Tag: ROSA

  • Peloton ROSA : soutenez votre champion.ne

    Soutenez la Campagne ROSA et la lutte contre le sexisme en sponsorisant la deuxième édition du peloton ROSA qui aura lieu le 14 mai 2022 au départ de Gand, Anvers et Liège !

    Cette année encore les mobilisations du 8 mars ont démontré que la lutte contre le sexisme était toujours d’actualité ! 8000 personnes à Bruxelles, mais aussi des manifestations combattives à Gand, Anvers, Bruges, Louvain, Liège, Alost, Courtrai… A chaque fois la Campagne ROSA a mobilisé, organisé et participé.

    C’est en 2017 qu’est mise sur pied la Campagne ROSA et déjà elle organisait une première manifestation le 8 mars à Gand. Depuis nous construisons et mobilisons chaque année davantage dans toujours plus de villes et de quartiers, contre le sexisme, les discriminations, l’austérité…

    Le besoin de s’organiser, de manifester et de lutter pour nos droits est toujours plus nécessaire mais aussi de plus en plus ressenti par des couches toujours plus larges au sein de la jeunesse et des travailleurs. Le potentiel et les défis pour une organisation comme la Campagne ROSA sont grands. Les crises successives, maintenant la guerre, la pandémie dont nous ne sommes pas encore sortis, et à chaque fois leurs lots de misère et de colère ne doivent pas nous résigner : « A ceux qui veulent nous précariser nous répondons RESISTANCE ! ».

    Le soutien financier que nous sommes capables de récolter tout au long de l’année est crucial pour nous permettre de jouer un rôle toujours plus grand. Cette année de nouveau nous vous invitons à nous soutenir en sponsorisant la deuxième édition du Peloton ROSA : un défi sportif à vélo à travers la Belgique.

    La campagne ROSA repose aussi sur la détermination, la disponibilité et les capacités incroyables de ses membres. Les périodes de confinement semblent avoir révélées une nouvelle corde à notre arc : le vélo !

    En effet en mai 2021, une quinzaine de militant.e.s de la Campagne ROSA ont traversé la Belgique d’ouest en est pour parcourir les 300 km qui séparent Ostende et Eupen. Le tout, en une journée ! La réussite de ce défi sportif s’est accompagné d’un succès financier : nous avons été capables de récolter plus de 6 000€ de sponsoring sur les 5 000€ d’objectif que nous nous étions fixés !

    Nous nous lançons à nouveau sur les routes cette année. Plus d’une trentaine de cyclistes s’élancerons de Gand, Anvers ou Liège et se retrouverons après quelques 150 km à Louvain pour célébrer nous l’espérons un nouveau succès du peloton ROSA.

    Nous accomplirons cet effort collectif, non seulement pour le challenge sportif qu’il représente, mais aussi pour récolter des fonds nécessaires afin de relever les défis futurs et donner à la Campagne ROSA les moyens pour mener ses futures campagnes.

    Soutenez la campagne ROSA en sponsorisant notre challenge !
    2 possibilités :

    • Faites un don pour le peloton ROSA
    • Sponsorisez votre champion.ne !

    L’entièreté des fonds récoltés seront reversés à la Campagne ROSA pour financer nos futurs combats et campagnes. Cette année encore nous voulons réussir à récolter 5 000 €.

    Vous voulez soutenir la lutte contre le sexisme, pour le droit des femmes et contre l’austérité, sponsorisez-nous via le formulaire sur le site de la Campagne ROSA !

  • Conférence nationale ROSA contre le sexisme et la guerre

    S’il y a bien un évènement à ne pas rater, c’est notre conférence annuelle – l’occasion idéale de rencontrer des activistes de partout en Belgique et d’échanger nos expériences.

    Nous adapterons cette conférence au plus près de l’actualité pour qu’elle nous outille pour participer à la construction d’un mouvement anti-guerre le plus fort possible.

    Ça sera aussi l’occasion de lancer la mobilisation pour les Pride is a Protest.

    Nous aurons bien-sûr aussi des ateliers contre le sexisme en Belgique : parce qu’on a raison d’être en colère et de vouloir agir pour mettre un terme à cette pandémie de l’ombre ! Quel est le lien entre sexisme et capitalisme ? Peut on compter sur le gouvernement et son plan contre les violences de genre de 2,5 millions d’euros ? Le sexisme est-il une fatalité ? Quelles revendications mettre en avant contre le sexisme dans la vie nocturne, dans nos écoles et unifs, au travail ou encore à la maison ? Qui sont nos allié.e.s et nos ennemis ? Comment lier les luttes entre elles ? Comment construire une lutte pour obtenir de vraies victoires ?

