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Tag: Belga
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Une presse libre et indépendante ? Nous avons besoin de nos propres médias !
On tente de nous faire croire que la presse diffuse les informations le plus objectivement possible. Cette ‘‘objectivité’’ mérite d’être interrogée. La liste des exemples est longue, mais la grève générale du 30 janvier est un des plus beaux exemples du parti pris de nos médias. Une grève ‘‘inutile’’, qui nous enfoncerait même dans la crise, du fait de travailleurs irresponsables face à ce chaos économique, allant même jusqu’à creuser la tombe de notre sainte patrie !
Par Daphné (Liège)
Encore plus honteux, dans la rubrique ‘‘les tabous des belges’’ paru dans le soir du 6 février, on a pu trouver une propagande digne de la droite militante. ‘‘Les chômeurs sont des profiteurs’’ : la suite des propos sont à cette image : durs, honteux, percutants. Les chômeurs y sont catégorisés : le chômeur bobo, l’arnaqueur professionnel,… Et pour illustrer ce dossier : une caricature d’un chômeur au teint fortement basané dans sa Rolls Royce, cigare au bec, casquette d’ouvrier, revenant de l’Onem et se payant des vacances au Farniente. C’est tout simplement une attaque honteuse et xénophobe qui vise à nous diviser. Ils y avancent des chiffres abracadabrants, un ménage de chômeur gagnerait en moyenne 2500 euros par mois ! Rien que pour l’année 2010, les fraudeurs auraient allégé les caisses sociales de… 100 millions d’euros ! Imaginons même que ces chiffres soient corrects, ils font pâle figure à côté de la fraude fiscale, estimée… entre 16 et 30 milliards d’euros par an ! Pas de dossier à ce sujet dans les pages du Soir…
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Fin de l’année 2011, l’agence Belga a licencié 9 membres de son personnel, au moment où on apprenait que SudPresse (La Meuse, La Capitale,… et dépendant du groupe Rossel) devait subir une importante restructuration (35 emplois sont menacés). Peu de temps après, Le Soir (qui dépend également du groupe Rossel) annonçait qu’il se séparait de plusieurs journalistes. Conclusion : toujours autant d’articles à produire avec moins de personnel, soit une pression de travail accrue, moins de temps pour analyser l’information,… mais aussi la menace implicite de licenciements. Ce climat est-il propice à la diffusion d’une information de qualité ?
Au sein des conseils d’administration des grands médias ‘‘indépendants’’ belges siègent des personnes liées aux plus grands groupes industriels et financiers du pays. On devrait donc se dire qu’il est ‘‘normal’’ que ceux-ci soient moins objectifs que nos médias publics. Mais il faut savoir que nos médias publics sont eux-mêmes dirigés par les partis qui appliquent la politique néolibérale. La RTBF, par exemple, a dans son conseil d’administration cinq administrateurs PS, deux administrateurs CDH, deux administrateurs Ecolo et quatre administrateurs MR. Bref, de tous côtés, nous sommes cernés par un monopole néolibéral sur l’information.
Fasse à ce contrôle pro-patronal de l’information, le mouvement des travailleurs a besoin de ses propres médias. C’est dans ce cadre que nous disposons nous-mêmes de nos sites internet et de ce mensuel, entièrement financés par l’argent que nous collectons dans la rue et auprès de nos membres et sympathisants. Nous aussi nous sommes financièrement dépendants de ceux que nous défendons, et ce ne sont pas les patrons ! N’hésitez pas à nous soutenir en vous abonnant vous aussi !
“Les médias relaient les discours du pouvoir”
Geoffrey Geuens est chargé de cours en communication à l’Université de Liège. Pour lui, les médias “ne sont pas indépendants”, notamment en raison du capital des entreprises de presse et de la disposition des élites médiatiques à relayer le discours du pouvoir. Morceaux choisis d’une interview accordée au Soir :
‘‘Affirmer que la presse est dirigée par des personnalités qui n’ont d’intérêts que dans ce secteur, c’est le contraire de la vérité. La plupart de ces familles sont aussi dans les plus grandes fortunes du pays. (…) La presse se présente comme un contre-pouvoir, mais elle joue plutôt le rôle d’attaché de communication du gouvernement en cette période de crise. Ce n’est pas un complot, c’est une proximité idéologique.’’
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‘‘Inutile’’ et ‘‘irresponsable’’, voilà comment la presse traditionnelle a qualifi é la grève générale du 30 janvier contre l’austérité du gouvernement Di Rupo 1er. Neutres nos médias ? Ils relayent systématiquement la propagande favorable à la casse sociale au nom de ‘‘l’intérêt général’’ et défendent les privilèges des patrons et actionnaires en s’attaquant frontalement aux ‘‘grévistes preneurs d’otages’’. Quant à la voix des grévistes concernant les raisons de leurs ripostes et leurs arguments, elle est soit ignorée, soit déformée, soit noyée sous les commentaires arrogants des défenseurs de l’establishment.
