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Tag: Anja Deschoemacker
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Demande d’interpellation pour le Conseil Communal de Saint-Gilles du 31 mai 2012
Anja Deschoemacker, 14 rue Fernand Bernier, 1060 Saint-Gilles
Objet : politique de la Commune de Saint-Gilles vis-à-vis des prix élevés de la distribution de gaz et d’électricité de l’intercommunale Sibelga
Monsieur Charles Picqué, bourgmestre empêché,
Madame Cathy Marcus, bourgmestre faisant fonction,
J’introduis par la présente une demande d’interpellation pour le Conseil Communal de Saint-Gilles du 31 mai 2012.
Les dernières semaines, la discussion sur les prix du gaz et de l’électricité qui sont pour les ménages plus élevés que dans les pays voisins a été constamment présente dans les médias. Il y a bien sûr le débat sur les prix des fournisseurs d’énergie, mais il y a aussi la discussion sur l’ampleur des « tarifs de distribution ». Selon le rapport du CREG de janvier 2012, ces tarifs de distribution s’élèvent entre 30% à 40% de la facture totale, un pourcentage particulièrement élevé par rapport aux pays voisins. Pour les 19 communes bruxelloises, SIBELGA est responsable pour la distribution de l’électricité et du gaz. Ce distributeur est pour 70% dans les mains des 19 communes de la Région. Ainsi, les communes portent la grande part de responsabilité pour les prix élevés de la distribution de l’énergie. Les communes bénéficient de plusieurs types de revenus sur base de cette distribution : il s’agit des « obligations service publique », « redevances de voirie » et des dividendes. Si nous regardons l’évolution de ces revenus sur la période 2007-2010, nous pouvons constater une forte augmentation. Aussi, dans les budgets de la commune de Saint-Gilles, nous retrouvons cette augmentation : les revenus sur base de « l’électricité » et « gaz » montent fortement dans la période 2008-2012. En 2008, ces revenus s’élevaient encore à 2,6 millions €, en 2011 et 2012 un montant de 5,3 millions € est prévu dans le budget, plus qu’un doublement. La forte augmentation de ces frais est très asociale, un impôt qui touche le plus fortement les familles les moins aisées.
La commune de Saint-Gilles pourrait prendre l’initiative de s’opposer à ces prix élevés des tarifs de distribution (dividendes, redevances de voirie et obligations service publique), à travers ces mandataires politiques siégeant à SIBELGA et INTERFIN, et en appelant publiquement l’ensemble des communes de la Région de Bruxelles Capitale à diminuer les coûts pour les ménages. Le coût de la crise devrait être payé par les 1% : les banques, spéculateurs, multinationales et les super-riches qui ont causé cette crise, et pas par les 99% de la population.
C’est pourquoi je vous pose les questions suivantes :
- Pourquoi les revenus du gaz et de l’électricité ont tellement augmenté entre 2008 et 2012, et pourquoi la commune ne s’y est pas opposée via sa représentante qui siège au conseil d’administration de SIBELGA et d’INTERFIN ?
- Ces augmentations sont quasiment égales aux pertes de revenus que la commune a subi suite au fiasco de Dexia et du Holding Communal, perte qui s’élève à 2,5 millions € par an. Les habitants de la commune de Saint-Gilles paient-ils de façon indirecte, à travers leur facture d’énergie, le prix pour les spéculateurs de Dexia ? La commune est-elle prête à abandonner le remboursement du prêt contracté chez Dexia pour la recapitalisation de Dexia de 500.000€/an jusqu’en 2019 ?
- La commune de Saint-Gilles est-elle prête à diminuer fortement ces revenus sur base de la facture d’énergie, défendre cette position au sein de SIBELGA et d’INTERFIN, et de demander aux autres communes de la région de faire la même chose ?
- Est-ce que le conseil communal est d’accord que le refinancement des communes doit être payé par les 1% les plus riches, et non pas par des impôts indirects et asociaux aux ménages ?
D’avance, je vous remercie pour l’attention que vous donnerez à cette demande d’interpellation.