    Evénement Facebook

    Formulaire d’inscription

    Programme

    10:00 Accueil

    10:30 – 13:00 Choix entre 4 ateliers

    • Les normes de genre et la famille nucléaire remises en question. Ont-elles toujours existé ? En quoi la structure de la famille nucléaire fait-elle partie du capitalisme ?
    • Quel rôle jouent les politiques d’identité et l’approche “woke” dans les mouvements féministes ? Qu’en disent les féministes socialistes ?
    • Les secteurs essentiels en lutte : enseignement, petite enfance, soins de santé,…
    • Aux racines de la guerre : capitalisme et impérialisme

    13:00 – 14:00 Pause midi : sandwichs + soupe et boissons à petits prix

    14:00 – 16:30 Choix entre 4 ateliers

    • Pas une de plus ! Pourquoi les violences faites aux femmes sont-elles enracinées dans la structure de la société ? En quoi sont-elles inhérentes aux sociétés de classe tout court ?
    • D’où vient la transphobie et comment la combattre ?
    • Salaire, conditions de travail, pouvoir d’achat : la place des femmes est au syndicat ! + rencontre avec Marguerite Staquet qui a mené en 1982 une lutte exemplaire pour défendre le droit des ouvrières
    • La place des femmes dans la lutte contre la guerre.

    17:00 – 18:30 Meeting de lancement de la campagne “Pride is a Protest”

    18:30 – 00:00 Prolongement des discussions autour d’un verre et d’un croque monsieur ou hawaï


    Infos pratiques

    • Quand ? Samedi 23 avril de 10h00 à 18h30 (suivi d’une soirée ROSA jusque minuit)
    • Où ? Randstad, 45 rue du Jardinier, 1080 Bruxelles
    • Combien ? 10€ (5€ tarif social) + 3€ sur place. Numéro de compte de la Campagne ROSA : BE54 5230 8095 8497 (communication : Conférence ROSA + prénom & nom)
    • Un baby-sitting et des animations pour enfants sont prévues. (Merci de le mentionner à l’inscription !)
    • Boissons et repas à prix démocratiques.

    Code QR pour payer sa prévente directement


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    Si tu veux nous contacter directement : Emily (0470 03 22 06)

  • [tract] STOP AU SEXISME ET A LA GUERRE

    Participons à la construction d’un mouvement anti-guerre international. Organisions des sit-in contre la guerre dans nos écoles, unifs, …

    • Solidarité avec les jeunes et les travailleurs.euses d’Ukraine
    • Stop à la guerre de Poutine – Solidarité avec les manifs anti-guerre en Russie !
    • Stop à toutes les formes d’impérialisme et de guerre !
    • Participons à la construction d’un mouvement anti-guerre international
    • Solidarité avec les manifs anti-guerre en Russie

    Les femmes de la classe travailleuse brutalement frappées par la guerre.

    Elles doivent prendre la société sur leurs épaules tout en affrontant la faim et la perspective du deuil de leur compagnon ou enfant. La guerre signifie aussi la menace de violences sexuelles, utilisées comme arme de guerre, et l’augmentation de la violence dans la société conduit à l’augmentation des violences domestiques. Dans la région du Donbass où le conflit entre l’Ukraine et la Russie fait rage depuis 2014, elles ont augmenté de 158%.

    Sur qui compter pour mettre fin à la guerre ?

    La guerre sert les intérêts des capitalistes dans leur ensemble. Nous ne pouvons pas compter sur les fauteurs de guerre qui dirigent le monde ni sur leur diplomatie.

    Le maillon faible des calculs de Poutine, c’est la résistance des masses en Ukraine et en Russie. Les mobilisations massives qui ébranlent la Russie peuvent faire tomber Poutine et son régime. Ce potentiel explique la férocité de la répression. Des milliers de militant.e.s ont déjà été arrêté.e.s, les sites internet sont fermés,…

    Même avant l’invasion de l’Ukraine, la répression et son lot de violences policières frappaient durement les activistes, tout particulièrement les féministes et les LGBTQIA+. En Russie, comme ailleurs, les dirigeants sont conscients du potentiel effet boule de neige des mouvements contre le sexisme et la guerre. L’implication des femmes dans un mouvement de masse remet de facto en question le rôle de la famille traditionnelle et, avec elle, la structure-même de la société.

    Que pouvons-nous faire contre la guerre ?

    Nos actions et notre solidarité sont cruciales pour les mouvements qui s’organisent en Russie contre le régime. Construisons un mouvement de masse international contre la guerre, l’impérialisme et le système qui les produit : le capitalisme.

    A travers l’histoire, récente ou lointaine, les femmes travailleuses et pauvres ont souvent été à l’avant-garde des luttes contre la guerre. Non pas parce qu’elles seraient plus pacifiques par nature, mais parce que les guerres les impactent plus durement.

    En février 1917 (le 8 mars de notre calendrier), des ouvrières russes sont massivement descendues dans les rues pour crier “terre, pain, paix”. Le régime tsariste est tombé et cette révolution a rendu la Première Guerre mondiale intenable, notamment en donnant l’impulsion à la révolution allemande de 1918.

