le renforcement du mouvement environnemental.
    • Pour un refinancement public de l’enseignement pour qu’il soit accessible et de qualité pour tous.
    • Stop à la politique pour les 1% de super-riches ; Luttons contre le capitalisme et pour une société orientée vers les besoins des 99% !

    Bruxelles : Vendredi 20 janvier, 17h, Place de la Monnaie. “Lights for Rights! – Brussels Women’s March” – Rassemblementà l’initiative de #Lights4RIghts (Contact: lights4rights@gmail.com), initiative notamment soutenue par le PSL et les Etudiants de Gauche Actifs. (Evénement facebook)
    Mons : Vendredi 20 janvier, 18h, Square Franklin Delano Roosevelt. Une intiative des Etudiants de Gauche Actifs ouverte à tous. Un micro ouvert est notamment prévu. (Evénement facebook)
    Liège : Vendredi 20 janvier, 17h30, Hôtel de Ville de Liège, Place du Marché. Une intiative des Etudiants de Gauche Actifs ouverte à tous. Un micro ouvert est notamment prévu. (Evénement facebook)
    Anvers : Vendredi 20 janvier, 18h30, Groenplaats. Une intiative des Etudiants de Gauche Actifs ouverte à tous.
    Gand : Vendredi 20 janvier, 18h30, Korenmarkt. Une intiative des Etudiants de Gauche Actifs ouverte à tous.

  • Résistance contre la loi Borsus : le travail social n’est pas un outil du capital !

    Le 16 novembre 2016, une action a eu lieu à Jemeppe-sur-Meuse contre la loi Borsus qui réforme le PIIS (projet individualisé d’intégration sociale) en enfonçant la porte vers plus de contrôle social. Une plateforme(1) a été mise sur pied à l’occasion de la venue de Monsieur Borsus (MR, ministre de l’Intégration sociale, entre autres) qui intervenait en clôture d’une conférence organisée par le CPAS de Liège à la Haute École Eli-Troclet avec pour thème l’accueil des réfugiés. Cette action a mobilisé pas loin d’une centaine de militants.

    Par Frank (Liège)

    La loi Borsus est une réforme du PIIS, le contrat liant le bénéficiaire d’allocations d’insertion au CPAS et qui a pour objectif (théorique) de créer un projet à long terme visant la réintégration du bénéficiaire sur le marché du travail (ce qui peut déjà porter à débat). Après plusieurs réformes – déjà antisociales – survenues avec le gouvernement Di Rupo, Borsus a voulu enfoncer le clou en instaurant dans le PIIS une possibilité de ‘‘travail communautaire’’ qui peut être obligatoire afin d’obtenir le revenu d’intégration sociale. Ce faisant, la personne est obligée de prester des heures de travail au sein d’une ONG ou d’une institution publique (comme un CPAS), et cela, pour l’allocation de survie que représente le RIS ! Et face aux réductions de budgets des CPAS, le danger que du personnel d’entretien soit purement et simplement remplacé par ce type d’esclavage légalisé est bien réel.

    En outre, si la personne ne se plie pas au PIIS, elle peut être sanctionnée d’un mois de perte du RIS et de 3 mois en cas de récidive. Dès lors qu’il s’agit du seul moyen de subsistance, quelle alternative s’offre-t-elle alors à un bénéficiaire en détresse ?

    Comme l’a souligné à plusieurs reprises Bernadette Schaek (présidente de l’ADAS) au cours de l’action du 16 novembre, le PIIS constitue une véritable agression envers les bénéficiaires. C’est loin d’être la seule : on peut penser aux nombreux contrôles intrusifs exercés par les agents des CPAS. Le travail social tend de plus en plus à devenir un outil de contrôle et de répression. De nombreux étudiants du secteur rejettent cette évolution. Les Étudiants de Gauche Actifs ont appelé à la solidarité et à la lutte conjointe des travailleurs sociaux, des étudiants et des allocataires du CPAS. Les autorités tentent de les monter les uns contre les autres, mais leurs intérêts convergent bel et bien vers un changement profond de ce que devrait être le travail social ! Et comme l’a si bien dit Bernadette Schaek, les CPAS ont la possibilité de se déclarer ‘‘zone hors PIIS’’. Nous pouvons construire un mouvement pour les pousser à adopter cette position !

