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Tag: Milquet
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[PHOTOS] 1.500 manifestants contre les SAC : Ce n'est qu'un début, continuons le combat ! (1)
Joëlle Milquet, la ministre des Sanctions Administratives Communales (SAC) a récemment suggéré que l’opposition à ces amendes antisociales se limite à des discussions sur internet. Mais samedi dernier, il a clairement été démontré que ce n’est pas le cas. Près de 1500 manifestants issus de tous le pays ont parcouru les rues de la capitale afin de dénoncer leur caractère profondément arbitraire, répressif et antisocial. Une nouvelle manifestation nationale a été annoncée pour le 26 octobre prochain.
Photos par Jean-Marie
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[PHOTOS] 1.500 manifestants contre les SAC : Ce n'est qu'un début, continuons le combat ! (2)
Joëlle Milquet, la ministre des Sanctions Administratives Communales (SAC) a récemment suggéré que l’opposition à ces amendes antisociales se limite à des discussions sur internet. Mais samedi dernier, il a clairement été démontré que ce n’est pas le cas. Près de 1500 manifestants issus de tous le pays ont parcouru les rues de la capitale afin de dénoncer leur caractère profondément arbitraire, répressif et antisocial. Une nouvelle manifestation nationale a été annoncée pour le 26 octobre prochain.
Photos par MédiActivista
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Brink’s: La grève continue
Depuis 27 octobre, les employés de BRINK’S sont en grève. Dès le début, le conflit est caractérisé par une arrogance énorme de la part de la direction. Ce vendredi, la direction de Brink’s a officiellement fait aveu de faillite : 430 employés, qui pendant plusieurs années ont risqué leur vie pour la société, perdent leur emploi.
PSL-Hainaut
Brink’s est le dirigeant mondial dans le marché des convoyeurs de fonds. La société, qui a sa base aux États-Unis, compte 60.000 employés dans plus de 100 pays, dont 430 travailleurs en Belgique. Fin octobre Brink’s a annoncé la fermeture de son site à Strépy (le seul site en Wallonie), qui compte une soixantaine de travailleurs, la vente des activités (hautement rentable) de Brink’s Diamond & Jewelry Service à une autre société du groupe, et a exigé le passage du statut d’employé au statut d’ouvrier.
Les employés ont refusé clairement ces manœuvres. Surtout que le passage au statut d’ouvrier était uniquement une préparation pour pouvoir les licencier à bon marché. Dans le secteur, un ouvrier avec 20 ans d’ancienneté a droit à une indemnité de 16 semaines, pour un employé, c’est 18 mois. Donc une sérieuse économie pour la direction. Cette mesure formerait en outre un précédent, et aurait des conséquences pour tous les employés dans d’autres secteurs.
La direction avait très bien préparé son plan. Il y a environ un an, trois employés ont été licenciés sur chaque site : « Notre collègue rentrait à l’entreprise à la fin de son itinéraire, et on lui refusait l’accès. Dans le couloir il a dû donner son arme et ses affaires de travail. Il a été licencié sur place. » La direction l’a fait uniquement pour tester les réactions. Peu après, les délégués sur place se sont vus offrir une double indemnité, pour partir. De cette façon, Brink’s pensait pouvoir faire passer sa restructuration sans résistance. Mais elle s’est clairement trompée. Au lieu d’être face à des travailleurs divisés et à une représentation syndicale décapitée, comme elle l’espérait, elle se trouve confronté à un bloc uni et combatif des employés. Aujourd’hui, les employés de Brink’s ont mené une lutte exemplaire, en front commun syndical. Ils ont refusé de rendre leurs armes et l’argent dans les coffres-forts. Ils ont refusé de changer de statut, parce que ce aurait été une défaite pour tous les travailleurs belges avec un statut d’employé. Ils ont toujours compris la stratégie de la direction, et ils ont décidé de continuer le piquet de grève, même après que la faillite a été officiellement déclarée.