    Vous souhaitez entrer en lutte contre la guerre ? Agissez et organisez un sit-in dans votre école ou votre unif !

    Tant que la guerre se poursuit, la vie ne peut pas continuer comme avant. Nous devons organiser des actions partout et nous préparer à de grandes manifestations anti-guerre en Belgique. Organise un sit-in ou die-in dans ton école avec les revendications de ce tract. Le simple fait de prendre un selfie avec d’autres personnes de ton école ou d’avoir tes propres affiches peut aider à construire notre mouvement. => Nous regroupons toutes les actions et les photos sur Instagram et Facebook : « SIT-IN AGAINST THE WAR« . N’oubliez donc pas de nous les envoyer.

    Nous avons des comités ROSA dans une série de villes. N’hésite pas à les rejoindre et à les renforcer !

    Organize & Fight Back…
    23 avril – Conférence nationale de la Campagne ROSA contre le sexisme et la guerre

    S’il y a bien un évènement à ne pas rater, c’est notre conférence annuelle ; l’occasion idéale de rencontrer des activistes de partout en Belgique et d’échanger nos expériences. Nous adapterons cette conférence au plus près de l’actualité pour qu’elle nous outille pour participer à la construction d’un mouvement anti-guerre le plus fort possible. Ça sera aussi l’occasion de lancer la mobilisation pour les “Pride is a Protest”.

    Nous aurons bien-sûr aussi des ateliers contre le sexisme en Belgique parce qu’on a raison d’être en colère et de vouloir agir pour mettre un terme à cette pandémie de l’ombre ! Quel est le lien entre sexisme et capitalisme ? Peut on compter sur le gouvernement et son plan contre les violences de genre de 2,5 millions d’euros ? Le sexisme est-il une fatalité ? Quelles revendications mettre en avant contre le sexisme dans la vie nocturne, dans nos écoles et unifs, au travail ou encore à la maison ? Qui sont nos allié.e.s et nos ennemis ? Comment lier les luttes entre elles ? Comment construire une lutte pour obtenir de vraies victoires ?

    21 mai – Belgian Pride
    26 juin – Pride is a Protest

    La Campagne ROSA est présente chaque année à la Belgian Pride. Nous avons besoin de fêtes, mais il est aussi nécessaire de se battre contre l’oppression des personnes LGBTQIA+. Nous y serons avec nos pancartes, mégaphones et slogans combatifs. Nous voulons aussi à nouveau organiser des “Pride is a Protest” dans différentes villes pour commémorer les luttes de Stonewall et parce que ce combat est toujours d’actualité. Cette année on remet ça. Avec toi ?

    1 au 8 juillet – Camp d’été “A Socialist World is Possible !”

    Une semaine d’intenses discussions et d’échanges avec des activistes de Belgique et d’ailleurs dans le monde. Le but : comprendre le monde pour le changer. Les inégalités, l’oppression, l’exploitation des êtres humains et de la nature, l’impérialisme et ses guerres : nous pouvons mettre fin à tout ça en renversant le capitalisme.

    Lors de notre camp d’été, près de 100 ateliers de discussions (avec traductions vers l’anglais, le français et le néerlandais) permettront d’aborder en profondeur de multiples facettes de cet important combat au travers d’exemples historiques mais aussi d’expériences concrètes. Le camp comportera également diverses activités sportives, ludiques, festives et culturelles.

  • Le 8 mars dans la rue, après on continue ! Construisons un mouvement féministe qui arrache des victoires !

    Sous la pression des combats féministes, les consciences changent. Le terme « féminicide » a fait son entrée dans les médias de masse. De plus en plus de victimes brisent le silence. La culpabilisation des victimes, pilier de la culture du viol, est de plus en plus rejetée. Continuons sur cette voie ! Le 8 mars, Journée internationale de lutte pour les droits des femmes, la Campagne ROSA (Résistance contre l’Oppression, le Sexisme et l’Austérité) organise ou coorganise des manifestations combatives ou des actions dans 8 villes du pays.

    Par Odile (Liège)

    Tout le défi aujourd’hui est de voir comment lier les explosions de colères les unes avec les autres et assurer qu’elles ne soient justement plus seulement des explosions, mais une dynamique soutenue et allant crescendo vers une transformation de toute la société. Cette ambition exige de dépasser le cadre des groupes affinitaires et de réfléchir très consciemment aux pas à poser en avant vers la construction d’une organisation et d’une lutte de masse. C’est l’ambition de la Campagne ROSA.

    Le 8 mars et durant la campagne de mobilisation qui a précédé cette journée, nous avons essentiellement accentué trois éléments : la lutte contre les violences faites aux femmes, la nécessité d’un salaire minimum de 14€/h (soit 2.300€/mois) et enfin des investissements publics conséquents dans les soins de santé. Il est vital de ne pas simplement dire « ça suffit » et de développer des revendications claires et précises qui ne permettent pas à des décideuses et décideurs politiques de ne pas tout simplement s’en sortir avec des promesses vagues et des budgets insuffisants. Décider de donner des moyens riquiquis, c’est faire le choix conscient de laisser de nouveaux drames se produire !