    Si nous ne faisons rien, le travail social ne sera guère plus qu’un outil au service du capital. Ni les bénéficiaires d’allocations, ni la majorité des travailleurs sociaux ne veulent de cela. Cette attaque ne restera pas isolée, soyons-en certains. À Anvers, le conseil communal veut confier le travail lié à l’aide aux sans-abris à la société privée G4S. Cela constituera un dangereux précédent. Il est ainsi temps de taper du poing sur la table et de dire haut et fort que le travail social appartient à tous et doit être au service de tous !

    Au vu de la centaine de militants réunis en peu de temps, des nombreuses organisations présentes et du soutien témoigné par les étudiants sur place, nous sommes convaincus qu’il existe un véritable potentiel de combattivité! C’est pourquoi nous ne pouvons que continuer à encourager les différentes personnes concernées par la question du PIIS (travailleurs sociaux compris) à s’unir et à combattre ensemble ce détricotage de nos conquêtes sociales : contre le service communautaire, contre la pressurisation des travailleurs sociaux et pour un retour à la valeur fondatrice de ce secteur qu’est la solidarité.

    (1) L’appel a réuni comme organisations signataires l’ADAS (Association de défense des allocataires sociaux), le CADTM (Comité pour l’annulation des dettes illégitimes), EGA (Étudiants de Gauche Actifs), les FPS (Femmes prévoyantes socialistes), Riposte Cte, le RWLP (Réseau wallon de lutte contre la pauvreté), le collectif ‘‘Stop à la chasse aux chômeurs’’ et enfin Vie Féminine. Des militants du PTB étaient également présents.

  • Pour que Liège se déclare Hors Service Communautaire!

    PAS DE SERVICE COMMUNAUTAIRE A LIEGE !!!

    Pour un CPAS “hors service communautaire” : Rassemblement devant l’Hôtel de ville de Liège ce 19 décembre à 17h30 à l’occasion de la réunion commune du Conseil communal et du Conseil du CPAS

    La « loi Borsus » est entrée en vigueur le 1er novembre. Elle met en place le Service communautaire (SC) pour les bénéficiaires du revenu d’intégration sociale.

    Késako ?? Il s’agit de la prestation d’un travail non rémunéré qui pourra être effectué dans un nombre important de secteurs : administrations publiques, CPAS, ASBL,…

    Cette mesure est inadmissible. Elle constitue un recul social sans précédent depuis la dernière guerre.

    Le caractère volontaire est illusoire ! Quoi qu’en dise le ministre Borsus.

    Parce que le service communautaire s’inscrira dans un PIIS (projet individualisé d’intégration sociale) qui est rendu obligatoire et contraignant et est soumis à sanction (allant de un à trois mois de suppression du RIS).

    Parce que l’engagement dans un Service communautaire contribuera à fournir la preuve de la « disposition au travail », une des conditions légales d’octroi du revenu d’intégration. Or, cette condition d’octroi est examinée de façon très contraignante par les CPAS, et son non respect entraîne de plus en plus de sanctions et d’exclusions. Dans ce contexte, cela constituera une pression énorme sur les usagers pour s’ « enrôler » de gré ou de force dans un service communautaire.

    Le service communautaire représente une concurrence déloyale avec le travail salarié ! Quoi qu’en dise le ministre Borsus

    Le ministère déclare que ce Service Communautaire “ne peut assumer des tâches qui font partie d’une occupation rémunérée”, Selon quels critères justifie-t-on que telle ou telle tâche est digne de figurer dans un contrat de travail ? On sous-entend, par là, que les missions accomplies par le secteur public et associatif sont futiles et ne sont pas indispensables.

    La politique d’austérité nous étant actuellement servie à toutes les sauces, ce service communautaire impactera à coups sûr la politique d’embauche dans les secteurs concernés. Pourquoi engager du personnel lorsque ces tâches peuvent être prestées gratuitement par les bénéficiaires du CPAS ?