La direction pointe maintenant les travailleurs du doigt comme cause de la faillite. Elle met en avant qu’elle n’a jamais été confrontée à une telle résistance de la part de ses travailleurs, depuis sa création et dans aucun autre pays. Les statuts d’employé seraient la cause des pertes de l’entreprise. C’est n’importe quoi ! L’activité hautement rentable qui s’occupe du transport des diamants entre Anvers et le Zaventem, a été vendue à une autre société du groupe, et a ainsi mis les comptes virtuellement dans le rouge. Au cours des négociations, les syndicats ont même proposé d’accepter les changements de statuts, sous condition que l’on ne touchait pas aux indemnités de licenciement. Ceci a été refusé. Il s’agissait donc uniquement d’une préparation des licenciements. Car un changement de statut signifiait de moins grandes indemnités. Le syndicat essayera maintenant de poursuivre l’entreprise pour faillite frauduleuse. Ceci signifie que le combat sera partiellement mené sur le plan juridique maintenant. Ceci peut avoir comme conséquence que les travailleurs ont l’impression que « ce n’est plus dans leurs mains maintenant », que les choses dépendent du juge, qui leur sera oui ou non bien intentionné. Si ce procès s’étale sur une longue période, la lutte pourrait s’éteindre.
Mais les employés de Brink’s ont décidé justement de continuer le piquet de grève. « Ce n’est qu’un début », disaient-ils vendredi sur le piquet à Strépy, juste après la déclaration de la faillite. Il est important que le syndicat essaie d’élargir la lutte. Les méthodes que la direction de Brink’s utilise ne sont pas nouveaux. Une faillite mise en place par une division fictive des sections lucratives et déficitaire, nous l’avons déjà vu, notamment en Mai 2009 chez FIAT à Bruxelles. Cela avait permis à la direction de FIAT de licencier 24 travailleurs dans la partie déficitaire. Nous avons vu un mouvement de solidarité suite à ce conflit, il nous faut la même chose maintenant.
La direction de Brink’s a visé la faillite dès le début. Elle a hébergé ses activités rentables (le transport de diamants et d’or entre Anvers et Zaventem) sous une autre filiale. Elle avait d’ailleurs déjà demandé une licence pour cette filiale dès le début du conflit. Elle a voulu se débarrasser de Brink’s Belgique, afin de reprendre ses activités rentables sous un autre nom. Le patronat est prêt à tout pour augmenter ses profits. Les employés sont jetés comme des vieux mouchoirs, pour contenter les actionnaires parasitaires. Pour certains travailleurs, ce n’est pas leur première restructuration. Un travailleur de Strépy a déjà du vivre la même chose à VW Bruxelles, maintenant Audi Bruxelles. Le patronat essaye partout de faire payer les conséquences de la crise aux travailleurs. Le jour où la faillite à Brink’s a été annoncée, nous lisons dans le journal que le groupe français La Redoute va licencier 78 employés à Dottignies, pour diminuer ses frais. Le nombre de licenciements et attaques sur les statuts, les salaires, … ne va qu’augmenter dans la prochaine période. Nous avons besoin d’un syndicat combatif qui unifie les différentes luttes.
Nous ne devons pas attendre beaucoup soutien de la part des partis traditionnels : les politiciens comme Milquet, Di Rupo,… disent maintenant être ‘indignés’ de l’attitude de la direction de Brink’s, mais ils n’ont pas de réponse. Au contraire, tous les partis traditionnels soutiennent depuis des années une politique de réductions de charges patronales pour les grandes sociétés. Aujourd’hui, ceci coûte jusque 9 milliards d’euros par an à la caisse de notre sécurité sociale.