    Notre campagne de mobilisation a permis de renforcer nos groupes locaux. De nouvelles têtes ont fait leur apparition, parfois en faisant leurs premiers pas dans l’activisme. À ce titre, s’il y a bien un évènement à ne pas rater après le 8 mars, c’est la Conférence nationale de la Campagne ROSA, le 23 avril ! C’est l’occasion idéale pour que des activistes de partout en Belgique puissent se rencontrer, échanger leurs expériences et partager leur enthousiasme ! Dans certaines villes, il est parfois difficile de développer un groupe local et de le stabiliser sur le long terme. Les militantes de groupes plus expérimentés seront d’une aide précieuse pour des groupes encore au tout début de leur construction et même aux personnes seules qui désirent se lancer dans la bataille dans leur commune !

    Après cela, il y aura la Belgian Pride, le 21 mai, à laquelle nous participons chaque année ! L’an dernier, elle avait été annulée à cause des restrictions sanitaires, nous avions donc pris l’initiative d’en organiser deux manifestations « Pride is a protest » : une à Bruges (150 personnes) et une à Gand (600 personnes malgré la pluie torrentielle !), avec une autre action à Anvers (d’une 50aine de personnes). Cette année, nous pouvons peut-être réitérer l’expérience dans ces villes, voire d’autres encore ! Nous désirons participer au renforcement du caractère combatif des prides et du combat LGBTQIA+ !

    Et le clou du spectacle pour cette première partie de l’année, c’est le camp d’été ! Il se tiendra du 1er au 8 juillet : une pleine semaine d’intenses discussions et d’échanges avec des activistes de Belgique et d’ailleurs dans le monde. Une occasion en or pour en savoir plus sur notre programme féministe anticapitaliste, pour discuter de son amélioration et débattre de la meilleure façon de parvenir à une société sans sexisme et sans oppression, où chacun.e pourra s’épanouir selon ses besoins et ses talents !

    Alors, si tu es intéressé.e par un ou plusieurs évènements, si tu veux t’impliquer dans la Campagne ROSA et la lutte contre les oppressions, n’hésite plus, rejoins-nous !

  • Contre le sexisme et la guerre. Sans lutte, pas de conquête : en action le 8 mars !

    Chaque crise (sanitaire, économique, climatique, militaire…) frappe plus nettement les femmes. Nous sommes solidaires des nombreuses manifestations qui ont lieu en Russie. Voilà comment nous pouvons dégager Poutine hors d’Ukraine. Et c’est vers ça que nous devons orienter nos efforts.

    Lieux et heures des manifs ce 8 mars

    Le 8 mars, nous manifesterons pas uniquement contre la violence sexiste, l’augmentation du coût de la vie et les pénuries dans les services publics et les soins de santé, devenues évidentes pendant la pandémie. Lors de cette journée d’action, nous voulons également montrer notre solidarité avec les jeunes et les travailleurs.euses en Ukraine. Seule une lutte unie des jeunes et des travailleurs.euses du monde entier peut offrir une alternative à cette société qui produit des crises, la misère et la guerre.

    Stop à la culture du viol !

    Plus de 90 % des victimes qui portent plainte sont mal reçues par la police et la justice. Refuser de mettre les moyens nécessaires revient à faire le choix conscient de laisser de nouveaux drames se produire.

    Les crises affectent plus durement les femmes

    Lors du premier confinement, le nombre d’appels à l’aide pour violences domestiques a doublé. Chaque crise (pandémique, économique, climatique, guerre…) frappe plus nettement les femmes et les rend plus vulnérables aux violences. Les secteurs de première ligne, comme la santé, sont à prédominance féminine. Des décennies de coupes budgétaires y ont dégradé les conditions de travail et de salaire ainsi que la qualité des soins. Cela joue un rôle pour empêcher de prévenir et de gérer correctement les violences sexistes ainsi que pour apporter aux victimes l’aide dont elles ont besoin. Par contre, ça n’a pas été un souci pour trouver 14 milliards d’euros pour la Défense…

     Il n’y a pas de capitalisme sans sexisme

    Cette société produit et alimente le sexisme. Les normes de beauté sont irréalistes et malsaines, mais elles font vendre. Faute de services publics suffisants, beaucoup de femmes travaillent à temps partiel pour prendre en charge le travail domestique non payé. Résultat, l’écart salarial entre femmes et hommes est de 23%, 42% pour les ouvrier.ère.s ! Avec l’explosion du prix de l’énergie, la vie est inabordable. Une lutte collective de tou.te.s les travailleurs.euses est cruciale pour augmenter les salaires et imposer la réduction collective du temps de travail, sans perte de salaire et avec embauches supplémentaires.