    Par contre, le caractère volontaire de la part des CPAS est bien réel

    La loi Borsus consacre, explicitement, le caractère facultatif de ce Service communautaire, pour les CPAS.

    Nous invitons donc le CPAS de Liège à se déclarer CPAS « hors Service communautaire »
    Laisser passer aujourd’hui le Service Communautaire pour les usagers des CPAS, c’est ouvrir la voie à ce qu’il soit imposé demain aux chômeurs, et après-demain, à qui le tour ? les malades, invalides, personnes handicapées ?

    => Sur Facebook

    A l’initiative de l’ADAS (Association de Défense des Allocataires Sociaux) Quelques signataires : ADAS, RWLP, CADTM, FGTB, Jeunes FGTB, JOC, RIPOSTE Cte, EQUIPES POPULAIRES de LIEGE, EGA, PSL, LCR,…

  • Liège : Action de solidarité avec les travailleurs d'ING

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    ing_ega_02Jeudi dernier, les Étudiants de Gauche Actifs ont mené une action de solidarité avec les travailleurs d’ING à Liège. Devant une des agences de la banque, ils ont scandé des slogans tels que: “Finance partout, justice nulle part” ou encore “Résistance internationale contre l’Europe du capital”.

    Ils ont également engagé la discussion avec les passants intrigués et ainsi accru la visibilité d’un des nombreux exemples de la rapacité des capitalistes : cette entreprise a fait 588 millions de bénéfices en un semestre et veut sacrifier 3500 employés (et leurs familles) sur l’autel du profit. Le dernier slogan crié était bien entendu : “Aujourd’hui dans la rue, demain on continue”. Une réunion ouverte a ensuite eu lieu sur le thème “Finance partout, justice nulle part, quelle riposte contre la dictature des banques et des multinationales”.

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  • Rassemblements: Solidarité avec la grève des étudiants en Espagne!

    espagne26

    Appel à la jeunesse à travers le monde : soutenez la grève étudiante espagnole en défense de l’enseignement public !

    Le 26 octobre, nous, les étudiants de l’État espagnol quitteront nos classes pour protester contre les politiques qui détruisent l’enseignement public. A l’instar de nombreux autres pays, notre gouvernement de droite a instauré des coupes budgétaires massives et a mis en place diverses contre-réformes qui visent à rendre l’enseignement uniquement accessible à ceux qui peuvent se permettre d’en payer le prix.

    Cet été, le gouvernement a adopté l’une de ses plus sauvages attaques: les «re-validations» franquistes. Il s’agit d’une série d’examens à passer à la fin de l’enseignement primaire, secondaire et post-secondaire. Nos parents ont dû les subir sous la dictature de Franco. Elles étaient utilisées comme une sorte de filtre pour tenter de bloquer l’accès à l’université aux jeunes de la classe des travailleurs. L’objectif est de détruire l’enseignement public pour le soumettre au marché.

    Pour cette raison, le syndicat des étudiants appelle à une grève dans l’enseignement le 26 octobre. Plus de 70 manifestations sont déjà prévues. La grève a déjà gagné le soutien de la Confédération des associations de parents (CEAPA) et de nombreux syndicats d’enseignants. Nous appelons la jeunesse du monde à nous soutenir ce jour-là en organisant des rassemblements devant les ambassades espagnoles.

    La lutte de la jeunesse pour ses droits est une seule et même lutte à travers le monde !
    Non au système franquiste des re-validations!
    Pour l’accès à un enseignement gratuit et de qualité pour tous!

    • BRUXELLES : 26 octobre. 14h. Rassemblement devant l’ambassade d’Espagne à Bruxelles. Rue de la Science 19, 1000 Bruxelles (près d’Arts-Loi). 
    • LIEGE : 26 octobre, 17h, Rassemblement au Consulat honoraire d’Espagne à Liège, Avenue du Luxembourg n°11, 4020 Liège

    Pour signer l’appel: marisaz84@gmail.com.

    1er signataires:

    • Etudiants de Gauche Actifs
    • Parti Socialiste de Lutte
    mario01
    Photo de solidarité prise lors d’un meeting à Bruxelles
    mons_espagne_01
    Photo de solidarité prise lors d’un meeting à Mons

     

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