Le patronat se trouve servi comme un prince, et quand les travailleurs doivent payer le prix pour des années de mauvaise gestion, il y n’a pas de réponse. Les politiciens permettent au secteur privé de se faire encore un peu plus de profits sur le dos des travailleurs, de leur sécurité, leurs salaires, leurs conditions de travail, … Les partis traditionnels ne se trouvent pas de notre côté. Nous avons besoin de notre propre parti, un parti qui défend les intérêts des travailleurs et qui s’oppose à la logique de profit. Chez Brink’s, la sécurité du personnel est en jeu chaque jour. Ce secteur ne peut pas être laissé à la faim des profits du secteur privé. Avec la nationalisation de l’ensemble du secteur financier, sous contrôle et gestion ouvrière, le secteur des convoyeurs de fonds doit être mis aux mains publiques, pour mettre centrale la sécurité des travailleurs et la service à la population, au lieu de la chasse aux profits.
Visite le groupe facebook du piquet de grève de Strépy: Brink’s-Strépy
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Jeunes en lutte pour l’emploi – Faites votre choix : le chômage ou un job de misère
Dans les pages de Lutte Socialiste ous ur ce site, nous avons déjà abordé la problématique du chômage des jeunes dans de nombreux articles, notamment avec le chiffre alarmant d’un jeune de moins de 25 ans sur trois au chômage en 2011 ou encore avec la perspective de 800.000 chômeurs en Belgique pour la même année.
Par Nicolas Croes
A NOUS DE PAYER NOS EMPLOIS PRÉCAIRES
Pour les politiciens traditionnels, tout n’est qu’une question de volonté et de formation du sans-emploi… ainsi que d’incitants à l’employeur bien entendu. Johan Vande Lanotte, ancien président du SP.a (le PS flamand), insiste sur l’expérience. Quand on reste au niveau du principe, là, comme ça, ça peut paraître sympa. Qui pourrait dire qu’on n’a pas besoin d’expérience? Sauf que, concrètement, c’est vraiment, mais alors vraiment loin d’être sympa. Son idée, c’est de transformer la période de stage d’attente (1) en une ‘‘période d’expérience au travail’’.
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PARLER, OK, MAIS AUSSI AGIR !
NOUS – POUR DES MARCHES DES JEUNES POUR L’EMPLOI !
Le PSL participe à des comités ‘‘Jeunes en lutte pour l’emploi’’ avec les jeunes FGTB de différentes villes et d’autres organisations comme la Jeunesse Ouvrière Chrétienne pour organiser des manifestations locales sur le thème de l’emploi des jeunes.
Pour nous, il s’agit clairement d’aider à construire un rapport de forces en faveur des travailleurs et des jeunes. N’hésitez pas et participez avec nous : pour avoir un avenir, il nous faudra lutter! Contactez nous! (02/345.61.81)
EUX – MAQUILLAGE CONTRE CHÔMAGE
Deux communes du nord des Pays-Bas ont mis en place un plan destiné à relooker les chômeuses pour les aider à trouver un mari riche qui les dispenserait de devoir toucher les allocations de chômage! Difficile de trouver plus absurde comme méthode de lutte contre le chômage. On doit aussi dénoncer le caractère extrêmement sexiste de cette mesure qui considère que les femmes ne sont pas beaucoup plus que de jolis objets à vendre.
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Derrière les mots, la ‘‘période d’expérience au travail’’ consiste à forcer un jeune à accepter un stage en entreprise, qu’il ne peut refuser, tout comme il serait obligé d’accepter une offre d’emploi dans cette entreprise après le stage. En guise de ‘‘salaire’’ le jeune recevrait une allocation d’attente considérée comme subside à l’emploi. Expliqué plus brutalement, il s’agit d’aller puiser dans les caisses de la collectivité (c’est-à-dire notre argent, celui de nos impôts) pour que des patrons puissent bénéficier de travailleurs quasigratuits, forcés d’accepter n’importe quelle condition.
Ça ne reste qu’une proposition en l’air nous direz-vous. Mais Joëlle Milquet, la ministre de l’emploi du précédent gouvernement, a suivi exactement la même logique avec l’application de son plan win-win (2) : payer des salaires de misère avec l’argent des caisses de l’Etat.