    Féminisme socialiste = féminisme anti-guerre

    Les femmes paient un prix élevé à la guerre. Dans la région de Donbas où un conflit entre l’Ukraine et la Russie fait rage depuis 2014, 13 000 personnes sont déjà mortes. Amnesty International signale une augmentation de 158 % des violences sexuelles et domestiques depuis le début du conflit.

    Lors de la Journée internationale des droits des femmes de 1915, la féministe socialiste Clara Zetkin a pris la tête d’une manifestation anti-guerre réunissant des dizaines de milliers de personnes à Berlin. Le 8 mars tire son origine dans les luttes des ouvrières et celles anti-guerre de Petrograd à New York.

    Nous sommes solidaires des nombreuses manifestations qui ont lieu en Russie. Voilà comment nous pouvons dégager Poutine hors d’Ukraine. Et c’est vers ça que nous devons orienter nos efforts. Non à l’impérialisme et au militarisme de la Russie et de l’OTAN ! Stop à l’Europe forteresse ! Assurons un passage sûr aux réfugié.e.s victimes des guerres capitalistes et impérialistes !

    Rejoignez-nous – changeons de système !

    La Campagne ROSA (Résistance contre l’Oppression, le Sexisme et l’Austérité) refuse de se contenter de miettes. L’argent existe. Les 1% les plus riches possèdent deux fois plus de richesses que 6,9 milliards de personnes sur cette terre ! Considérons ce qui nous unis dans la lutte plutôt que ce qui nous rend différent.e.s. Le 8 mars, ensemble, luttons contre le sexisme, la guerre et l’impérialisme et contre le capitalisme !

    Rejoignez-nous et recevez le paquet d’adhésion ROSA !

  • Campagne du concours ROSA : merci pour votre participation !

    Le concours de la Campagne ROSA a été un grand succès : plus de 5.500 euros ont été collectés grâce à lui ! Bien sûr, il y avait aussi 10 gagnants. Ils ont été tirés au sort dimanche dernier. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des numéros gagnants :

    – Deux nuits en demi-pension dans un hôtel avec spa pour 2 personnes : ticket n° 1924, Jolan C.
    – Un vol en planeur à Tirlemont : 2508, Rik L.
    – Un panier de 20 bières hollandaises : 516, Dirk L.
    – Un chèque-cadeau d’une valeur de 50 € de la librairie De Witte Zee à Ostende : 2694, Christine M.
    – Un panier rempli de spécialités bruxelloises : 2542, Cathy S.
    – Un chèque-cadeau d’une valeur de 50 € dans une pâtisserie bruxelloise Mooky : 1731, Julie K.
    – Un panier rempli de spécialités namuroises : 1377, Isabel V.
    – Un paquet offert par « Steunpunt Antifascisme » : « Fascisme et grand capital » de Daniel Guérin et 10 pins du Triangle Rouge : 2684, Tine P.
    – Un chèque-cadeau de 50 € pour acheter du matériel et des brochures ROSA ou une sélection de livres sur marxisme.be : 2526, Sanne C.
    – Un chèque-cadeau de 50 € pour acheter du matériel et des brochures ROSA ou une sélection de livres sur marxisme.be : 258 Wendy B.

    Vous pouvez revoir ci-dessous le tirage au sort des tickets gagnants.

  • Jeff Hoeyberghs au tribunal, mais le KVHV continue de sévir avec les fonds de l’université de Gand

    Il y a deux ans, le cercle étudiant de l’université de Gand KVHV avait organisé une conférence avec Jeff Hoeyberghs. Ce cercle officiellement catholique conservateur a clairement fait sien les positions de l’extrême droite. C’est aussi l’ancien cercle étudiant de Theo Francken (NVA) et Dries Van Langenhove (Vlaams Belang). La soirée était présentée comme anodine et inoffensive : il s’agissait de parler de Jeff Hoeyberghs de « sa vie étudiante bien remplie, de sa carrière et de ses déclarations les plus marquantes ». Au final, la soirée s’est transformée en un plaidoyer d’extrême droite de deux heures bourré de sexisme, de racisme, de LGBTQIA+phobie, de négationnisme climatique, de références au nazisme et de glorification de la violence et de l’élitisme. Grâce à une campagne en ligne et à deux actions de protestation menées sur le campus, la Campagne ROSA et les Etudiants de Gauche Actifs avaient assuré que ce meeting impose un débat sur le sexisme. La confiance de l’extrême droite avait été ébranlée.

    Aujourd’hui, deux ans après les faits, le ministère public requiert une amende de 8.000 euros et six mois de prison avec sursis pour Jeff Hoeyberghs. Le cercle étudiant KVHV, comme l’Université, ne sont toutefois pas inquiétés par la justice. La Convention politique et philosophique des cercles étudiants a suspendu la reconnaissance officielle du KVHV pendant deux mois… au moment des examens. L’administration de l’université, elle, n’a strictement rien fait en dépit de la pression des actions et de la colère des réseaux sociaux. Le KVHV et Jeff Hoeyberghs avaient invoqué leur droit à la liberté d’expression. Mais soyons clairs : le sexisme n’est pas une opinion, c’est une discrimination et un délit.