- Formulaire en version PDF
Quant à l’actualité internationale, elle n’est couverte que pour tenter d’en masquer le contenu de classe. Parfois, de grandes luttes sont tout simplement ignorées, comme avec le silence complice de la presse belge concernant le récent massacre de grévistes du secteur pétrolier au Kazakhstan (on évoque jusqu’à 200 victimes). De rares sites d’informations avaient relayé le communiqué de l’agence Belga unilatéralement basé sur le communiqué offi ciel du régime qui parlait de 17 ‘‘vandales’’ tués…
Les grands groupes de presse diffusent le poison de l’idéologie dominante, celle de la classe dominante, celle de l’idéologie capitaliste. Ce constat, de plus en plus de travailleurs et de jeunes le tirent également. Partout dans le monde, il existe des médias réellement indépendants de la classe dominante qui tentent de diffuser une information vue du côté des exploités. En Grèce, un journal occupé par les travailleurs en lutte est ressorti, sous la direction des travailleurs, et est instantanément devenu le plus gros tirage du pays !
C’est dans cette optique que se placent le mensuel Lutte Socialiste et le site socialisme.be, tout comme les autres publications du Comité pour une Internationale Ouvrière à travers le monde : servir de portevoix pour les luttes tout en livrant arguments et analyses destinées à construire le meilleur rapport de force pour renverser le système capitaliste. Pour ce faire, nous ne disposons pas de gros sponsors, mais du soutien enthousiaste de nos lecteurs et sympathisants. Aidez-nous à faire vivre cette presse alternative et authentiquement socialiste !
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Chaque année, à l’occasion du 1er mai, fête des travailleurs, vous avez la possibilité de nous aider en présentant vos voeux, vos encouragements, vos messages de lutte ou en faisant éventuellement connaitre votre commerce, club ou association dans l’édition de Lutte Socialiste du mois de mai. Placez un message de voeu de mai dans notre journal ! Envoyez votre message/logo à redaction@socialisme.be avant le 15 avril.
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Bruxelles : Action de solidarité avec les sans-papiers
Ce mercredi 21 mars, à 15h, a eu lieu une action de soutien pour les 23 sans papiers et grévistes de la faim occupant un bâtiment de la VUB (Vrije Universiteit Brussel). Après 68 jours de grève, la détresse morale et physique des sans papiers ainsi que l’absence totale d’une prise en compte de leur situation par le gouvernement ont conduit différents groupes de soutien et d’étudiants à organiser une action et à revendiquer leur régularisation devant les locaux de la secrétaire d’Etat à l’asile et l’immigration, Maggie De Block.
Par Cécile (Bruxelles)
- Manifestation : ”Vottem : 13 ans déjà, je ne l’accepte pas !"
- Crise des réfugiés – C’est aux multinationales qu’il faut s’en prendre, pas à leurs victimes
- La crise des réfugiés, la honte de ce système malade
- Politique d’asile ? La vraie solution, c’est de s’en prendre aux vrais profiteurs !
Une soixantaine de personnes étaient ainsi rassemblées cet après-midi là pour s’élever contre l’inaction du gouvernement. La rencontre d’une délégation avec la porte-parole de De Block s’est soldée par un échec, celle-ci refusant de prendre ses responsabilités : "Nous les avons écoutés, mais nous avons également rappelé que nous ne céderions pas à un moyen de pression, comme celui de la grève de la faim", a-t-elle déclaré à l’agence de presse Belga.
L’action s’est terminée par une répression policière particulièrement offensive. Des dizaines d’activistes ont en effet été arrêtés après avoir jeté des œufs sur la façade du cabinet, et n’ont été relâchés que bien plus tard dans la soirée. Cette répression d’un mouvement de solidarité est une intimidation de plus visant à faire taire les jeunes et les travailleurs qui luttent pour de meilleures conditions de vie, de travail ou d’étude.
Alors que les sans-papiers n’ont que leur corps pour se faire entendre, alors que se répètent, inlassablement, les grèves de la faim comme dernière chance pour les sans papiers d’espérer être régularisés, il est plus que nécessaire, aujourd’hui, de rassembler toutes ces luttes isolées dans un combat politique commun qui ne mettent pas en danger les sans papiers.