Les diminutions de charges et autres cadeaux aux entreprises ont permis de donner plus d’argent aux patrons tout en laissant ces derniers libres de presser un travailleur comme un citron pour le jeter ensuite quand il n’y a plus assez de ‘‘subside à l’emploi”” pour le soutenir. Cette somme gigantesque, plusieurs milliards d’euros par an, aurait pu être consacrée au développement des services publics, en engageant des travailleurs avec de bons statuts. Il y aurait ainsi moins de chômage, et plus de service à la population. Pas mal hein ? Attendez, parce qu’il y a moyen d’aller encore plus loin.
UN CHOIX DE SOCIÉTÉ
Partout en Europe, les gouvernements regardent les pensions le couteau entre les dents. On parle partout d’élever l’âge d’accès à la retraite. En France, on estime que le projet du gouvernement Sarkozy de repousser l’âge de départ à la retraite représente l’équivalent d’un million d’emplois de jeunes… En Espagne, le gouvernement (dirigé par l’équivalent local du PS) aimerait bien faire pareil, dans un pays où 40% des moins de 25 ans sont au chômage !
Toujours selon Philippe Defeyt, ‘‘le chômage n’a jamais été aussi élevé, il augmente de manière tendancielle, depuis 30 ans, il touche aujourd’hui, quasiment 15% de la population active (…) comment peut-on vivre dans une société, quand de manière aussi structurelle et durable, il n’y a pas assez d’emplois pour tout le monde ? Il est peut-être temps de voir s’il n’est pas possible de s’organiser autrement, sur le plan économique et sur le plan social.”
Pour le PSL, la solution est simple : partager le temps de travail disponible en fonction des forces disponibles. Aujourd’hui, chaque avancée technologique met plus de gens à la rue, alors que cela devrait permettre d’avoir plus de temps à consacrer pour soi et pour la société. Concrètement, le PSL revendique les 32 heures de travail par semaine, avec embauches compensatoires et sans perte de salaire. L’argent existe! Vous vous souvenez des banques qui ont été sauvées à coups de milliards par la collectivité ? Et bien les quatre banques belges ont réalisé ensemble un bénéfice de 1 milliard d’euros uniquement au cours du premier trimestre 2010. Si le secteur financier était placé sous contrôle démocratique des travailleurs et non pas sous celui de requins capitalistes, ces moyens n’iraient pas finir dans les poches de parasites actionnaires et spéculateurs, mais seraient investis pour les besoins de la société.
On est loin d’entendre de telles choses de la bouche des partis traditionnels, et c’est normal. Pour le PS, le MR, Ecolo ou le CDH, ce sont les patrons qui créent la richesse. Pour nous, ce sont les travailleurs : le patron a besoin des travailleurs, les travailleurs n’ont pas besoin de patron.
C’est pourquoi nous luttons contre le capitalisme, pour une société où les richesses extraordinaires dont dispose notre monde seraient consacrées à la satisfaction des besoins de chacun dans le respect de notre environnement. C’est ce que nous appelons une société socialiste démocratique.
- Stage d’attente : période comprise entre la demande d’allocations de chômage et le premier versement, généralement de 9 mois
- Plan win-win : mesure entrée en vigueur le premier janvier et faisant bénéficier les patrons de diminutions de taxes énormes pour un jeune de moins de 26 ans. Dans certains cas, les patrons n’ont même plus rien à payer à l’Etat.
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La droite se remaquille avant les élections
Lors de ce premier mai, on a pu entendre l’ensemble des formations politiques traditionnelles. Élection obligent, les politiciens se sont drapé de leur plus beaux costumes pour vendre leur programme… avec une constante : « l’effet Obama ».