Anja Deschoemacker Fait à Bruxelles le 25 mai 2012
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L'austérité précarise les femmes
L’AUSTÉRITÉ PRÉCARISE LES FEMMES
- DÉFENDONS LE DROIT À L’AVORTEMENT !
- DÉFENDONS LE DROIT D’AVOIR DES ENFANTS !
- STOP À L’AUSTÉRITÉ !
“Mon corps, mon choix” – Il y a plus de 20 ans, l’avortement était dépénalisé; une victoire. Pourtant, nous devrons faire face à la troisième Marche « Pro-Vie » pour l’abolition de ce droit fin mars de cette année.
Dépêche régionale de Bruxelles
Anja Deschoemacker, porte-parole du PSL/LSP, avait tenu le discours suivant en tant qu’oratrice lors de la manifestation pour le droit des femmes en mars dernier:”C’est clair que les organisateur de la marche ”pro-vie” essayent de cacher leur nature réactionnaire derrière un discours autour de la pauvreté des femmes, autour des bas salaires.
”Il faut être conscient que la crise menace l’indépendance financière des femmes et menace le droit à avoir des enfants sans tomber dans la pauvreté ou la dépendance. Il faut lutter pour de meilleurs salaires, pour des logements abordables, pour des services qui nous permettent de travailler et avoir des enfants en même temps.
”Il ne faut pas leur laisser l’argument social car dans leur bouche c’est un mensonge. Le PSL défend un vrai choix, et un vrai choix passe par la défense du droit à l’avortement, et non en l’abolissant.
”Le but des organisateurs de la marche «pro-vie» en Belgique est de construire un mouvement anti-avortement, qui comme dans d’autres pays, puisse aller intimider et culpabiliser les femmes qui font un avortement : on ne doit pas leur laisser la place. Il faut se mobiliser pour leur montrer qu’on ne va jamais accepter cela. L’année prochaine, ils seront de nouveau là, et nous devons assurer qu’on est la aussi avec encore beaucoup plus de monde qu’aujourd’hui en cherchant des alliés dans le mouvement syndical, dans les mouvements sociaux, dans le mouvement LGBT,… Pour leur montrer qu’on ne va jamais accepter leurs idées et leur manière d’intimider et de culpabiliser les femmes.”
Manifestation «Abortion Right» 24 mars, 14h Place Poelaert – & Débat avec Anja Deschoemacker (Saint-Gilloise, elle était tête de liste Front des Gauches à Bruxelles en 2010) 26 mars – 19h – Pianofabriek (35, rue du Fort – 1060 St-Gilles)
CONTRE L’AUSTÉRITÉ !
Aujourd’hui, le PS est à la tête de tous les gouvernements qui mènent une politique d’austérité pour éponger les dettes des banques en faisant payer leur crise aux travailleurs et leur famille. Ces mesures asociales vont particulièrement toucher les femmes et rendra difficile de faire un choix véritablement libre.
Le gouvernement Di Rupo prévoit pas moins de 2,3 milliards d’euros d’économie dans les soins de santé. Et pourtant, aujourd’hui déjà, beaucoup de besoins médicaux restent sans réponse.
POUR UN RÉEL CHOIX LIBRE
Pour permettre une véritable prévention des grossesses non désirées, la contraception devrait être gratuite et accessible à tous, et non pas coûter plus cher qu’un avortement.
Avec les assainissements dans l’enseignement, la pénurie est telle que des enfants se retrouve sans école. Nous avons besoin de plus de moyens pour l’enseignement, davantage d’enseignants, des classes plus petites, où l’éducation sexuelle peut être donnée d’une manière sérieuse et pas laissée dans les mains de la télévision et d’internet.
Nous n’avons pas besoin d’assainissements dans les services publics mais plutôt de l’élargissement de différents types de soins et de services qui permettent aux femmes de combiner famille, travail et loisirs.
Il faut également en finir avec les bas salaires et les contrats précaires auxquels beaucoup de femmes font face. Le marché du travail ultra-flexible, qui n’existe que pour la maximisation des profits, doit être combattu. Nous avons besoin d’emplois décents avec des salaires décents et des horaires fixes et raisonnables.