Les sans-papiers sont particulièrement victimes de l’exploitation du capitalisme et de l’hypocrisie des partis traditionnels. L’immigration est utilisée pour faire pression à la baisse sur les salaires et pour grossir l’armée de réserve de travailleurs bon marché. Cependant, bien que nécessaire, la régularisation des sans-papiers ne mettra pas fin à l’exploitation des travailleurs sous le capitalisme. Avec ou sans papiers, nous sommes tous des travailleurs, luttons tous ensemble pour la régularisation et contre l’exploitation.
Au lieu de diviser les luttes, unissons-les dans une lutte commune pour une rupture avec le capitalisme !
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En Bref…
Cette rubrique est destinée à mettre en avant différents faits, citations, vidéos ou petites nouvelles particulièrement frappantes. Aujourd’hui, il est entre autres question de la couverture honteuse de la grève du 22 décembre dernier par la presse francophone, ou encore de l’imact des mesures projetées par le gouvernement Di Rupo premier… qui doit encore trouver jusqu’à deux milliards de mesures d’austérité d’ici lundi selon la Commission européenne !
"Grève en Belgique : Haro sur les grévistes et les syndicats"
Que les médias traditionnels ne sont pas objectifs et défendent un camp bien précis sous des allures de "neutralité", nous en sommes bien conscients. Les dernières mobilisations syndicales ont d’ailleurs suscité des réactions quasiment hystériques dans les médias. Le site français Acrimed (Action-Critique-Médias) a publié un très bon article qui passe en revue la couverture de ces mobilisations syndicales par la presse belge francophone. Le résultat est des plus édifiants… Nous vous invitons à en prendre connaissance, et espérons que cela vous convaincra, si ce n’est déjà fait, à soutenir la presse alternative et clairement du côté des travailleurs, en prenant par exemple un abonnement à notre mensuel, Lutte Socialiste.
L’Europe réclame 1,2 à 2 milliards d’efforts supplémentaires avant lundi
Selon l’agence de presse Belga, le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn exige que de 1,2 à 2 milliards d’austérité supplémentaires d’ici lundi matin concernant le budget 2012 du gouvernement Di Rupo 1er. Les services de la Commission estiment que le budget 2012 présenté par la Belgique n’aboutit pas à un déficit de 2,8% du Produit intérieur brut (PIB) comme présenté par l’équipe Di Rupo, mais bien de 3,25%, soit au-delà des 3% exigés. Comme nous l’avons déjà dit, c’est une avalanche d’austérité qui nous attend, les mesures dévoilées jusqu’à présent ne sont que les premières d’une longue liste ! Il est plus facile de stopper une avalanche d’austérité à ses débuts : il faut organiser et préparer sérieusement la grève générale annoncée pour le 30 janvier, privé et public confondus.
Le capitalisme nuit gravement à notre planète
Il a beaucoup été question du réchauffement climatique ces derniers temps, pour commenter les catastrophes naturelles de 2011 et celles qui se préparent pour cette année. Dans l’édition du Soir de ce vendredi, on a notamment pu lire le commentaire suivant de Jean-pascal Van Ypesele, vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) : "On peut réduire à zéro les émissions de gaz à effet de serre. D’abord empêcher que le CO2 se répande dans l’atmosphère : c’est techniquement possible, et ça prendra un rôle important dans les décennies qui viennent. Et puis il y a l’immense potentiel des énergies renouvlables, bien supérieur aux quantités d’énergie qui peuvent être consommées dans le monde dans les 50 ans qui viennent. S’il n’y avait pas de solution, ce serait déprimant. Mais seule la volonté politique de mettre en oeuvre les techniques adéquates manque." Le problème, c’est que la volonté politique des partis au pouvoir est toute entière aux ordres de la dictature des marchés. Renverser cette dictature, c’est lutter pour renverser le capitalisme et placer le contrôle des secteurs-clés de l’économies dans les mains des travailleurs et de la collectivité dans le cadre d’une économie démocratiquement planifiée, tant pour les intérêts de la population comme pour ceux de notre environnement.
Au moins 50.000 SDF en Belgique
Le nombre de sans domicile fixe a fortement augmenté dans notre pays et il y aurait actuellement pas moins de 50.000 SDF. C’est ce qu’a affirmé l’association flamande “ Dakloze Aktie Komité ” (DAK) dans le quotidien flamand Gazet van Antwerpen. “Cinq mille d’entre elles vivent en rue de manière permanente, environ 500 à Anvers et 2.000 à Bruxelles. Elles sont les plus visibles, mais une grande partie des sans domicile fixe, au moins 45.000 personnes, sont quasi invisibles. Ils vivent de temps en temps chez un ami, un membre de la famille, retournent à la rue ou dans une gare ”, explique cette association, en pointant l’impact négatif de la crise économique. Les jeunes forment le groupe le plus important de nouveaux SDF. Le DAK considère que les solutions capables de résoudre cette crise sont que les pouvoirs publics fournissent davantage de logements sociaux et organisent la diminution des prix de l’immobilier. Hélas, c’est très éloigné des priorités des autorités…
Conséquences concrètes de l’accord politique sur le budget de l’Etat belge
La CSC a réalisé un site internet qui développe concrètement les conséquences des mesures projetées par le gouvernement, à l’aide d’une vingtaine de profils de travailleurs et d’allocataires sociaux pénalisés par les mesures du gouvernement Di Rupo 1er. De quoi furieusement avoir envie de lutter contre ce gouvernement !