Par Alain (Namur)
Il s’agit de changer le système «socialiste» en Wallonie ou, variante, sortir la Wallonie du système «soviétique», pour les ténors du Mouvement Réformateurs. Le CDH est plus clair encore : nous avons besoin d’une révolution humaniste, parce que, soi- disant, le socialisme et le libéralisme sont des idéologies matérialistes du 19e siècle. Le président Obama a durant toute sa campagne axé son message sur le changement. Face à une administration Bush en pleine décrépitude, sa campagne a fait écho au niveau des USA mais, de manière plus large, aussi partout dans le monde. Pour l’instant, le bilan en termes de changement est assez décevant de la part d’Obama. Mis à part les effets d’annonces et le style (Bo Obama est certes très mignon), Obama reste un défenseur de l’impérialisme Américain.
Il est assez affligeant de constater que des personnalités politique de premier plan s’illustrent par leur ignorance. Madame Milquet devrait peut-être ouvrir son dictionnaire et aller chercher la définition de matérialisme dans son sens philosophique. Et enfin, quand Louis Michel parle «d’enfant honteux du marxisme en parlant du PS», il devrait lui aussi peut être se renseigner sur ce qu’est le marxisme exactement (voir aussi : Le MR peut se rassurer, le PS n’est pas marxiste…). De plus, il devrait savoir que sa formation politique à gouverner depuis 1999 avec ses enfants honteux alors lorsqu’il aura bu le calice jusqu’à la lie…
La situation économique se dégrade de jour en jour. Face à ce constat, tous les politiciens veulent nous faire oublier que ce sont eux-mêmes, ou leurs prédécesseurs, qui nous ont amené là où nous en sommes. Madame Milquet dont la famille politique est la démocratie chrétienne a déclarer que son parti n’avait que 6 ans… C’est tenter de nous faire oublier que l’ancien PSC est responsable de plusieurs attaques contre nos emplois et nos conditions de vie.
La palme de la mauvaise foi revient cependant au MR. Face aux socialistes qui hurlent, mais pas trop, contre la crise libérale (ce qui soi en passant leur permet de ne pas parler de crise généralisée du capitalisme), le MR dit ne jamais avoir défendu le capitalisme débridé et propose le libéralisme comme modèle de sortie de crise pour l’Europe. C’est à mourir de rire ! Sans entrer dans des considérations philosophiques sur le lien entre libéralisme et capitalisme, je vous invite à faire un tour sur le site du MR (qui l’eu cru, un marxiste consulte le site du MR…). Sur ce site, on peut trouver un lien vers l’institut Jean Gol. Voilà la présentation des mots même des concepteurs du site : «vous pénétrez ici dans l’antre du libéralisme francophone belge…ce centre est pour ainsi dire l’âme du mouvement réformateur…»
En mordant sur sa chique on entre dans le site et que peut on trouver à la rubrique galerie des textes libéraux, on trouve des penseurs tels que John Stuart Mill, Frederich August Von Hayek, Milton Friedman,…
Peut être ces noms ne vous disent rien. Je vous le donne en mille pour les deux derniers, ce sont les pères de ce qu’on a appelé le néolibéralisme ou l’ultralibéralisme. Ce sont les concepteurs théoriques du «capitalisme débridé». Rien de moins, ils n’ont pas hésité à soutenir Pinochet qui s’est fait connaître comme un grand défenseur du libre marché au détriment de la démocratie tant chérie par nos libéraux. Il n’y a rien de social dans leur libéralisme, juste les liens froids et durs de la surexploitation pour de dégager le maximum de profits.
La période qui suit les élections risque fort bien d’être douloureuse pour la classe ouvrière. En effet, la dette publique passerait, selon les prévisions de l’Union Européenne, au dessus des 100% du PNB. Il va sans dire que en dignes héritiers les partis de droites (MR et CDH) accompagné par les sociaux libéraux de la gauche officielle (Ecolo et PS) iront rétablir leur budget au bénéfice des patrons sur le dos de notre classe. Et oui madame Milquet, la lutte des classes, ça existe encore au 21e siècle, tout comme la misère, la guerre et l’exploitation…
Si vous aussi voulez lutter pour ne pas payer la crise de ce système, rejoignez les rangs du Parti Socialiste de Lutte.