    Même après la conférence, Jeff Hoeyberghs a continué à répandre des opinions élitistes ultraréactionnaires sur les réseaux sociaux. Il s’est notamment prononcé en faveur de l’abolition de l’enseignement gratuit. Tout comme le KVHV, il minimise l’impact de la pandémie et fait partie des figures de proue des groupes anti-vax.

    Nous avons donc encore besoin de nous mobiliser, notamment pour que l’Université de Gand ne subventionne plus une organisation telle que le KVHV et ne facilite plus la banalisation des idées d’extrême droite !

    La mobilisation et l’action collective représentent la voie à suivre pour lutter efficacement contre le sexisme à l’université et dans la société. Le syndicat CGSP Ugent (la centrale des services publics de la FGTB), en collaboration notamment avec les militant.e.s de la Campagne ROSA, a récemment mené une campagne victorieuse pour l’obtention d’un salaire minimum de 14 euros de l’heure à l’université de Gand, parmi d’autres revendications féministes socialistes. Des victoires sont possibles, même dans une université où des associations comme le KVHV et le NSV (cercle de jeunesse officieux du Vlaams Belang) sont officiellement reconnus comme cercles étudiants par les autorités universitaires. Nous continuerons à nous battre, notamment pour que l’Université de Gand ne reconnaisse plus ces cercles et cesse de leur accorder des subsides. Nous savons que nous allons gagner !

    Rejoignez-nous. Rejoignez la Campagne ROSA dès aujourd’hui et rejoignez la lutte contre toute forme de discrimination et contre l’extrême droite !

  • Les soins de santé sont essentiels – Nous sommes essentiels ! Tract de la Campagne ROSA

    29 mai, 15h, Bruxelles-central :
    GRANDE MANIF’ DE LA SANTÉ ET DES OUBLIÉ·ES ACTE 2 !

    La Campagne ROSA (Résistance contre l’Oppression, le Sexisme et l’Austérité) mobilise pour que la manifestation du collectif militant La Santé en Lutte soit la plus grande possible. La Campagne ROSA a pris en charge d’organiser un des divers « blocs » du cortège. Le combat pour les soins de santé est bien entendu un combat féministe : on trouve 78% de femmes parmi le personnel soignant. Rejoins-nous !

    Lits, matériel, personnel,… tout manque pour affronter la crise sanitaire. Il faut dire que la situation était déjà lamentable avant ça. Le combat du personnel soignant pour des soins de santé de qualité et accessibles à toutes et tous est aussi le nôtre : nous sommes toutes et tous des patients potentiels !

    Des avancées ont été possibles grâce aux luttes de celles et ceux qui font tourner ce monde – les travailleuses et travailleurs – grâce à des assemblées, des rassemblements, des actions et des grèves. Mais c’est loin d’être suffisant.

    Souvenons-nous que lorsque Maggie de Block était Ministre de la Santé, le gouvernement a coupé 2,1 milliards d’euros dans le budget des soins de santé, après des décennies où le sous-financement était déjà dramatique. La Santé en Lutte explique également qu’actuellement « l’État prête aux hôpitaux, et que ceux-ci vont donc devoir rembourser ! » Certaines institutions utilisent le « fond blouses blanches » (obtenu grâce aux luttes de 2019) pour éponger leurs dettes !

    Nous ne voulons pas d’une santé à crédit. Nous avons besoins d’un refinancement public massif du secteur avec un contrôle démocratique sur l’allocation des budgets. D’autres secteurs déterminants pour notre bonne santé en ont également un urgent besoin : les logements sociaux, l’enseignement, etc.

    Essentielles, mais précaires

    Les salaires les plus bas sont composés à 70% de femmes. Elles sont également largement majoritaires dans les métiers dits « essentiels » : distribution (supermarché), soins de santé, aide aux personnes, enseignement,… A contrario, le patron de Delhaize, lui, a vu son salaire augmenter de 34%. Ce n’est pas la crise pour tout le monde !

    Un écart salarial entre femmes et hommes existe toujours en Belgique. Les femmes gagnent annuellement 23,1% de moins que les hommes, cet écart atteint 30% à la pension. Les salaires sont notamment déjà très faibles les soins aux personnes et 44% des travailleuses y bossent à temps partiel.

    Ce ne sont pas les hommes qui sont trop bien payés, ce sont les femmes qui ne le sont pas assez, pas même pour être financièrement indépendantes. Elles sont donc deux fois plus nombreuses à se retrouver dans une situation de dépendance financière.

    Luttons pour un salaire minimum de 14€/heure, soit 2300€ bruts par mois. Luttons contre les temps partiels involontaires en répartissant le travail disponible entre toutes et tous par la réduction collective du temps de travail sans perte de salaire, avec embauches compensatoires et réduction de la charge de travail. Luttons aussi pour des services publics qui permettent de réellement concilier vie de famille et vie professionnelle.