L’Internationale socialiste, fière de l’austérité…
On peut lire dans l’édition de janvier 2012 du Monde Diplomatique (n°694) une citation de Martine Aubry, première secrétaire du PS français, extraite de son discours d’ouverture du conseil de l’Internationale Socialiste (le 15 novembre dernier) : " Je veux saluer tout particulièrement notre président Georges Papandréou et le féliciter pour les résultats des élections locales en Grèce. Dans un contexte difficile, c’est un encouragement et un succès qui viennent récompenser un courage politique qui force l’admiration" Il faut savoir que ces élections ont été marquées par un taux d’abstentions de 53%… Et le ”courage politique” qui ”force l’admiration”, c’était le courage de casser les conditions de vie tout un peuple ! Voilà qui en dit long sur l’orientation de l’internationale socialiste. Entretemps, Papandréou a été viré de son poste de premier ministre, et personne dans l’establishment n’a voulu prendre le risque de nouvelles élections: un gouvernement technique aux ordres de la dictature des marchés a été instauré. Quant à Papandréou, son souvenir aura un goût des plus amers pour les travailleurs et leurs familles.
Quand l’état rabaisse son service…pour plaire au privé !
Un des mesures entrées en vigueur ce 1er janvier 2012 est le changement de numéro de l’horloge parlante (qui passe de 1300 à 078051300). Apparemment rien de très intéressant. Mais il est très intéressant par contre de se pencher sur la raison de ce changement. Est-ce suite à un problème technique ? Pour améliorer le service ? Non non, rassurez-vous, c’est pour ne pas ”fausser la concurrence libre” avec les opérateurs privés, comme Belgacom, qui n’ont pas la possibilité de fournir des numéros aussi courts. L’Etat choisit donc, charitablement, de compliquer son numéro ! L’horloge parlante reçoit quotidiennement plus de 5000 appels, mais enfin, ce serait quand même de dommage de ne pas faciliter les choses au privé, non ?
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Massacre au Kazakhstan: Quand l’agence Belga se fait complice du régime
Aujourd’hui, la presse belge reste silencieuse face au massacre perpétré au Kazakhstan par le régime dictatorial de Noursoultan Nazarbaïev. L’agence de presse Belga a toutefois envoyé une dépêche, relayée par Le Vif, qui parle de ‘‘deux policiers blessés’’ et de troubles causés par des… vandales !
Dans cette dépêche – outre les précisions cruciales concernant l’arc de triomphe inauguré par le président-dictateur dans la capitale – il n’est nulle part fait mention des morts causés par la répression, et les seuls blessés dont il est question sont deux policiers. ‘‘ A Janaozen (ouest), les célébrations ont été perturbées par un groupe de vandales qui ont détruit les yourtes et le podium qui avaient été installées sur la place centrale de la ville pour la fête de l’indépendance, a indiqué le parquet général dans un communiqué. Deux policiers intervenus pour mettre fin à ces violences ont été blessés et toutes les mesures ont été prises pour éviter une répétition de tels événements, selon le communiqué.’’
En guise de mesures prises pour éviter la ‘‘répétition de tels évènements’’, l’armée a été envoyée dans la ville, et on fait état d’au moins 70 morts et plus de 500 blessés ! Et les ‘‘vandales’’ dont parle le communiqué du régime sont en fait des grévistes et leurs familles, en lutte depuis le mois de mai !
Belga et Le Vif considèrent visiblement que le journalisme se réduit à reprendre tel quel le communiqué d’un régime autoritaire, sans faire le moindre effort pour vérifier l’information. Pourtant, Belga et Le Vif ont reçu notre communiqué de presse. Un coup d’œil à la dépêche de l’agence de presse française AFP aurait aussi pu les éclairer, puisqu’il y est très clairement question de la répression contre les grévistes et du contexte dans lequel ces évènements ont pris place. Il est vrai que cette dépêche a très peu été reprise sur les différents sites d’information…
Cet exemple illustre une fois de plus le degré ‘‘d’impartialité’’ des médias traditionnels. Nous aussi, nous avons très clairement choisi notre camp, mais c’est celui des travailleurs et de la solidarité internationale.