Les coûts élevés du logement, de l’électricité et du chauffage limitent aussi le choix libre des personnes. Le secteur de l’énergie doit être aux mains du public est non pas soumis à l’avidité des grands actionnaires d’Electrabel.
Le fait que des milliers de personnes soient sur les listes d’attente pour des logements sociaux, que des milliers de personnes paient un loyer trop élevé pour un logement de mauvaise qualité,… démontrent qu’un plan massif de construction de logements sociaux est absolument nécessaire.
ORGANISONS-NOUS !
Aucun parti politique traditionnel ne représente les intérêts de la grande majorité de la population. Ils défendent les profits des patrons et des grands actionnaires en attaquant nos conditions de vie avec une avalanche d’austérité.
Nous avons besoins de nos propres représentants politiques. Nous avons besoin d’un système qui répond, non pas aux profits d’une minorité mais aux besoins de la majorité, un système socialiste.
Nouvelles hausses des tarifs du transport public : La STIB économise encore une fois sur notre dos !
- +4,5% en moyenne, des titres de transport à bord à 2,50€ !
- Disparition des abonnements – de 25 ans = +11€ par mois pour 8000 jeunes !
- Augmentation des tarifs sociaux !
Au total, ce sont plus de 8 millions d’euros qu’ils vont aller chercher dans la poche des usagers. Dans le même temps, le gouvernement de Charles Picqué a opéré pour 46 millions d’euros de coupes budgétaires pour les transports publics à Bruxelles et a dépensé pour quelques 43 millions d’euros dans les portiques.
Les usagers subissent des hausses de tarifs incessantes et une dégradation du service. Les conditions de travail du personnel sont également mises à mal: les coupes comportent des attaques salariales à hauteur de 5,5 millions d’euros. Les usagers et les travailleurs de la STIB doivent s’unir dans un plan d’action commun pour la défense des transports publics.
C’est la raison pour laquelle le PSL-LSP a tenu une action de protestation au Parvis de Saint- Gilles le mercredi 1er février dernier, jour de l’entrée en vigueur des nouveaux tarifs. Nous défendons des transports publics gratuits et de qualité afin d’également résoudre les problèmes d’embouteillage et de pollution.
La déclaration du gouvernement régional de 2009 évoquait la volonté d’aller vers la gratuité. Aujourd’hui, on voit à quoi correspondent leurs promesses préélectorales ! Ainsi le gouvernement Picqué a trouvé une autre manière de faire passer la facture de la crise et de la dette sur la majorité des gens.
La même politique d’austérité sera également menée dans les communes, probablement après les élections d’octobre prochain. Nous invitons les électeurs à se souvenir alors de la valeur des promesses des partis établis et de se soutenir la campagne des socialistes authentiques.
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Réforme d’état : Pour améliorer nos conditions de vie ou pour les détruire ?
Quatre ans déjà que la Belgique est dans les griffes d’une bagarre communautaire, rien d’autre ne semble encore avoir d’importance pour nos politiciens. Pour les grandes entreprises, les banques et les riches, ce n’est pas un problème : leurs revenus montent, leurs intérêts sont défendus, ils continuent à s’enrichir avec les cadeaux structurels qu’ils ont reçu des politiciens bourgeois dans le passé, entre autres, l’opération de sauvetage des banques, les intérêts notionnels, la baisse des contributions patronales à la sécurité sociale, les diminutions d’impôts pour les plus hauts revenus…
Tract régional du PSL-Bruxelles
DEBAT et barbecue ce 22 mai, avec Anja Deschoemacker, auteur du livre: "La question nationale en Belgique – une réponse des travailleurs est nécessaire." Habitant à Saint-Gilles, elle a été tête de liste de la liste bilingue du Front des Gauches à Bruxelles-Halle-Vilvorde lors des élections de 2010. (Informations ci-dessous)
Pour la grande majorité de la population bruxelloise, il y a cependant un problème, un très grand problème, même. Un chômage et une pauvreté énorme et toujours grandissante, un manque de logements abordables, un manque de places dans les écoles…. Mais face à chaque revendication pour une augmentation des salaires et des allocations sociales, pour plus d’investissements dans la construction de logements sociaux, pour assez de moyens pour les services… le gouvernement en affaires courantes répond par un « cela tombe en dehors de nos compétences ». Imposer aux travailleurs pour les deux années qui viennent une augmentation salariale de maximum 0,3%, ça, le gouvernement sait le faire. Par contre, imposer aux banques et aux grandes entreprises rentables – qui ont vu l’année passée leurs profits monter de plus que 33% – qu’ils payent ne fusse qu’une partie de la facture de la crise qu’ils ont causée eux-mêmes, en revanche, ça, ce n’est pas possible !