    Une crise économique particulièrement violente pour les femmes

    Selon l’ONEM, en 2020, le nombre de chômeurs temporaires a été trois fois plus élevé que lors de la crise économique de 2009. Un certain effet d’amortissement existe aujourd’hui, mais il ne durera pas. Les femmes sont surreprésentées dans les emplois précaires, elles constituent encore et toujours une main-d’œuvre de réserve et leur revenu est souvent considéré comme un simple complément au ménage. Ce sont elles les premières à être frappées par les pertes d’emploi. Ainsi, en décembre, pratiquement 100% des pertes d’emplois aux USA et 98% en Italie concernaient des femmes.

    Tout cela contribue largement à aggraver le manque de considération dont pâtissent les femmes dans la société, ce qui alimente et renforce dangereusement le sexisme. D’autre part, l’explosion du nombre de personnes sans emploi instaure une pression à la baisse sur l’ensemble des conditions de travail et de salaire.

    Entrons en résistance et engageons-nous dans la lutte pour la défense de nos droits et pour en arracher de nouveaux !

    Entrons en lutte contre la précarité et les pénuries

    La grande manifestation de la santé et des oublié.e.s nous concerne toutes et tous. Tous les secteurs précarisés et oubliés de la crise y ont leur place, comme ceux de la petite enfance et de l’enseignement, dont le manque de moyens a lui aussi été mis en lumière par la pandémie. Les secteurs les moins impactés par le coronavirus devraient aussi massivement mobiliser, en solidarité. Il n’y a pas d’autre voie pour obtenir de nouvelles conquêtes sociales que celle de la solidarité et de l’unité dans la lutte.

    La Campagne ROSA défend un féminisme socialiste et veut s’attaquer à la racine du problème : le capitalisme. Une infime élite capitaliste nous exploite et a besoin de nous diviser (par le racisme, le sexisme, la LGBTQI-phobie,…) pour affaiblir notre résistance. Débarrassons-nous de ce système pour donner naissance à une société reposant sur l’épanouissement de chacun.e.

    Rejoins le bloc ROSA le 29 mai !

    Tu es d’accord avec ce que nous défendons, en parole ou en acte, alors adhère à la Campagne ROSA et / ou soutiens-nous financièrement pour nous permettre de poursuivre nos activités ROSA: BE54 5230 8095 8497.

    • fr.campagnerosa.be
    • contact@campagnerosa.be
    • facebook.com/CampagneROSAFR
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    Summercamp 2021 du 2 au 9 juillet / Against Opression & Capitalism

    Une occasion à ne pas manquer ! La Campagne ROSA organisent un camp d’été (en collaboration avec le PSL/LSP et les Etudiants de Gauche Actifs) pour se détendre et se rencontrer après le (semi)confinement, mais aussi et surtout, pour discuter de la stratégie et du programme nécessaire au renversement du capitalisme. Pour combattre ce système qui exploite et discrimine, nous devons impérativement comprendre comment il fonctionne !

    Ce camp est organisé par le PSL/LSP, la Campagne ROSA, la Campagne Solidarity – FR et les Étudiants de Gauche Actifs – EGA.

     

     

     

     

     

     

     

  • Camp d’été 2021 : Contre l’oppression et le capitalisme

    Du 2 juillet au 8 juillet, les Étudiants de Gauche Actifs, la Campagne ROSA et le PSL/LSP (section belge d’Alternative Socialiste Internationale) organisent un camp d’été pour se détendre après le (semi)confinement et se rencontrer autour d’une bière, mais aussi et surtout, pour discuter politique et voir comment on peut changer radicalement la société !

    Pour combattre ce système, il faut impérativement comprendre comment il fonctionne ! C’est l’occasion d’en apprendre plus sur plein de sujets et de poser toutes ses questions sur l’approche du marxisme, tout en profitant du soleil.

    Le camp aura lieu du vendredi 2 juillet au soir jusqu’au jeudi 8 juillet midi et il se déroulera dans le camp De Viggel à Bree, dans le Limbourg. Il est ouvert à toutes et tous : étudiant.e.s (secondaire et supérieur), travailleuses/travailleurs, pensionné.e.s,… Il est possible de venir un ou plusieurs jours – nous prévoyons d’ailleurs un week-end spécialement orienté vers les travailleuses/travailleurs – mais bien sûr chacun.e est invité.e à rester durant l’entièreté du camp. Vous pouvez passer la nuit sous tente ou dans l’un des dortoirs, au choix. Durant le week-end, un babysitting et des animations pour enfants sont prévus.

  • Résistance ! Ce 8 mars a confirmé la détermination pour riposter

    La dernière grande manifestation avant le confinement avait lieu il y a un an, le 8 mars 2020. Plus de 10.000 personnes s’étaient mobilisées dans la capitale à l’occasion de la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes. La foule de manifestantes et de manifestants était beaucoup plus importante que prévu, très animée et combative. La Campagne ROSA était présente avec une délégation qui a atteint le millier de personnes. La mobilisation a évidemment pris une tournure différente cette année, mais le militantisme et la volonté d’agir n’ont très clairement pas disparu de la scène.

    La Campagne ROSA avait appelé à participer à des rassemblements statiques dans dix villes, dans le respect des mesures sanitaires. Dans un certain nombre de villes, la Campagne ROSA avait pris l’initiative de ces actions. Ailleurs, nous avons collaboré avec d’autres organisations comme le  Collecti.e.f 8 maars. Les actions les plus importantes ont eu lieu à Gand et à Bruxelles.

    A Gand, la Campagne ROSA avait prévu que la Sint-Pietersplein serait trop petite, les actions ont donc été réparties sur trois places. Au total, au moins 750 personnes avaient répondu à l’appel. Ailleurs à Gand, le Collecti.e.f 8 maars a également organisé des actions qui ont réuni 450 personnes.

    À Bruxelles, nous nous sommes réunis à la Gare centrale avec plus de 500 personnes. Parmi les prises de parole, celle du collectif d’action militant “La Santé en Lutte” était particulièrement remarquable. D’autres rassemblements ont également eu lieu place Schuman et à la Monnaie. Nous avons également participé à l’action des sans papiers à l’occupation politique du Béguinage.

    À Anvers, la Campagne ROSA a fait escale sur la St-Jansplein, l’une des trois places où se sont déroulées les actions de ce 8 mars. Sur cette place, il y avait au moins 150 personnes, dont des syndicalistes de la FGTB et de la CSC ainis que des membres du PTB. A Liège, environ 200 personnes étaient réunies à notre appel à la gare des Guillemins, dont un bons groupe d’activistes kurdes des colelctifs SKB et Violet-Rouge . A Louvain, 250 personnes étaient présentes à notre rassemblement, 120 à Bruges 120 (dont 27 sont devenus membres de la Campagne ROSA sur place !), 60 à Alost et encore quelques dizaines de personnes à Courtrai, Termonde et Torhout.

    Au niveau national, la Campagne ROSA a donc mobilisé plus de personnes que l’an dernier lorsque nous avons formé un bloc de 1000 manifestants. Qu’est-ce que cela aurait été sans la crise sanitaire ?

    Le tract que nous avons utilisé nationalement soulignait que la lutte paie et que nous n’avons pas d’autre choix pour éviter que la crise sanitaire et la crise économique ne repoussent les femmes dans les années ’50. À l’université de Gand, une décision de principe a été prise pour augmenter les salaires les plus bas à au moins 14 euros de l’heure, une mesure qui concerne essentiellement des travailleuses. Cette victoire féministe fait suite à une campagne déterminée qui reposait sur l’implication du personnel et des étudiants. Pour le personnel de l’entretien, il a été obtenu que les conditions d’externalisation soient améliorées. Si les grandes entreprises de nettoyage refusent de les accepter, alors l’internalisation des ces tâches par l’université sera de nouveau à l’ordre du jour. Cette victoire est très importante. Hier, une action a également été menée à l’université d’Anvers en faveur d’un salaire minimum plus élevé pour le personnel de l’entretien et de meilleures conditions de travail. L’université semble ne voir d’autre option que de choisir entre de meilleures conditions pour le personnel ou des moyens pour l’enseignement. Nous ne devons pas nous laisser prendre dans ce type de tentative de division !

    Nous devrons nous battre pour défendre nos droits, cela a dramatiquement été rendu encore plus évident à l’approche du 8 mars. Un meurtre homophobe a eu lieu à Beveren. D’autre part, la crise sanitaire frappe plus durement les femmes, d’une part au niveau du travail, d’autre part avec l’accroissement des tâches domestiques. Les violences envers les femmes sont également en hausse, tous les rapports témoignent d’une terrible augmentation des lignes de secours pour violence conjugale. C’est tout le système qui est coupable, nous devons nous organiser et le combattre !

    Dans le quotidien flamand De Standaard, notre camarade Elise a fait remarquer : “Nos revendications concrètes sont, par exemple, la gratuité des serviettes hygiéniques et des tampons dans les écoles, un salaire minimum de 14 euros par heure et une semaine de travail de 30 heures sans perte de salaire. Ce sont des revendications que nous défendons depuis longtemps déjà, mais elles n’ont toujours pas été mises en œuvre.”

    La Campagne ROSA continuera son combat. C’est ensemble que nous sommes plus forts ! Participez à la conférence en ligne de la Campagne ROSA samedi prochain, la journée “Bread and Roses”, et rejoignez-nous !

    Bruxelles :
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    Gand :

    Louvain :

    Bruges :
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    Anvers :
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    Torhout:

    Alost :

    Liège :

    Termonde :

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