Et ce qui est la politique dominante au plan fédéral, l’est aussi sur le plan régional. Le personnel des services régionaux bruxellois, comme des services communaux, ne se fait qu’à peine encore nommer. Plus de la moitié sont des contractuels, qui n’ont pas de sécurité de travail et qui ne peuvent pas s’attendre à une pension convenable. Malgré cette utilisation de forces de travail très bon marché, la région et les communes réussissent quand même à avoir un manque de personnel partout.
Il y a un manque dans tous les équipements et services sociaux mais la réforme d’état qui se prépare n’a pas pour but d’en finir avec ces pénuries. Bien au contraire. La réforme d’état – comme elle se négocie entre les partis dominants dans les deux parties du pays – a pour objectif explicite d’augmenter l’austérité. Les discussions sur la loi de financement ne parlent pas de la création d’assez de moyens pour une politique sociale, mais d’où les coupes budgétaires vont se faire. Si le gouvernement fédéral reçoit moins de moyens, cela va surtout se faire dans la sécurité sociale. Si les communautés reçoivent moins de moyens – ou plus de compétences sans le budget entier – cela va surtout se faire dans l’enseignement. Si ce sont les régions qui reçoivent moins de moyens, ce sont surtout aux fonctionnaires régionaux que l’on va imposer des coupes. Parce qu’aucun parti, même pas ceux de la coalition Olivier soi-disant de gauche, n’est prêt à chercher plus de moyens chez la petite minorité super riche qui domine la société.
Au lieu de ça, une politique de « diviser pour mieux régner » est déployée. La situation dans l’enseignement bruxellois en est un exemple très clair. Dans les années qui viennent, il faut créer 15.000 places supplémentaires dans l’enseignement à Bruxelles, mais les deux Communautés se disputent à propos de qui doit payer. Et ce sont les enfants bruxellois de toutes les communautés qui vont en subir les conséquences ! Cela montre comment un manque de moyens mène à la discrimination et à la négation du droit démocratique de chaque enfant à pouvoir avoir un enseignement de qualité.
La clé de la solution réside dans l’augmentation des moyens pour garantir la démocratie et pour en finir avec toute discrimination. Le PSL veut que les besoins des travailleurs et des pauvres soient garantis par une augmentation des salaires et des allocations, par les services publics gratuits et de qualité, par assez de logements sociaux – qu’importe la langue ou l’origine nationale. Ni sur le plan fédéral, ni sur le plan régional nous ne pouvons compter pour cela sur un système basé sur la course aux profits. Pour atteindre nos revendications, il ne faut pas une réforme d’état, mais un changement de système. Il n’ y a que dans une Belgique socialiste (ou une fédération de régions socialistes et indépendantes) que nous pouvons arriver à un accord sur la manière de mieux partager entre nous les moyens sans qu’on ne nous appauvrisse tous.
Pas de crise pour les patrons du Bel 20 !
- 16,357 Milliards € de profits en 2010 (33,1 % de + qu’en 2009 !)
- Augmentation des salaires et des bonus de + 20%
Pour eux, les cadeaux :
- sauvetage des banques : 22 Milliards € + 79 Milliards € de garantie. (Après l’Irlande, la Belgique est le pays qui a dépensé le plus par habitant pour sauver les banques !)
- intérets notionnels : 5,7 Milliards € en 2009
- baisse des cotisations patronales : près de 9 Milliards € en 2010
- avantages extra-légaux pour les hauts revenus : 10 Milliards €
- fraude fiscale : entre 16 et 20 Milliards € pour 2009
Et pour nous ?
- Nos salaires selon l’AIP du gouvernement : + 0% en 2011 et + 0,3% en 2012
- 20,8 % de chômage à Bruxelles (31,7 % pour les – de 25 ans), soit +129 % en 20 ans.
- Plus d’un Bruxellois sur quatre survit sous le seuil de risque de pauvreté
- En moyenne, une famille bruxelloise consacre plus de 30% de son budget pour le logement. (Plus de la moitié de la population a droit à un logement social mais à peine 8% des habitants voient ce droit satisfait).
Soirée débat et barbecue
Dimanche 22 mai, 61 rue de la victoire, Saint-Gilles
17h : début du BBQ
19h : début du débat : "Réforme d’Etat : pour améliorer nos conditions de vie ou pour les détruire?"
Tarifs pour le BBQ (l’entrée au débat est libre) : non-salariés : 7 € en prévente / 9 € sur place // Salariés : 10 € en prévente / 12 € sur place.
Prenez contact avec nous via: bxl@socialisme.be – 02/345.61.81 ou 0485/64.34.32
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Protestation contre la prétendue ‘‘Marche pour la Vie’’
Hier, quelques centaines de personnes – femmes, hommes et enfants – se sont réunis sur la Place d’Espagne à Bruxelles pour y faire entendre leur protestation contre la ‘‘Marche pour la Vie’’ qui se tenait au même moment et où, tout comme l’an dernier, on pouvait trouver aussi bien l’Archevêque Léonard que des militants de toutes sortes d’organisations de l’extrême-droite. Le PSL était présent avec une vingtaine de militants.
L’atmosphère était combative et, parmi les participants, la discussion était vive au sujet de la manière de réagir contre ces tentatives de construire une opposition à la loi sur l’avortement. Nous avons mis en avant que nous ne pouvons en aucun cas laisser l’argument social de la plus grande pauvreté des femmes dans notre société aux opposants de l’interruption volontaire de grossesse (de nombreuses femmes décidant d’avorter faute de moyens pour élever un enfant).
Ceux qui défendent le droit de choisir ne doivent pas se limiter à la défense du droit à l’avortement, mais doivent également défendre le droit d’avoir des enfants sans que les mères (et avec elles leurs enfants) ne risquent de sombrer dans la pauvreté ou la dépendance du conjoint. Nous avons aussi défendu la nécessité de construire une campagne en allant rechercher le soutien de nos alliés naturels dans le mouvement syndical, les mouvements sociaux, le mouvement de défense des droits des femmes et des LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels),… C’était d’ailleurs l’essentiel du de la prise de parole d’Anja Deschoemacker, porte-parole du PSL et responsable de sa commission femmes, durant la tribune libre.
Les militants du PSL ont tenu un stand très fréquenté, où nous avons vendu 25 exemplaires de notre mensuel Lutte Socialiste / Linkse Socialist, avec en supplément un dossier sur l’avortement déjà publié sur ce site. Nous avons encore vendu des badges avec le message ‘‘Avortement : un droit !’’
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[PHOTOS] Défendons le droit des femmes à disposer librement de leur corps ! (2)
Hier, une seconde ‘‘Marche pour la Vie’’ contre le droit à l’avortement a été organisée en Belgique, un rendez-vous international de réactionnaires où se côtoyaient l’Archevêque Léonard (pour qui le SIDA serait une "justice immanente" et l’homosexualité "anormale"…) et des membres du groupuscule d’extrême-droite "Nation". Une contre-action avait été lancée à l’initiative de la Fédération laïque des centres de planning familial (FLCPF), un "Rassemblement festif et familial" qui a réuni quelques centaines de personnes et où le PSL était présent. Notre camarade Anja Deschoemacker a notamment pu prendre la parole. Construisons le mouvement de défense du droit des femmes à disposer librement de leur corps !
Par Pablo V. (Bruxelles)